Depuis quelques années, deux grandes tendances se sont dessinées dans le monde du luxe, et plus précisément dans l’horlogerie haut de gamme… La personnalisation d’une part et la customisation de l’autre. Avec à chaque fois un but ultime : s’approprier l’objet et le rendre encore plus unique.
Dans le même esprit, on assiste depuis quelques mois, au développement de la modularité des montres haut de gamme. Le trend reste encore embryonnaire certes, mais il est bel et bien là.
En effet, après la marque Fugue et ses « brancards » interchangeables, c’est au tour de la jeune marque Hegid de se lancer sur le marché, dans les jours et semaines à venir, avec son nouveau concept de montre sportive.
Dans le même esprit, on assiste depuis quelques mois, au développement de la modularité des montres haut de gamme. Le trend reste encore embryonnaire certes, mais il est bel et bien là.
En effet, après la marque Fugue et ses « brancards » interchangeables, c’est au tour de la jeune marque Hegid de se lancer sur le marché, dans les jours et semaines à venir, avec son nouveau concept de montre sportive.
De prime abord, cette sportive ne semble pas révolutionnaire : une taille de 40 mm pour un boitier en acier étanche à 100 mètres abritant un calibre mécanique automatique suisse « trois aiguilles » sur cadran noir. Une montre comme il en existe des centaines…
Tout d’abord, ce design relativement « neutre » et « passepartout » est voulu puisqu’il s’agissait de proposer une montre intemporelle que l’on puisse porter longtemps et en toute occasion. Soit. Mais là où le concept est original, c’est que ce garde-temps est modulable.
Tout d’abord, ce design relativement « neutre » et « passepartout » est voulu puisqu’il s’agissait de proposer une montre intemporelle que l’on puisse porter longtemps et en toute occasion. Soit. Mais là où le concept est original, c’est que ce garde-temps est modulable.
Ainsi, le bloc calibre-cadran-verre-couronne de remontoir vient de fixer dans un « sur-boitier avec lunette tournante bidirectionnelle » qui peut être changé en un tournemain (il se clipse par fond).
Il vous suffit ensuite d’ajouter le bracelet (cuir ou caoutchouc), également interchangeable en quelques secondes. L’ensemble est vendu 2.800 euros et les livraisons sont prévues pour le mois de juin prochain. Affaire à suivre.
La collection S.I est limitée (90 exemplaires) et se décline en deux modèles :
Neo (60 exemplaires), cadran noir, aiguilles et index rhodium
Retro (30 exemplaires), cadran brun, aiguilles et index or rose
Il vous suffit ensuite d’ajouter le bracelet (cuir ou caoutchouc), également interchangeable en quelques secondes. L’ensemble est vendu 2.800 euros et les livraisons sont prévues pour le mois de juin prochain. Affaire à suivre.
La collection S.I est limitée (90 exemplaires) et se décline en deux modèles :
Neo (60 exemplaires), cadran noir, aiguilles et index rhodium
Retro (30 exemplaires), cadran brun, aiguilles et index or rose