Combien de tourbillons ont été produits de l’époque d’A.-L. Breguet ?
Le nombre total de pièces, tel qu’il ressort de recherches approfondies dans les archives, notamment dans les livres de fabrication de l’époque, s’élève à 35 montres.
Auxquelles s’ajoutent 5 pièces supplémentaires qu’il ne faut pas oublier : une pendule sympathique, la fameuse horloge de Sommariva (composée d’une pendule à tourbillon et d’une montre venant se placer sur un plateau tournant), un chronomètre de marine, un modèle de démonstration de grand format et une pendule de voyage.
Ces ouvrages variés ne sont que la preuve des grandes ambitions de Breguet pour son invention.
On arrive donc à un total de 40 pièces réalisées ; ce qui ne prend pas en compte 9 autres pièces qui ne seront jamais terminées et figurent dans les livres comme “passées par pertes et profits”, “ferraillées” ou « égarées”… Un taux de déperdition assez impressionnant !
A.-L. Breguet avait-il déjà commencé des pièces avant l’obtention du brevet ?
En toute logique, oui. Trois pièces sont commencées avant 1801, l’inventeur étant impatient de valider le bien-fondé de ses intuitions et de ses calculs.
Du temps d’A.-L. Breguet, quel était le temps moyen de réalisation d’un garde-temps à tourbillon ?
Ce temps excédait six ans, soit le double du temps nécessaire pour une montre Breguet “normale”. Cela en dit long sur la délicatesse des opérations à effectuer et sur la difficulté à trouver une main-d’œuvre qualifiée pour cela, même dans l’entourage du maître…
Le nombre total de pièces, tel qu’il ressort de recherches approfondies dans les archives, notamment dans les livres de fabrication de l’époque, s’élève à 35 montres.
Auxquelles s’ajoutent 5 pièces supplémentaires qu’il ne faut pas oublier : une pendule sympathique, la fameuse horloge de Sommariva (composée d’une pendule à tourbillon et d’une montre venant se placer sur un plateau tournant), un chronomètre de marine, un modèle de démonstration de grand format et une pendule de voyage.
Ces ouvrages variés ne sont que la preuve des grandes ambitions de Breguet pour son invention.
On arrive donc à un total de 40 pièces réalisées ; ce qui ne prend pas en compte 9 autres pièces qui ne seront jamais terminées et figurent dans les livres comme “passées par pertes et profits”, “ferraillées” ou « égarées”… Un taux de déperdition assez impressionnant !
A.-L. Breguet avait-il déjà commencé des pièces avant l’obtention du brevet ?
En toute logique, oui. Trois pièces sont commencées avant 1801, l’inventeur étant impatient de valider le bien-fondé de ses intuitions et de ses calculs.
Du temps d’A.-L. Breguet, quel était le temps moyen de réalisation d’un garde-temps à tourbillon ?
Ce temps excédait six ans, soit le double du temps nécessaire pour une montre Breguet “normale”. Cela en dit long sur la délicatesse des opérations à effectuer et sur la difficulté à trouver une main-d’œuvre qualifiée pour cela, même dans l’entourage du maître…
Que peut-on dire sur la vente des premiers tourbillons Breguet ?
En 1811, au bout des dix années sur lesquelles court le brevet, la maison n’a vendu que dix tourbillons…
Parmi les acheteurs on retrouve sans surprise des souverains (George III et George IV d’Angleterre, Ferdinand VII d’Espagne), des aristocrates russes et d’éminentes personnalités de toute l’Europe.
Il a été relevé jusqu’ici qu’un quart de ces quarante tourbillons des temps anciens ont eu avec certitude un usage “naval”, c’est-à-dire qu’ils ont été achetés par des armateurs ou des marins et utilisés pour la navigation en mer et le calcul de la longitude.
Thomas Brisbane rejoignit l’Australie avec le sien et certaines pièces naviguèrent une cinquantaine d’années sur les mers du globe.
Cet usage devait ravir Breguet, passionné d’horlogerie de marine et soucieux de fournir des pièces toujours plus précises en toute circonstance.
Que sont devenus les tout premiers tourbillons créés par la Maison ?
Une douzaine de pièces sont conservées dans des musées : trois ont rejoint les collections du musée Breguet, quatre sont conservées au British Museum ou dans d’autres institutions en Angleterre ; d’autres sont visibles dans des musées en Italie (Milan), en Israël (Jérusalem) ou aux États-Unis (New York). Une quinzaine d’autres sont entre les mains de collectionneurs privés.
En 1811, au bout des dix années sur lesquelles court le brevet, la maison n’a vendu que dix tourbillons…
Parmi les acheteurs on retrouve sans surprise des souverains (George III et George IV d’Angleterre, Ferdinand VII d’Espagne), des aristocrates russes et d’éminentes personnalités de toute l’Europe.
Il a été relevé jusqu’ici qu’un quart de ces quarante tourbillons des temps anciens ont eu avec certitude un usage “naval”, c’est-à-dire qu’ils ont été achetés par des armateurs ou des marins et utilisés pour la navigation en mer et le calcul de la longitude.
Thomas Brisbane rejoignit l’Australie avec le sien et certaines pièces naviguèrent une cinquantaine d’années sur les mers du globe.
Cet usage devait ravir Breguet, passionné d’horlogerie de marine et soucieux de fournir des pièces toujours plus précises en toute circonstance.
Que sont devenus les tout premiers tourbillons créés par la Maison ?
Une douzaine de pièces sont conservées dans des musées : trois ont rejoint les collections du musée Breguet, quatre sont conservées au British Museum ou dans d’autres institutions en Angleterre ; d’autres sont visibles dans des musées en Italie (Milan), en Israël (Jérusalem) ou aux États-Unis (New York). Une quinzaine d’autres sont entre les mains de collectionneurs privés.