Alyssa Carson, une vingtaine d'années, est passionnée par l’espace depuis son enfance. Son rêve ultime ? Faire partie de la future mission de la Nasa vers la planète Mars.
Un voyage sans précédent qui pourrait avoir lieu en 2033. Une mission de trois ans (elle sera alors trentenaire) : six mois de voyage à l’aller, un an sur place et neuf mois de voyage retour.
Pour ce faire, la jeune Américaine poursuit ses études d’astrobiologie à l’Institut technologique de Floride pour un jour peut-être, partir vers la planète Rouge.
Au-delà des équipements, des moyens de transports, de la nourriture, etc., un accessoire reste fondamental car Mars ne vit pas à l’heure de la Terre : sur Mars, un jour martien -appelé sol- dure 24 heures, 39 minutes et 35 secondes.
Cette différence, minime en apparence, bouleverse pourtant toute notion de rythme biologique, de planification et… d’horlogerie. Une montre terrestre classique, réglée sur 24 heures, dériverait chaque jour d’environ 39 minutes, devenant rapidement inutilisable pour une mission martienne de longue durée.
Une année martienne dure quant à elle, 687 jours, pratiquement deux fois plus longtemps que sur Terre !
Si Alyssa Carson participait un jour à une mission vers Mars, sa montre devrait répondre à plusieurs contraintes majeures : affichage du temps martien (24h39) ; affichage du temps sur Terre ? ; lisibilité absolue, même en combinaison spatiale ; résistance extrême (chocs, poussière martienne, variations de température) et fiabilité mécanique ou électronique, sans dépendance constante à la Terre
Au-delà de l’outil, la montre deviendrait un symbole fort : il s’agirait en effet du premier instrument personnel réellement pensé pour une autre planète. Mécanique, électronique ou hybride ? Plusieurs pistes sont envisageables…
Ce qui est intéressant, c’est que cette montre ferait entrer l’Humanité dans une nouvelle chronologie. Ce serait un « premier pas » vers une civilisation multi-planétaire. Porter une montre martienne, ce serait accepter que le temps lui-même change selon le monde que l’on habite…
Etonnant qu’aucune marque n’est encore travaillé sur ce sujet. En 2016, TAG Heuer annonçait à Beijing, la mise en place d’un partenariat avec le programme d’exploration chinois la planète Mars. Mais depuis, aucune nouvelle. Quid d’Omega déjà partenaire de la Nasa ? Ou d’Hamilton ? Voire même, Rolex qui pourrait ainsi renforcer sa domination au-delà de la Terre…
Un voyage sans précédent qui pourrait avoir lieu en 2033. Une mission de trois ans (elle sera alors trentenaire) : six mois de voyage à l’aller, un an sur place et neuf mois de voyage retour.
Pour ce faire, la jeune Américaine poursuit ses études d’astrobiologie à l’Institut technologique de Floride pour un jour peut-être, partir vers la planète Rouge.
Au-delà des équipements, des moyens de transports, de la nourriture, etc., un accessoire reste fondamental car Mars ne vit pas à l’heure de la Terre : sur Mars, un jour martien -appelé sol- dure 24 heures, 39 minutes et 35 secondes.
Cette différence, minime en apparence, bouleverse pourtant toute notion de rythme biologique, de planification et… d’horlogerie. Une montre terrestre classique, réglée sur 24 heures, dériverait chaque jour d’environ 39 minutes, devenant rapidement inutilisable pour une mission martienne de longue durée.
Une année martienne dure quant à elle, 687 jours, pratiquement deux fois plus longtemps que sur Terre !
Si Alyssa Carson participait un jour à une mission vers Mars, sa montre devrait répondre à plusieurs contraintes majeures : affichage du temps martien (24h39) ; affichage du temps sur Terre ? ; lisibilité absolue, même en combinaison spatiale ; résistance extrême (chocs, poussière martienne, variations de température) et fiabilité mécanique ou électronique, sans dépendance constante à la Terre
Au-delà de l’outil, la montre deviendrait un symbole fort : il s’agirait en effet du premier instrument personnel réellement pensé pour une autre planète. Mécanique, électronique ou hybride ? Plusieurs pistes sont envisageables…
Ce qui est intéressant, c’est que cette montre ferait entrer l’Humanité dans une nouvelle chronologie. Ce serait un « premier pas » vers une civilisation multi-planétaire. Porter une montre martienne, ce serait accepter que le temps lui-même change selon le monde que l’on habite…
Etonnant qu’aucune marque n’est encore travaillé sur ce sujet. En 2016, TAG Heuer annonçait à Beijing, la mise en place d’un partenariat avec le programme d’exploration chinois la planète Mars. Mais depuis, aucune nouvelle. Quid d’Omega déjà partenaire de la Nasa ? Ou d’Hamilton ? Voire même, Rolex qui pourrait ainsi renforcer sa domination au-delà de la Terre…
