Derrière DeWitt, un homme. Jérôme de Witt -le descendant du roi Jérôme de Westphalie, frère de l’Empereur Napoléon 1er- dessine depuis 2003 le destin singulier de l’entreprise avec l’aide de sa femme. En 2005, DeWitt remporte le grand prix de l’horlogerie de Genève grâce à sa montre fétiche, la Force Constante.
Les ventes décollent, et le chiffre d’affaire atteint alors près de 40 millions de francs suisses. Mais 2009 sonne le début d’une période plus difficile pour toute marque indépendante et le début d’une mutation de la haute horlogerie, essentiellement dans sa distribution.
C’est à travers cette passion immodérée pour la mécanique (il restaure aussi les voitures anciennes) et en passant de l’infiniment grand à l’infiniment petit, que Jérôme de Witt continue de persévérer avec son bureau technique en inventant de nouvelles innovations et créations horlogères.
2012 marque un changement de cap. Viviane de Witt –épouse du fondateur-, reprend la tête de l’entreprise et devient le nouveau PDG de la marque. Elle insuffle alors un vent nouveau sur la micro-manufacture et mise sur une approche en toute transparence.
« Notre aventure est humaine avant tout », affirme Viviane de Witt. « Je travaille quotidiennement avec le souci constant de préserver les savoirs exceptionnels de nos Maitres horlogers, de nos cadraniers, avec leurs précieux métiers d’art ».
Après trois années difficiles pour toute l’industrie, 2018 se veut synonyme de retour aux fondamentaux pour DeWitt. Le message est simple : des collections réduites, un nombre de références divisé par trois, et un besoin de mettre l’accent sur des pièces maîtresses, aux caractères distinctifs comme par exemple les fameuses colonnes impériales.
« Retrouver l’essence même de la marque à travers un ADN fort de la passion de son fondateur : Inventions de Machines Mécaniques. Et pour couronner le tout, quoi de mieux alors que de commencer l’année dans un somptueux écrin : DeWitt rejoint le SIHH en 2018 » assure la marque dans son communiqué.
Les ventes décollent, et le chiffre d’affaire atteint alors près de 40 millions de francs suisses. Mais 2009 sonne le début d’une période plus difficile pour toute marque indépendante et le début d’une mutation de la haute horlogerie, essentiellement dans sa distribution.
C’est à travers cette passion immodérée pour la mécanique (il restaure aussi les voitures anciennes) et en passant de l’infiniment grand à l’infiniment petit, que Jérôme de Witt continue de persévérer avec son bureau technique en inventant de nouvelles innovations et créations horlogères.
2012 marque un changement de cap. Viviane de Witt –épouse du fondateur-, reprend la tête de l’entreprise et devient le nouveau PDG de la marque. Elle insuffle alors un vent nouveau sur la micro-manufacture et mise sur une approche en toute transparence.
« Notre aventure est humaine avant tout », affirme Viviane de Witt. « Je travaille quotidiennement avec le souci constant de préserver les savoirs exceptionnels de nos Maitres horlogers, de nos cadraniers, avec leurs précieux métiers d’art ».
Après trois années difficiles pour toute l’industrie, 2018 se veut synonyme de retour aux fondamentaux pour DeWitt. Le message est simple : des collections réduites, un nombre de références divisé par trois, et un besoin de mettre l’accent sur des pièces maîtresses, aux caractères distinctifs comme par exemple les fameuses colonnes impériales.
« Retrouver l’essence même de la marque à travers un ADN fort de la passion de son fondateur : Inventions de Machines Mécaniques. Et pour couronner le tout, quoi de mieux alors que de commencer l’année dans un somptueux écrin : DeWitt rejoint le SIHH en 2018 » assure la marque dans son communiqué.