De nos jours, pas simple d’être détaillant horloger. Même si votre boutique est belle et idéalement située (ce qui est le cas d’Emile Léon), les « grandes marques » (comprendre, celles qui appartiennent à des groupes), ne s’intéressent plus à ce type de magasin. Elles ne travaillent qu’avec certains et encore, sous certains conditions…
Dans ce contexte, certains détaillants n’ont pas d’autres choix que de se tourner vers des marques, disons, « alternatives »… C’est la voie choisie par Emile Léon, spécialisé à l’origine dans la joaillerie. Avant d’entrer dans le détail, rappelons que cela fait déjà des années que ce magasin est dédié aux montres haut de gamme. Il a en effet appartenu à la famille Milliaud (qui vendait principalement du Jaeger-LeCoultre et de l’IWC) avant de changer de main et de devenir Emile Léon, il y a cinq ans.
Aujourd’hui, Emile Léon est un détaillant horloger atypique en ce sens qu’installé en plein cœur de Paris, et surtout, en plein cœur du luxe parisien, il propose une offre horlogère qui sort des sentiers battus… Jugez-vous-même : Corum et Eterna côtoient Garmin et Oris, mais également, Frédérique Constant, Alpina, Atelier de Monaco, Citizen, Mido, Triton, Dodane, Junghans, Hamilton, Michel Herbelin (avec un corner) et quelques autres.
Dans ce contexte, certains détaillants n’ont pas d’autres choix que de se tourner vers des marques, disons, « alternatives »… C’est la voie choisie par Emile Léon, spécialisé à l’origine dans la joaillerie. Avant d’entrer dans le détail, rappelons que cela fait déjà des années que ce magasin est dédié aux montres haut de gamme. Il a en effet appartenu à la famille Milliaud (qui vendait principalement du Jaeger-LeCoultre et de l’IWC) avant de changer de main et de devenir Emile Léon, il y a cinq ans.
Aujourd’hui, Emile Léon est un détaillant horloger atypique en ce sens qu’installé en plein cœur de Paris, et surtout, en plein cœur du luxe parisien, il propose une offre horlogère qui sort des sentiers battus… Jugez-vous-même : Corum et Eterna côtoient Garmin et Oris, mais également, Frédérique Constant, Alpina, Atelier de Monaco, Citizen, Mido, Triton, Dodane, Junghans, Hamilton, Michel Herbelin (avec un corner) et quelques autres.
Bref, vous trouverez donc chez Emile Léon, des montres que vous ne verrez pas forcément ailleurs, loin des grands groupes qui trustent les vitrines et empêchent les « plus petits » d’exister. Et cela fait du bien de voir autre chose de temps en temps. Si vous n’êtes pas souvent sur Paris, vous pouvez toujours jeter un coup d’œil sur le site web de la boutique qui propose un panorama complet de l’offre in situ.
Parmi les petites pépites extrêmement rares à découvrir chez Emile Léon, la manufacture horlogère japonaise Minase qui propose principalement des garde-temps dotées de boitiers de forme très complexes (le modèle Seven Windows est à découvrir) qui jouent la transparence et qui sont associés, bien évidemment, à des calibres mécaniques nippons haut de gamme ; la marque dispose d’ailleurs de son propre mouvement depuis 2017.
Cette ancienne fabrique d’outils créée en 1963 a commencé à produire des montres, boitiers ou bracelets pour des marques japonaises, mais également, depuis 2005, sous son propre nom : Minase (c’est tout simplement le nom de la ville où est installée l’usine, dans la préfecture d’Akita ; un lieu qui n’est pas sans rappeler la Vallée de Joux). Des modèles qui ne ressemblent à aucun autre sur le marché.
Parmi les petites pépites extrêmement rares à découvrir chez Emile Léon, la manufacture horlogère japonaise Minase qui propose principalement des garde-temps dotées de boitiers de forme très complexes (le modèle Seven Windows est à découvrir) qui jouent la transparence et qui sont associés, bien évidemment, à des calibres mécaniques nippons haut de gamme ; la marque dispose d’ailleurs de son propre mouvement depuis 2017.
Cette ancienne fabrique d’outils créée en 1963 a commencé à produire des montres, boitiers ou bracelets pour des marques japonaises, mais également, depuis 2005, sous son propre nom : Minase (c’est tout simplement le nom de la ville où est installée l’usine, dans la préfecture d’Akita ; un lieu qui n’est pas sans rappeler la Vallée de Joux). Des modèles qui ne ressemblent à aucun autre sur le marché.