Depuis quelques mois déjà, Perrelet s’est faite plus rare sur le marché. La marque étant confrontée à la concurrence et à des ventes en bernes… Elle revient en cet automne 2019 avec une nouveauté qui n’a rien de révolutionnaire, puisqu’il s’agit d’une réinterprétation d’un modèle déjà existant, mais dans un boitier en PVD noir…
Rappelons que la technologie du double rotor est historique chez Perrelet… C’est incontestablement « son » signe distinctif. Cette innovation technique fut mise au point en 1995 après cinq années de recherche et de développement en hommage à Abraham-Louis Perrelet, fondateur de la marque en 1777.
Dans la pratique, cette double masse oscillante (à ne pas confondre avec les turbines de Perrelet qui ne sont pas fonctionnelles) permet au mécanisme de tirer son énergie des deux rotors.
Le premier est positionné sous le calibre P481, alors que le second est visible côté cadran, ce qui permet à son propriétaire d'observer la fonction de recharge du mouvement sans avoir à ôter sa montre. La rotation des deux masses, parfaitement synchronisées, alimente le barillet et « fournit un pouvoir de remontage plus efficient » assure la marque dans son communiqué.
La collection First Class Double Rotor présentée par Perrelet en 2015, dans un nouveau style avec un boitier en acier de 42,5 mm (étanche 50 mètres) a été commercialisée à l’époque afin de célébrer les vingt ans du « Double Rotor ». La boite est traitée en PVD noir : une première pour cette collection.
Elle arrive cette année dans cette variante avec cadran guilloché noir et « squeletté » duquel ressort la seconde masse rhodiée et finement décorée de Côtes de Genève. A noter que le 26ème rubis du calibre se trouve au centre du fameux rotor et permet d'éviter l'usure occasionnée par les frictions de la masse en mouvement (automatique bien évidemment !).
Ce modèle embarque un bracelet alligator noir avec une boucle déployante. Edition limitée à 240 exemplaires.
Rappelons que la technologie du double rotor est historique chez Perrelet… C’est incontestablement « son » signe distinctif. Cette innovation technique fut mise au point en 1995 après cinq années de recherche et de développement en hommage à Abraham-Louis Perrelet, fondateur de la marque en 1777.
Dans la pratique, cette double masse oscillante (à ne pas confondre avec les turbines de Perrelet qui ne sont pas fonctionnelles) permet au mécanisme de tirer son énergie des deux rotors.
Le premier est positionné sous le calibre P481, alors que le second est visible côté cadran, ce qui permet à son propriétaire d'observer la fonction de recharge du mouvement sans avoir à ôter sa montre. La rotation des deux masses, parfaitement synchronisées, alimente le barillet et « fournit un pouvoir de remontage plus efficient » assure la marque dans son communiqué.
La collection First Class Double Rotor présentée par Perrelet en 2015, dans un nouveau style avec un boitier en acier de 42,5 mm (étanche 50 mètres) a été commercialisée à l’époque afin de célébrer les vingt ans du « Double Rotor ». La boite est traitée en PVD noir : une première pour cette collection.
Elle arrive cette année dans cette variante avec cadran guilloché noir et « squeletté » duquel ressort la seconde masse rhodiée et finement décorée de Côtes de Genève. A noter que le 26ème rubis du calibre se trouve au centre du fameux rotor et permet d'éviter l'usure occasionnée par les frictions de la masse en mouvement (automatique bien évidemment !).
Ce modèle embarque un bracelet alligator noir avec une boucle déployante. Edition limitée à 240 exemplaires.