Quel bilan tirez-vous de votre présence à Belles Montres cette année ?
Encore une bonne édition, la troisième en ce qui concerne Vulcain. Concrètement, le salon Belles Montres nous permet de rencontrer et de renseigner un grand nombre de personnes dans un laps de temps très court, le tout dans un cadre très agréable.
Cette année encore, nous avons pu constater un intérêt grandissant pour la marque et son fameux calibre Cricket.
Nous avons pu partager de bons moments avec des gens sympathiques ; qu'ils soient visiteurs ou professionnels. Donc pour nous, le salon est réussi.
Quelles sont les montres qui ont recueilli le plus de succès auprès des visiteurs et pourquoi ?
Dans notre collection actuelle, trois modèles se sont distingués. Tout d’abord la Nautical Héritage, pour son côté vintage poussé au maximum, mais aussi pour son positionnement prix. Ensuite, l’Anniversary Heart, modèle développé à la base pour la première investiture de Barack Obama.
Enfin, les pièces de la collection 50’s en général. Qu’elles soient à remontage manuel ou automatique. Toutes, ont été essayées un très grand nombre de fois. Je pense que les visiteurs ont aimé ce clin d'oeil au passé de la marque, au design des années 50/60, au côté classique et élégant de ces modèles, sans oublier, bien évidemment, la fonction réveil !
En termes de nouveautés, deux pièces ont été plus particulièrement plébiscitées : le chronographe monopoussoir Héritage a rencontré un franc succès. Tant dans sa version vintage, réédition du modèle de 1934, que dans ses versions plus contemporaines. Enfin les Classic 50’s, très fines et très élégantes, ont également beaucoup plu.
Que pensez-vous de la situation du marché horloger français actuel ?
Je crois que le marché français, même s'il est plus difficile en ce moment, du fait d'un contexte économique morose, reste et restera un marché porteur. L'engouement rencontré sur le salon pour Vulcain ou pour d'autres marques ne ment pas : l'horlogerie reste une passion. Un marché un peu plus frileux impose cependant de se recentrer sur l'ADN et sur les fondamentaux de sa marque et de ses produits. Ce que nous faisons. Enfin, il y a une chose que je tiens à souligner. D’une année sur l’autre, nous retrouvons et nous reconnaissons certains visiteurs qui reviennent nous voir. A une différence près : cette fois-ci, ils portaient une Vulcain au poignet. Et c’est très agréable !
Encore une bonne édition, la troisième en ce qui concerne Vulcain. Concrètement, le salon Belles Montres nous permet de rencontrer et de renseigner un grand nombre de personnes dans un laps de temps très court, le tout dans un cadre très agréable.
Cette année encore, nous avons pu constater un intérêt grandissant pour la marque et son fameux calibre Cricket.
Nous avons pu partager de bons moments avec des gens sympathiques ; qu'ils soient visiteurs ou professionnels. Donc pour nous, le salon est réussi.
Quelles sont les montres qui ont recueilli le plus de succès auprès des visiteurs et pourquoi ?
Dans notre collection actuelle, trois modèles se sont distingués. Tout d’abord la Nautical Héritage, pour son côté vintage poussé au maximum, mais aussi pour son positionnement prix. Ensuite, l’Anniversary Heart, modèle développé à la base pour la première investiture de Barack Obama.
Enfin, les pièces de la collection 50’s en général. Qu’elles soient à remontage manuel ou automatique. Toutes, ont été essayées un très grand nombre de fois. Je pense que les visiteurs ont aimé ce clin d'oeil au passé de la marque, au design des années 50/60, au côté classique et élégant de ces modèles, sans oublier, bien évidemment, la fonction réveil !
En termes de nouveautés, deux pièces ont été plus particulièrement plébiscitées : le chronographe monopoussoir Héritage a rencontré un franc succès. Tant dans sa version vintage, réédition du modèle de 1934, que dans ses versions plus contemporaines. Enfin les Classic 50’s, très fines et très élégantes, ont également beaucoup plu.
Que pensez-vous de la situation du marché horloger français actuel ?
Je crois que le marché français, même s'il est plus difficile en ce moment, du fait d'un contexte économique morose, reste et restera un marché porteur. L'engouement rencontré sur le salon pour Vulcain ou pour d'autres marques ne ment pas : l'horlogerie reste une passion. Un marché un peu plus frileux impose cependant de se recentrer sur l'ADN et sur les fondamentaux de sa marque et de ses produits. Ce que nous faisons. Enfin, il y a une chose que je tiens à souligner. D’une année sur l’autre, nous retrouvons et nous reconnaissons certains visiteurs qui reviennent nous voir. A une différence près : cette fois-ci, ils portaient une Vulcain au poignet. Et c’est très agréable !