Solutions techniques novatrices, pour la préservation de la qualité de vie dans la Vallée de Joux
Depuis sa création, Jaeger-LeCoultre est un moteur et un aiguillon de la croissance économique de cette région aux paysages intacts, située près du lac de Joux, au cœur du Jura à 1.000 mètres d'altitude.
L'atelier originel créé par Antoine LeCoultre a jeté les premiers fondements d'une marque à la résonance internationale pour ses réalisations de pointe et sa philosophie horlogère d'avant-garde.
De fait, depuis 1833, date de la fondation, les indispensables extensions se sont succédées toutes les deux ou trois décennies : 1866, 1888, 1912, 1946, 1972 et 1996.
Le succès rend désormais nécessaire une accélération de ce rythme et, onze ans seulement après la réalisation de la dernière étape, le plus grand agrandissement de l'histoire de la marque est déjà en cours. Avec 1.000 collaborateurs, le statut de grand employeur d'une région au tissu particulier, avec une faible densité de population, requiert de porter une attention accrue aux responsabilités sociales et environnementales.
L'atelier originel créé par Antoine LeCoultre a jeté les premiers fondements d'une marque à la résonance internationale pour ses réalisations de pointe et sa philosophie horlogère d'avant-garde.
De fait, depuis 1833, date de la fondation, les indispensables extensions se sont succédées toutes les deux ou trois décennies : 1866, 1888, 1912, 1946, 1972 et 1996.
Le succès rend désormais nécessaire une accélération de ce rythme et, onze ans seulement après la réalisation de la dernière étape, le plus grand agrandissement de l'histoire de la marque est déjà en cours. Avec 1.000 collaborateurs, le statut de grand employeur d'une région au tissu particulier, avec une faible densité de population, requiert de porter une attention accrue aux responsabilités sociales et environnementales.
Le Lac, l’eau : éléments clés de la Vallée de Joux
Pour Jaeger-LeCoultre, les réflexions d’une intégration naturelle à un environnement exceptionnel ne datent pas d'aujourd'hui. La Manufacture a édifié une des premières stations d'épuration. En effet, la préservation de la nappe phréatique et des eaux du lac de Joux est une exigence absolue pour une marque dont la prospérité est intimement liée à son cadre naturel.
Cette station sera adaptée pour faire face aux besoins supplémentaires afin d'assurer que l'activité industrielle n'exerce aucun impact sur l'environnement. Prévue pour des conditions climatiques extrêmes, elle prendra naturellement en compte les spécificités topographiques et géophysiques du lieu pour garantir la clarté des rejets.
Mis en œuvre depuis une dizaine d'années, un projet fondé sur différents processus de récupération a déjà permis de réduire fortement la consommation d'eau, malgré la hausse importante de la production. La conception d'un nouveau bâtiment permettra d'intensifier encore cette approche. Le refroidissement du parc machines sera assuré par une boucle d’eau en circuit fermé et l’apport de free-cooling – système de récupération de l’air frais à l’extérieur.
Durant les quinze dernières années, l'assainissement de l’installation de chauffage a permis de conserver une consommation de mazout stable tous en augmentant la surface des locaux de production de 40%. L'enveloppe du nouvel édifice présentera lui un coefficient thermique très élevé afin de prendre en compte les exigences particulières liées à l'altitude. La chaleur excédentaire sera récupérée, stockée et réutilisée en fonction des besoins.
Cette station sera adaptée pour faire face aux besoins supplémentaires afin d'assurer que l'activité industrielle n'exerce aucun impact sur l'environnement. Prévue pour des conditions climatiques extrêmes, elle prendra naturellement en compte les spécificités topographiques et géophysiques du lieu pour garantir la clarté des rejets.
Mis en œuvre depuis une dizaine d'années, un projet fondé sur différents processus de récupération a déjà permis de réduire fortement la consommation d'eau, malgré la hausse importante de la production. La conception d'un nouveau bâtiment permettra d'intensifier encore cette approche. Le refroidissement du parc machines sera assuré par une boucle d’eau en circuit fermé et l’apport de free-cooling – système de récupération de l’air frais à l’extérieur.
Durant les quinze dernières années, l'assainissement de l’installation de chauffage a permis de conserver une consommation de mazout stable tous en augmentant la surface des locaux de production de 40%. L'enveloppe du nouvel édifice présentera lui un coefficient thermique très élevé afin de prendre en compte les exigences particulières liées à l'altitude. La chaleur excédentaire sera récupérée, stockée et réutilisée en fonction des besoins.
Une implication dans le futur horloger
Cette intégration de la Manufacture dans son cadre naturel se complète à l'évidence d'une dimension humaine. Pour accentuer encore cette symbiose entre une entreprise et le développement de sa région, Jaeger-LeCoultre doublera le nombre de ses places d'apprentissage dès la mise en service des nouveaux ateliers et formera près de quarante nouveaux professionnels chaque année.
