1932 : les racines de l’héritage
L'année 1932 fit date dans l'histoire du chronométrage sportif. Jamais une seule et même compagnie horlogère n'avait été chargée de chronométrer toutes les épreuves des Jeux Olympiques. Cet honneur revint à Omega qui envoya alors sur place un chronométreur et trente chronographes haute précision bénéficiant tous de la certification chronomètre émise par l'Observatoire de Neuchâtel.
Pour sa toute première intervention en tant que Chronométreur Officiel des Jeux Olympiques, Omega était capable d'enregistrer les résultats au 10e de seconde le plus proche. L'expertise de la marque fut grandement appréciée par les officiels de Los Angeles et se révéla d'un grand secours à l'heure de confirmer 17 nouveaux records du monde. Cette édition fut également la première à abriter un village olympique et à prévoir des podiums pour les médaillés.
1948 : la première caméra photo-finish
Les Jeux Olympiques de Londres en 1948 furent marqués par l'une des innovations les plus décisives dans l'histoire du chronométrage sportif. En effet, la première caméra photo-finish, baptisée « Magic Eye », fut présentée à l’époque par Omega. Elle permettait aux chronométreurs de déterminer la position exacte des athlètes lors du franchissement de la ligne.
Conçue par la Race Finish Recording Company, un fabricant britannique, cette technologie était capable de départager les coureurs avec une précision inédite. La question des décisions litigieuses fut réglée une bonne fois pour toutes et les machines commencèrent à supplanter pour de bon ¬l'œil humain.
La caméra Magic Eye fut rapidement mise à contribution lors d'une finale historique du 100 mètres opposant deux Américains, Harrison Dillard et Barney Ewell. Tous deux furent chronométrés à 10,3 secondes. Mais, après examen de la photo-finish, les juges déclarèrent Dillard vainqueur et médaillé d'or.
L'année 1932 fit date dans l'histoire du chronométrage sportif. Jamais une seule et même compagnie horlogère n'avait été chargée de chronométrer toutes les épreuves des Jeux Olympiques. Cet honneur revint à Omega qui envoya alors sur place un chronométreur et trente chronographes haute précision bénéficiant tous de la certification chronomètre émise par l'Observatoire de Neuchâtel.
Pour sa toute première intervention en tant que Chronométreur Officiel des Jeux Olympiques, Omega était capable d'enregistrer les résultats au 10e de seconde le plus proche. L'expertise de la marque fut grandement appréciée par les officiels de Los Angeles et se révéla d'un grand secours à l'heure de confirmer 17 nouveaux records du monde. Cette édition fut également la première à abriter un village olympique et à prévoir des podiums pour les médaillés.
1948 : la première caméra photo-finish
Les Jeux Olympiques de Londres en 1948 furent marqués par l'une des innovations les plus décisives dans l'histoire du chronométrage sportif. En effet, la première caméra photo-finish, baptisée « Magic Eye », fut présentée à l’époque par Omega. Elle permettait aux chronométreurs de déterminer la position exacte des athlètes lors du franchissement de la ligne.
Conçue par la Race Finish Recording Company, un fabricant britannique, cette technologie était capable de départager les coureurs avec une précision inédite. La question des décisions litigieuses fut réglée une bonne fois pour toutes et les machines commencèrent à supplanter pour de bon ¬l'œil humain.
La caméra Magic Eye fut rapidement mise à contribution lors d'une finale historique du 100 mètres opposant deux Américains, Harrison Dillard et Barney Ewell. Tous deux furent chronométrés à 10,3 secondes. Mais, après examen de la photo-finish, les juges déclarèrent Dillard vainqueur et médaillé d'or.
1960 : les plaques de touche automatique en natation
Aux Jeux Olympiques de Rome en 1960, une autre controverse fut à l'origine d'une nouvelle innovation essentielle en natation : les plaques de touche automatiques. Ce fut la dernière édition des JO dans laquelle les décisions furent entérinées par l'œil humain. Un désaccord entre deux juges quant au vainqueur de la finale du 100 mètres nage libre entraîna une nouvelle polémique. La médaille d'or fut finalement octroyée à l'Australien John Devitt, au détriment de l'Américain Lance Larson qui fut peut-être injustement lésé.
