Peu d’amateurs de montres se souviennent de la SportWave d’Ebel qui fut lancée il y a vingt ans, en 2005.
Le fait est que cette plongeuse de 43 mm en acier, étanche à 200 mètres, tout en rondeurs ne fut produite que pendant trois années environ. Il en existe donc très peu sur le marché de l’occasion…
Deux décennies plus tard, Ebel (qui appartient au groupe horloger américain Movado) relance donc une SportWave dans une version plus petite, 41 mm, qui évoque les formes et le design de son prédécesseur.
Le fait est que cette plongeuse de 43 mm en acier, étanche à 200 mètres, tout en rondeurs ne fut produite que pendant trois années environ. Il en existe donc très peu sur le marché de l’occasion…
Deux décennies plus tard, Ebel (qui appartient au groupe horloger américain Movado) relance donc une SportWave dans une version plus petite, 41 mm, qui évoque les formes et le design de son prédécesseur.
Cette plongeuse est dotée, comme il se doit, d’une lunette tournante unidirectionnelle, ici en céramique noire.
Cette pièce se décline en quatre versions, proposant deux cadrans dégradés pétrole ou noir galvanique, rehaussés d'accents jaunes ou rouges avec date à 3h.
Cette pièce se décline en quatre versions, proposant deux cadrans dégradés pétrole ou noir galvanique, rehaussés d'accents jaunes ou rouges avec date à 3h.
Ce garde-temps est étanche à 200 mètres (11 mm d’épaisseur) et embarque le mouvement automatique suisse Sellita SW200-1 doté d’une réserve de marche standard d’une quarantaine d’heures. Il est visible à travers un fond saphir.
« Last but not least », on retrouve sur le bracelet en acier, les codes stylistiques de la marque avec ces maillons en acier en forme de vague, signature d'Ebel. Également disponible sur bracelet en caoutchouc.
« Last but not least », on retrouve sur le bracelet en acier, les codes stylistiques de la marque avec ces maillons en acier en forme de vague, signature d'Ebel. Également disponible sur bracelet en caoutchouc.