L'accroissement général du nombre des collaborateurs de la Manufacture, avec une centaine de recrutement net par an, implique également d'assumer des responsabilités face à la communauté dans le domaine de la pollution liée au mode de transport.
L'accroissement général du nombre des collaborateurs de la Manufacture, avec une centaine de recrutement net par an, implique également d'assumer des responsabilités face à la communauté dans le domaine de la pollution liée au mode de transport.
Deux cents nouveaux emplois et aucune place de parking supplémentaire
Première Manufacture à voir le jour au 19ème siècle à une époque où les horlogers travaillaient généralement dans les ateliers aménagés dans leurs fermes, Jaeger-LeCoultre a également été le premier employeur de la Vallée de Joux à financer une halte de chemin de fer sur la ligne Le Pont - Le Brassus.
Dès la préhistoire de la mobilité, la Manufacture était déjà consciente qu'il lui importait également de faciliter les trajets de ses collaborateurs. Dans une région caractérisée par la dissémination de l'habitat, Jaeger-LeCoultre soutient activement le covoiturage depuis plusieurs années. Mais cette année, le programme global qui ouvre de nouvelles pistes de réflexions a permis de franchir une étape supplémentaire.
Ainsi, depuis le début octobre, la Manufacture a inauguré un service de bus dont elle prend entièrement les frais de fonctionnement à sa charge. Face au succès qu'elle a immédiatement rencontré, deux nouvelles lignes s'y ajouteront dès le mois de mars 2008. Destinées à offrir aux collaborateurs un mode de transport agréable et sûr de leur domicile à la Manufacture en début de matinée et en sens inverse le soir, elles s'étendent sur une longueur de 35 à 50 kilomètres. Afin d'éviter le trafic intense en fin de journée, les bus circulent avec un horaire légèrement décalé, qui leur assure des gains de temps appréciables.
Si l'on considère que l'ensemble de ces mesures - covoiturage et lignes de bus - permettent d'éviter la circulation de 270 voitures dont chacune effectuerait un trajet de 50 km quelque 220 jours par année, le nombre total de kilomètres non parcourus s'élève donc à environ 3 millions par année: une contribution importante à la réduction de la pollution atmosphérique liée au trafic automobile.
Et comme il importe d'assumer ses choix avec conséquence, les places de parking actuellement proposées par la Manufacture n'augmenteront pas d'une seule unité au cours des prochaines années. Un nouvel argument de poids à inscrire au bilan énergétique déjà remarquable de la Manufacture.
Jaeger-LeCoultre qui a choisi depuis toujours de s'agrandir uniquement sur son site historique réunit désormais plus de 40 métiers sous son toit. La certitude de travailler dans un environnement préservé par des méthodes d'avant-garde contribue également à stimuler la créativité des horlogers et des ingénieurs d'une marque dont les réalisations suscitent la passion du public depuis près de deux siècles…
Dès la préhistoire de la mobilité, la Manufacture était déjà consciente qu'il lui importait également de faciliter les trajets de ses collaborateurs. Dans une région caractérisée par la dissémination de l'habitat, Jaeger-LeCoultre soutient activement le covoiturage depuis plusieurs années. Mais cette année, le programme global qui ouvre de nouvelles pistes de réflexions a permis de franchir une étape supplémentaire.
Ainsi, depuis le début octobre, la Manufacture a inauguré un service de bus dont elle prend entièrement les frais de fonctionnement à sa charge. Face au succès qu'elle a immédiatement rencontré, deux nouvelles lignes s'y ajouteront dès le mois de mars 2008. Destinées à offrir aux collaborateurs un mode de transport agréable et sûr de leur domicile à la Manufacture en début de matinée et en sens inverse le soir, elles s'étendent sur une longueur de 35 à 50 kilomètres. Afin d'éviter le trafic intense en fin de journée, les bus circulent avec un horaire légèrement décalé, qui leur assure des gains de temps appréciables.
Si l'on considère que l'ensemble de ces mesures - covoiturage et lignes de bus - permettent d'éviter la circulation de 270 voitures dont chacune effectuerait un trajet de 50 km quelque 220 jours par année, le nombre total de kilomètres non parcourus s'élève donc à environ 3 millions par année: une contribution importante à la réduction de la pollution atmosphérique liée au trafic automobile.
Et comme il importe d'assumer ses choix avec conséquence, les places de parking actuellement proposées par la Manufacture n'augmenteront pas d'une seule unité au cours des prochaines années. Un nouvel argument de poids à inscrire au bilan énergétique déjà remarquable de la Manufacture.
Jaeger-LeCoultre qui a choisi depuis toujours de s'agrandir uniquement sur son site historique réunit désormais plus de 40 métiers sous son toit. La certitude de travailler dans un environnement préservé par des méthodes d'avant-garde contribue également à stimuler la créativité des horlogers et des ingénieurs d'une marque dont les réalisations suscitent la passion du public depuis près de deux siècles…