C’est finalement à Paris, entre Los Angeles (le « LA » de la marque) et Biarritz (le « B » de la marque) que March LA.B a choisi d’ouvrir un premier écrin pour ses montres et accessoires à venir… Cet espace traversant de 75m2 niché au cœur du haut marais réunit la toute première boutique exclusive de la marque côté rue, et les bureaux parisiens côté cour.
Ce lieu de rencontre a été conçu comme un appartement et se veut, avant tout accueillant et chaleureux. De fait, pas de comptoir, pas de caisse (ce qui ne vous dispense de payer pour autant) mais de confortables fauteuils, une bibliothèque de travail et une table centrale « comme à la maison » pour les invités... « Tout est pensé pour décomplexer cet achat normalement si réfléchi ! » souligne la marque dans son communiqué.
La pièce centrale est rectangulaire, les murs sont blancs, le sol un parquet en chêne clair. L’éclairage est nourri et prolifique. Il met en exergue un mobilier méticuleusement chiné qui flirte avec les années 50/60 et le début des années 70. Les chaises des Californiens Charles et Ray Eames y côtoient les fauteuils et luminaires du français Alain Richard. Les meubles restaurés d’un antique maroquinier du pays basque encadrent une table tulipe en palissandre d’Eero Saarinen. Une mante religieuse d’André Rispal illumine majestueusement cette faune de références architecturales.
Le bois, le verre et le laiton sont rois dans cet écrin parisien. La couleur verte, signature originelle de la marque est omniprésente. Enfin, les magistrales photos de Dimitri Coste prises entre Palm Spring et le Palais à Biarritz, finissent de donner à ce lieu cette atmosphère suave et élégante. La dichotomie franco-californienne, si chère à la marque est donc respectée !
Ce lieu de rencontre a été conçu comme un appartement et se veut, avant tout accueillant et chaleureux. De fait, pas de comptoir, pas de caisse (ce qui ne vous dispense de payer pour autant) mais de confortables fauteuils, une bibliothèque de travail et une table centrale « comme à la maison » pour les invités... « Tout est pensé pour décomplexer cet achat normalement si réfléchi ! » souligne la marque dans son communiqué.
La pièce centrale est rectangulaire, les murs sont blancs, le sol un parquet en chêne clair. L’éclairage est nourri et prolifique. Il met en exergue un mobilier méticuleusement chiné qui flirte avec les années 50/60 et le début des années 70. Les chaises des Californiens Charles et Ray Eames y côtoient les fauteuils et luminaires du français Alain Richard. Les meubles restaurés d’un antique maroquinier du pays basque encadrent une table tulipe en palissandre d’Eero Saarinen. Une mante religieuse d’André Rispal illumine majestueusement cette faune de références architecturales.
Le bois, le verre et le laiton sont rois dans cet écrin parisien. La couleur verte, signature originelle de la marque est omniprésente. Enfin, les magistrales photos de Dimitri Coste prises entre Palm Spring et le Palais à Biarritz, finissent de donner à ce lieu cette atmosphère suave et élégante. La dichotomie franco-californienne, si chère à la marque est donc respectée !
