On se souvient que le début de l’année 2024 fut marqué par la relance sur Kickstarter de la marque Eska et de son modèle Amphibian « 250 » par deux amateurs et collectionneurs de montres, Sinicha Knezevic et Christophe Chevreton.
En tout, 300 exemplaires (888 euros) d’une plongeuse vintage « pur jus » qui se sont vendus « en deux temps, trois mouvements » pourrait-on dire…
En septembre de la même année, forts de cette relance, Sinicha Knezevic et Christophe Chevreton poursuivaient le développement de leur marque avec l’arrivée d’une nouvelle version de l’Amphibian « 250 » en version cadran blanc … Et en « mieux », notamment en termes de mouvement !
Ensuite, en novembre 2024, la marque revint avec une deuxième version de cette Amphibian 250 de nouvelle génération avec un cadran rouge fumé.
En tout, 300 exemplaires (888 euros) d’une plongeuse vintage « pur jus » qui se sont vendus « en deux temps, trois mouvements » pourrait-on dire…
En septembre de la même année, forts de cette relance, Sinicha Knezevic et Christophe Chevreton poursuivaient le développement de leur marque avec l’arrivée d’une nouvelle version de l’Amphibian « 250 » en version cadran blanc … Et en « mieux », notamment en termes de mouvement !
Ensuite, en novembre 2024, la marque revint avec une deuxième version de cette Amphibian 250 de nouvelle génération avec un cadran rouge fumé.
Aujourd’hui, quelques mois plus tard, Eska présente sa Green Turtle qui, comme son nom le laisse devenir, arbore un cadran vert. Fumé lui aussi. Pour le reste, cette nouvelle version conserve les caractéristiques des deux précédents modèles.
Plus concrètement, cette montre embarque un boitier de 40mm, étanche à 250 mètres. Quant au cadran, il conserve son identité forte, une construction « sandwich » et des points cardinaux dits « oversized ».
Sans compter des index, des chiffres et des aiguilles avec matière luminescentes qui, associés au cadran vert fumé donnent un effet vintage réussi ! Tel un radium patiné par le temps… L’ensemble étant protégé par un double saphir bombé qui renforce l’aspect vintage de cette pièce.
Plus concrètement, cette montre embarque un boitier de 40mm, étanche à 250 mètres. Quant au cadran, il conserve son identité forte, une construction « sandwich » et des points cardinaux dits « oversized ».
Sans compter des index, des chiffres et des aiguilles avec matière luminescentes qui, associés au cadran vert fumé donnent un effet vintage réussi ! Tel un radium patiné par le temps… L’ensemble étant protégé par un double saphir bombé qui renforce l’aspect vintage de cette pièce.
L’une des spécificités propre à l’Amphibian 250, c’est aussi son imposante lunette qui appuie le style très singulier de la montre. Elle interpelle d’abord par sa largeur et le reflet de son disque saphir (en bakélite à l’origine) puis, par sa graduation dite « à rebours » qui rappelle à quel point cette plongeuse était pionnière dans sa conception.
Cette lunette se caractérise enfin par une tranche dite « coin edge » qui évoque l’aspect d’une pièce de monnaie.
« Evolution par rapport à notre Amphibian “250” Ref . 1094, nous avons retravaillé notre lunette en ajoutant un cerclage intérieur. Ce choix a été motivé par l’ambition de parfaire les proportions de la montre, tout en cherchant à se rapprocher de la lunette originale » soulignent les deux responsables de la marque.
Cette lunette se caractérise enfin par une tranche dite « coin edge » qui évoque l’aspect d’une pièce de monnaie.
« Evolution par rapport à notre Amphibian “250” Ref . 1094, nous avons retravaillé notre lunette en ajoutant un cerclage intérieur. Ce choix a été motivé par l’ambition de parfaire les proportions de la montre, tout en cherchant à se rapprocher de la lunette originale » soulignent les deux responsables de la marque.
Et de préciser : « loin d’être un détail, l’esthétique de la montre change considérablement, avec une lunette qui vient s’affiner ».
Dernier point -et non des moindres- par rapport à la toute première version : le mouvement mécanique qui était un Seiko sur le modèle noir de la relance provient ici de chez Sellita ; il s’agit du calibre SW200 connu pour sa fiabilité et sa précision. Tout comme sur la White Shark.
Cette plongeuse toujours aussi séduisante est livrée sur un bracelet Tropic vert. Et pourquoi 136 exemplaires alors ? En fait, ce chiffre fait écho à une unité de mesure historique : 136 brasses (fathoms), correspondant à sa profondeur d'étanchéité de 250 mètres.
Dernier point -et non des moindres- par rapport à la toute première version : le mouvement mécanique qui était un Seiko sur le modèle noir de la relance provient ici de chez Sellita ; il s’agit du calibre SW200 connu pour sa fiabilité et sa précision. Tout comme sur la White Shark.
Cette plongeuse toujours aussi séduisante est livrée sur un bracelet Tropic vert. Et pourquoi 136 exemplaires alors ? En fait, ce chiffre fait écho à une unité de mesure historique : 136 brasses (fathoms), correspondant à sa profondeur d'étanchéité de 250 mètres.
