Voici une information qui devrait inquiéter les marques de montres (de luxe ou même d’entrée de gamme) qui sont déjà soumises à un marché particulièrement compliqué. En effet, il semblerait que les jeunes de la fameuse génération Z aient du mal à lire l’heure sur une horloge ou une montre analogique…
Lire aussi : Le retour de l'analogie pour les enfants grâce à Ice-Watch
Une génération connectée au numérique
Les jeunes d’aujourd’hui grandissent dans un univers dominé par les écrans. Téléphones, ordinateurs, montres connectées et tablettes affichent l’heure sous un format numérique (en chiffres donc) clair et direct : 14h37, 08h15…
Contrairement aux générations précédentes, ils n’ont plus besoin d’interpréter la position des aiguilles pour connaître l’heure exacte. Or, sans apprentissage, cette lecture n’est pas forcément « naturelle » pour tous.
Dans ce contexte, cette familiarité avec le numérique a peu à peu relégué les horloges et les montres traditionnelles au second plan. Certaines écoles britanniques ont même remplacé leurs horloges à aiguilles par des modèles numériques, après avoir constaté que de nombreux élèves avaient du mal à lire l’heure lors des examens ! C’est dire l’ampleur du problème.
Un changement culturel plutôt qu’un signe d’ignorance
Dire que les jeunes « ne savent plus lire l’heure » serait cependant exagéré. Il s’agit plutôt d’une évolution culturelle : les outils du quotidien ont changé et, avec eux, les compétences jugées essentielles.
Aujourd’hui, il est plus utile de savoir gérer une application de calendrier ou régler une alarme sur son smartphone que de comprendre le fonctionnement des aiguilles d’une horloge murale ou d’une montre de poignet.
Une compétence encore utile
Cependant, savoir lire une horloge analogique reste une compétence précieuse.
Elle aide à mieux visualiser le passage du temps, à comprendre les fractions d’heure (beaucoup plus claires et « visualisables ») ou encore à s’orienter dans un monde où les horloges et les montres classiques existent toujours : dans les gares (notamment en Suisse avec les fameuses Mondaine), les écoles ou certains lieux publics.
Réapprendre à lire l’heure sur une horloge à aiguilles pourrait donc être un moyen de renouer avec une dimension plus concrète du temps ; une façon de ne pas laisser le numérique dicter entièrement notre rapport à la réalité. En la matière les marques Flik Flak et Ice Watch font un beau boulot.
Sans compter l’aspect commercial pour la pérennité des marques de montres…
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Une génération connectée au numérique
Les jeunes d’aujourd’hui grandissent dans un univers dominé par les écrans. Téléphones, ordinateurs, montres connectées et tablettes affichent l’heure sous un format numérique (en chiffres donc) clair et direct : 14h37, 08h15…
Contrairement aux générations précédentes, ils n’ont plus besoin d’interpréter la position des aiguilles pour connaître l’heure exacte. Or, sans apprentissage, cette lecture n’est pas forcément « naturelle » pour tous.
Dans ce contexte, cette familiarité avec le numérique a peu à peu relégué les horloges et les montres traditionnelles au second plan. Certaines écoles britanniques ont même remplacé leurs horloges à aiguilles par des modèles numériques, après avoir constaté que de nombreux élèves avaient du mal à lire l’heure lors des examens ! C’est dire l’ampleur du problème.
Un changement culturel plutôt qu’un signe d’ignorance
Dire que les jeunes « ne savent plus lire l’heure » serait cependant exagéré. Il s’agit plutôt d’une évolution culturelle : les outils du quotidien ont changé et, avec eux, les compétences jugées essentielles.
Aujourd’hui, il est plus utile de savoir gérer une application de calendrier ou régler une alarme sur son smartphone que de comprendre le fonctionnement des aiguilles d’une horloge murale ou d’une montre de poignet.
Une compétence encore utile
Cependant, savoir lire une horloge analogique reste une compétence précieuse.
Elle aide à mieux visualiser le passage du temps, à comprendre les fractions d’heure (beaucoup plus claires et « visualisables ») ou encore à s’orienter dans un monde où les horloges et les montres classiques existent toujours : dans les gares (notamment en Suisse avec les fameuses Mondaine), les écoles ou certains lieux publics.
Réapprendre à lire l’heure sur une horloge à aiguilles pourrait donc être un moyen de renouer avec une dimension plus concrète du temps ; une façon de ne pas laisser le numérique dicter entièrement notre rapport à la réalité. En la matière les marques Flik Flak et Ice Watch font un beau boulot.
Sans compter l’aspect commercial pour la pérennité des marques de montres…







