Avant de créer son propre atelier horloger en 1980, Roger Dubuis a travaillé pendant quatorze ans chez Patek Philippe à la conception de calibres à grandes complications. Sa marque, éponyme, démarre en 1995 avec l’aide du designer Carlos Dias.
Quand Roger Dubuis évoquait son parcours, on restait subjugués par son engagement profond et son amour total du métier. Que ce soit en restaurant des pièces compliquées dans la Galerie d’Horlogerie Ancienne (rebaptisée par la suite Antiquorum), en consacrant son expertise aux ébauches dans le département Grande Complication de chez Patek ou en fondant le Groupement Genevois des Cabinotiers, cet horloger de renom s’est toujours posé en gardien des professions horlogères.
« Mon caractère s’est forgé à travers la restauration, expliquait Roger Dubuis. Qu’y a-t-il de plus émouvant et d’inspirant que de marcher sur les pas de ces horlogers d’un autre temps ? J’ai toujours éprouvé une immense admiration et un profond respect pour leur travail, leur discipline, leur intégrité et leur intelligence supérieure. L’objectif a toujours été de veiller à ce que les passionnés de complications horlogères puissent continuer à apprécier ces chefs d’oeuvre – qu’il s’agisse de créations nouvelles ou anciennes – et de les perpétuer à notre tour. »
Et de poursuivre, « la montre a toujours été un objet émouvant pour moi », raconte M. Roger Dubuis. « Dans ma jeunesse, j’étais fasciné par ces cadrans étincelants. Ils me faisaient rêver. Mon parcours d’horloger a commencé au pied de l’église de mon village, dont j’admirais le clocher et la grande horloge. C’est à cette époque que je suis tombé éperdument amoureux des mécanismes horlogers. Lorsque j’ai fondé la manufacture en 1995, j’ai souhaité créer une montre qui témoigne de ma gratitude envers mes maîtres, mes amis et tous ceux qui m’ont aidé dans l’apprentissage et le perfectionnement de mon art ».
Quand Roger Dubuis évoquait son parcours, on restait subjugués par son engagement profond et son amour total du métier. Que ce soit en restaurant des pièces compliquées dans la Galerie d’Horlogerie Ancienne (rebaptisée par la suite Antiquorum), en consacrant son expertise aux ébauches dans le département Grande Complication de chez Patek ou en fondant le Groupement Genevois des Cabinotiers, cet horloger de renom s’est toujours posé en gardien des professions horlogères.
« Mon caractère s’est forgé à travers la restauration, expliquait Roger Dubuis. Qu’y a-t-il de plus émouvant et d’inspirant que de marcher sur les pas de ces horlogers d’un autre temps ? J’ai toujours éprouvé une immense admiration et un profond respect pour leur travail, leur discipline, leur intégrité et leur intelligence supérieure. L’objectif a toujours été de veiller à ce que les passionnés de complications horlogères puissent continuer à apprécier ces chefs d’oeuvre – qu’il s’agisse de créations nouvelles ou anciennes – et de les perpétuer à notre tour. »
Et de poursuivre, « la montre a toujours été un objet émouvant pour moi », raconte M. Roger Dubuis. « Dans ma jeunesse, j’étais fasciné par ces cadrans étincelants. Ils me faisaient rêver. Mon parcours d’horloger a commencé au pied de l’église de mon village, dont j’admirais le clocher et la grande horloge. C’est à cette époque que je suis tombé éperdument amoureux des mécanismes horlogers. Lorsque j’ai fondé la manufacture en 1995, j’ai souhaité créer une montre qui témoigne de ma gratitude envers mes maîtres, mes amis et tous ceux qui m’ont aidé dans l’apprentissage et le perfectionnement de mon art ».