Pour ce troisième numéro du Fashion Magazine, Alec soth crée une odyssée contemporaine en deux parties entre Paris et le Minnesota (où il vit toujours), un voyage poétique sur sa distance à la mode.
L’ensemble de ce magazine a été réalisé sur une période de trois mois, de janvier à mars soit l’équivalent d’une saison. Dans un rythme totalement étranger à son approche habituelle, lente et solitaire, Alec Soth a réalisé à la chambre 20 x 25 des tableaux photographiques, à la fois fictionnels et documentaires. Il y confronte deux approches de la beauté, celle de la mode et la sienne : « la beauté la plus profonde est toujours enracinée dans le réel ».
Il s’est tout d’abord plongé dans l’univers très parisien de la haute couture : entre fantasme et réalité, il explore les cercles de la mode, ses célébrations (défilés), ses personnages célèbres ou anonymes. Dans sa série « métamorphose des héroïnes », il revisite à sa façon les codes de la série la plus basique : « avant – après ».
L’ensemble de ce magazine a été réalisé sur une période de trois mois, de janvier à mars soit l’équivalent d’une saison. Dans un rythme totalement étranger à son approche habituelle, lente et solitaire, Alec Soth a réalisé à la chambre 20 x 25 des tableaux photographiques, à la fois fictionnels et documentaires. Il y confronte deux approches de la beauté, celle de la mode et la sienne : « la beauté la plus profonde est toujours enracinée dans le réel ».
Il s’est tout d’abord plongé dans l’univers très parisien de la haute couture : entre fantasme et réalité, il explore les cercles de la mode, ses célébrations (défilés), ses personnages célèbres ou anonymes. Dans sa série « métamorphose des héroïnes », il revisite à sa façon les codes de la série la plus basique : « avant – après ».
La partie Minnesota, réalisée à la suite et en contrepoint de son expérience parisienne, est un regard nouveau porté sur son environnement quotidien. Il produit en collaboration avec le magazine W une série avec des adolescents locaux qui au delà du stylisme et de son esthétique si délicate, nous plonge au coeur des rêves suscités par l’univers de la mode.
Il réalise un ensemble de portraits inédits de ses concitoyens dans des vêtements utilitaires (tenue de patinage, uniforme professionnel, sportifs …). Il photographie et célèbre, les temples locaux : centres commerciaux (« malls »), églises, équipements sportifs.
Enfin, dans une série documentaire de personnages posant devant leur véhicule dans leur tenue favorite, Alec Soth explore au sens large la dimension identitaire de la mode (vêtements + accessoires) loin des podiums et du « chic » parisien.
Pour chaque numéro du Fashion Magazine, le magazine est réalisé à 100% par l’artiste. Les annonces publicitaires inédites et exclusives sont des énigmes contemplatives nées de l’immersion de chaque annonceur dans l’univers onirique de l’artiste.
« Le Graal de notre culture contemporaine est la quête généralisée de beauté et de célébrité. Je veux photographier les « élus » qui semblent atteindre cette perfection et les innombrables qui s’évertuent à y parvenir. Je veux à la fois questionner et susciter le rêve. » Alec Soth
Il réalise un ensemble de portraits inédits de ses concitoyens dans des vêtements utilitaires (tenue de patinage, uniforme professionnel, sportifs …). Il photographie et célèbre, les temples locaux : centres commerciaux (« malls »), églises, équipements sportifs.
Enfin, dans une série documentaire de personnages posant devant leur véhicule dans leur tenue favorite, Alec Soth explore au sens large la dimension identitaire de la mode (vêtements + accessoires) loin des podiums et du « chic » parisien.
Pour chaque numéro du Fashion Magazine, le magazine est réalisé à 100% par l’artiste. Les annonces publicitaires inédites et exclusives sont des énigmes contemplatives nées de l’immersion de chaque annonceur dans l’univers onirique de l’artiste.
« Le Graal de notre culture contemporaine est la quête généralisée de beauté et de célébrité. Je veux photographier les « élus » qui semblent atteindre cette perfection et les innombrables qui s’évertuent à y parvenir. Je veux à la fois questionner et susciter le rêve. » Alec Soth