Grâce à sa manufacture intégrée, Roger Dubuis maîtrise toutes les complications horlogères dans ses propres ateliers.
« Chez Roger Dubuis, le choix du Poinçon de Genève va de pair avec la recherche d’excellence qui préside à toutes ses créations depuis ses origines » rappelle la marque dans son communiqué.
Dans la hiérarchie des références, le Poinçon de Genève compte parmi les certifications les plus exigeantes. Seules quelques 24.000 montres sur les 30 millions produites chaque année en Suisse en sont estampillées (dont certaines Vacheron Constantin, Cartier ou encore Chopard).
Cependant, la manufacture Roger Dubuis est la seule à faire certifier l’intégralité de sa production –soit environ 5.000 pièces chaque année (un quart de l’ensemble des montres Poinçon de Genève). Car pour la marque, « le Poinçon de Genève n’est pas un aboutissement, mais le point de départ de l’excellence » remarque le communiqué.
Fort logiquement, seules les montres assemblées, emboîtées et réglées à Genève peuvent prétendre au Poinçon de Genève, dont le sigle emprunte au drapeau du canton son aigle couronné associé à une clé. Un emblème auquel Roger Dubuis a symboliquement rendu hommage lors de l’édition 2013 du Salon International de la Haute Horlogerie (SIHH), avec un aigle couronné géant, tenant dans ses serres une clé frappée des valeurs du Poinçon de Genève que sont l’origine, l’exclusivité, le savoir-faire, la performance et la longévité.
Dans cet esprit, la manufacture vient donc de présenter ce film réalisé par Ruth Hogben. Après de nombreuses collaborations internationales avec de grands noms de la mode et de la Haute Couture tels que Nick Knight, Alexander Mc Queen et Lady Gaga, Ruth Hogben s’attaque désormais à mettre en lumière la beauté de la Haute Horlogerie et du Poinçon de Genève.
Rappelons que le Poinçon de Genève est entré en vigueur en 1886. Octroyé par l’État de Genève, il offre la garantie officielle que le mouvement mécanique de la montre a été fabriqué à la main, assemblé et réglé à Genève, et qu’il respecte les exigences rigoureuses de la bienfacture horlogère, selon douze critères historiques. Tous les composants d’un mouvement estampillé de ce label sont terminés à la main et délicatement décorés, même ceux qui ne sont jamais exposés au regard.
En 2011, année du 125e anniversaire du label, l’entité indépendante de l’État de Genève Timelab, Laboratoire d’Horlogerie et de Microtechnique de Genève, a entrepris des ajustements majeurs des critères d’attribution du Poinçon de Genève, afin de mieux prendre en compte les attentes du client. Si les conditions imposées jusqu’alors demeurent, de nouvelles exigences sont venues s’ajouter. Principale modification : c’est désormais toute la montre qui est sanctionnée, et non plus uniquement son mouvement.
Ainsi, chaque garde-temps est soumis individuellement à une série d’épreuves rigoureuses durant sept jours, afin de vérifier sa précision, son étanchéité, ses fonctions, ainsi que sa réserve de marche.
Dans les ateliers de production des composants Roger Dubuis, 60% des artisans –soit une soixantaine de personnes réparties en vingt groupes représentant chacun un métier différent– sont dédiés à la réalisation des critères de la certification.
« Protéger et promouvoir ce savoir-faire artisanal et régional exige non seulement de la rigueur, mais aussi du temps. Ainsi, la fabrication d’un mouvement selon les exigences du Poinçon de Genève requiert près de 40% de travail supplémentaire » affirme encore la marque qui conclut : « c’est sans doute pourquoi Roger Dubuis est la seule manufacture horlogère à estampiller la totalité de sa production. C’était vrai hier, cela le sera demain ».
« Chez Roger Dubuis, le choix du Poinçon de Genève va de pair avec la recherche d’excellence qui préside à toutes ses créations depuis ses origines » rappelle la marque dans son communiqué.
Dans la hiérarchie des références, le Poinçon de Genève compte parmi les certifications les plus exigeantes. Seules quelques 24.000 montres sur les 30 millions produites chaque année en Suisse en sont estampillées (dont certaines Vacheron Constantin, Cartier ou encore Chopard).
Cependant, la manufacture Roger Dubuis est la seule à faire certifier l’intégralité de sa production –soit environ 5.000 pièces chaque année (un quart de l’ensemble des montres Poinçon de Genève). Car pour la marque, « le Poinçon de Genève n’est pas un aboutissement, mais le point de départ de l’excellence » remarque le communiqué.
Fort logiquement, seules les montres assemblées, emboîtées et réglées à Genève peuvent prétendre au Poinçon de Genève, dont le sigle emprunte au drapeau du canton son aigle couronné associé à une clé. Un emblème auquel Roger Dubuis a symboliquement rendu hommage lors de l’édition 2013 du Salon International de la Haute Horlogerie (SIHH), avec un aigle couronné géant, tenant dans ses serres une clé frappée des valeurs du Poinçon de Genève que sont l’origine, l’exclusivité, le savoir-faire, la performance et la longévité.
Dans cet esprit, la manufacture vient donc de présenter ce film réalisé par Ruth Hogben. Après de nombreuses collaborations internationales avec de grands noms de la mode et de la Haute Couture tels que Nick Knight, Alexander Mc Queen et Lady Gaga, Ruth Hogben s’attaque désormais à mettre en lumière la beauté de la Haute Horlogerie et du Poinçon de Genève.
Rappelons que le Poinçon de Genève est entré en vigueur en 1886. Octroyé par l’État de Genève, il offre la garantie officielle que le mouvement mécanique de la montre a été fabriqué à la main, assemblé et réglé à Genève, et qu’il respecte les exigences rigoureuses de la bienfacture horlogère, selon douze critères historiques. Tous les composants d’un mouvement estampillé de ce label sont terminés à la main et délicatement décorés, même ceux qui ne sont jamais exposés au regard.
En 2011, année du 125e anniversaire du label, l’entité indépendante de l’État de Genève Timelab, Laboratoire d’Horlogerie et de Microtechnique de Genève, a entrepris des ajustements majeurs des critères d’attribution du Poinçon de Genève, afin de mieux prendre en compte les attentes du client. Si les conditions imposées jusqu’alors demeurent, de nouvelles exigences sont venues s’ajouter. Principale modification : c’est désormais toute la montre qui est sanctionnée, et non plus uniquement son mouvement.
Ainsi, chaque garde-temps est soumis individuellement à une série d’épreuves rigoureuses durant sept jours, afin de vérifier sa précision, son étanchéité, ses fonctions, ainsi que sa réserve de marche.
Dans les ateliers de production des composants Roger Dubuis, 60% des artisans –soit une soixantaine de personnes réparties en vingt groupes représentant chacun un métier différent– sont dédiés à la réalisation des critères de la certification.
« Protéger et promouvoir ce savoir-faire artisanal et régional exige non seulement de la rigueur, mais aussi du temps. Ainsi, la fabrication d’un mouvement selon les exigences du Poinçon de Genève requiert près de 40% de travail supplémentaire » affirme encore la marque qui conclut : « c’est sans doute pourquoi Roger Dubuis est la seule manufacture horlogère à estampiller la totalité de sa production. C’était vrai hier, cela le sera demain ».