Suite à cet événement, Omega développa des plaques de touche automatiques situées au bout de chaque ligne d'eau, permettant aux nageurs de stopper eux-mêmes leur chronomètre. Inventée par un fabricant basé à Bienne en Suisse, la plaque de touche fit son apparition en 1967 lors des Jeux panaméricains de Winnipeg. Elle continue d'être utilisée aux Jeux Olympiques depuis cette date.
Aux Jeux Olympiques de Rome en 1960, une autre controverse fut à l'origine d'une nouvelle innovation essentielle en natation : les plaques de touche automatiques. Ce fut la dernière édition des JO dans laquelle les décisions furent entérinées par l'œil humain. Un désaccord entre deux juges quant au vainqueur de la finale du 100 mètres nage libre entraîna une nouvelle polémique. La médaille d'or fut finalement octroyée à l'Australien John Devitt, au détriment de l'Américain Lance Larson qui fut peut-être injustement lésé.
Suite à cet événement, Omega développa des plaques de touche automatiques situées au bout de chaque ligne d'eau, permettant aux nageurs de stopper eux-mêmes leur chronomètre. Inventée par un fabricant basé à Bienne en Suisse, la plaque de touche fit son apparition en 1967 lors des Jeux panaméricains de Winnipeg. Elle continue d'être utilisée aux Jeux Olympiques depuis cette date.
1968 : une image vaut mieux qu’un long discours !
En 1968, Omega envoya 45 chronométreurs à Mexico ainsi que 8 tonnes d'équipement, dont le système Photosprint, qui servait à filmer tous les coureurs à l'arrivée d'une course. Cet appareil était capable de déterminer à quel moment chaque concurrent franchissait la ligne d'arrivée sur une seule et même image. Dans la minute suivant la fin de la course, les officiels se voyaient transmettre un cliché révélant les temps officiels de chaque coureur. Une fois de plus, Omega s'était montrée à la hauteur des attentes en mettant au point une nouvelle technologie de chronométrage révolutionnaire et décisive. Cette caméra enregistra 10 records du monde cette année-là à l'Estadio Olimpico. Un chiffre que l'on peut aussi expliquer par l'altitude importante, susceptible de favoriser les performances des athlètes.
En 1968, Omega envoya 45 chronométreurs à Mexico ainsi que 8 tonnes d'équipement, dont le système Photosprint, qui servait à filmer tous les coureurs à l'arrivée d'une course. Cet appareil était capable de déterminer à quel moment chaque concurrent franchissait la ligne d'arrivée sur une seule et même image. Dans la minute suivant la fin de la course, les officiels se voyaient transmettre un cliché révélant les temps officiels de chaque coureur. Une fois de plus, Omega s'était montrée à la hauteur des attentes en mettant au point une nouvelle technologie de chronométrage révolutionnaire et décisive. Cette caméra enregistra 10 records du monde cette année-là à l'Estadio Olimpico. Un chiffre que l'on peut aussi expliquer par l'altitude importante, susceptible de favoriser les performances des athlètes.
1984 : un vrai test pour les faux-départ
Les Jeux de Los Angeles en 1984 sont entrés dans les annales pour leur série de performances inoubliables en athlétisme, notamment les 4 médailles d'or de l'Américain Carl Lewis. En coulisses, Omega s'est également surpassée en introduisant le premier système de détection des faux départs. Extrêmement sensible, cet appareil fonctionnait en mesurant la pression exercée par les coureurs contre les starting blocks. Lorsque l'athlète se propulsait en avant, son temps de réaction était mesuré à partir du moment où ses jambes exerçaient 29 kg de pression (27 kg pour les femmes). Avec un temps de réaction autorisé de 0,100 seconde, l'horloger était désormais capable de détecter le plus infime faux départ.
Les Jeux de Los Angeles en 1984 sont entrés dans les annales pour leur série de performances inoubliables en athlétisme, notamment les 4 médailles d'or de l'Américain Carl Lewis. En coulisses, Omega s'est également surpassée en introduisant le premier système de détection des faux départs. Extrêmement sensible, cet appareil fonctionnait en mesurant la pression exercée par les coureurs contre les starting blocks. Lorsque l'athlète se propulsait en avant, son temps de réaction était mesuré à partir du moment où ses jambes exerçaient 29 kg de pression (27 kg pour les femmes). Avec un temps de réaction autorisé de 0,100 seconde, l'horloger était désormais capable de détecter le plus infime faux départ.