A l’occasion de la visite en Suisse du Premier ministre chinois Li Kequiang le 24 mai 2013, la Fédération Horlogère suisse (FH) et le Secrétariat d’état à l’économie (SECO) ont signé un protocole d’entente avec la China Horologe Association et le Ministère chinois de l'industrie et des technologies de l'information.
Plus concrètement, ce protocole horloger a pour objectif de créer un groupe de travail quadripartite sous les auspices de la commission économique mixte bilatérale établie par l'Accord de commerce de 1974. La signature de ce protocole s'inscrit également dans la perspective de l’accord de libre-échange entre la Suisse et la Chine qui sera signé ces prochains mois.
A l’instar d’autres groupes similaires, le groupe de travail horloger agira comme plate-forme d’échange et de coopération entre les parties, dans le but de favoriser principalement le développement des relations commerciales, la protection des droits de propriété intellectuelle et des indications d’origine, en particulier du Swiss made, la lutte anti-contrefaçon et l'échange d'expérience.
Ainsi, le groupe de travail pourra examiner les problèmes concrets auxquels sont confrontés les acteurs de la branche, tant en Suisse qu’en Chine, et émettre des propositions tout aussi concrètes afin d’y remédier. Il est prévu que le groupe se réunisse au moins une fois par an.
L’importance du marché chinois pour les garde-temps suisses n’est plus à démontrer. La FH a donc estimé utile de participer à la constitution de ce groupe de travail. Dans les faits, celui-ci offrira une plate-forme supplémentaire, au niveau des experts, pour améliorer la prise en compte des intérêts de l’industrie horlogère suisse. La FH salue la constitution d'un tel groupe de travail avec l'un des principaux partenaires commerciaux de la branche.
Plus concrètement, ce protocole horloger a pour objectif de créer un groupe de travail quadripartite sous les auspices de la commission économique mixte bilatérale établie par l'Accord de commerce de 1974. La signature de ce protocole s'inscrit également dans la perspective de l’accord de libre-échange entre la Suisse et la Chine qui sera signé ces prochains mois.
A l’instar d’autres groupes similaires, le groupe de travail horloger agira comme plate-forme d’échange et de coopération entre les parties, dans le but de favoriser principalement le développement des relations commerciales, la protection des droits de propriété intellectuelle et des indications d’origine, en particulier du Swiss made, la lutte anti-contrefaçon et l'échange d'expérience.
Ainsi, le groupe de travail pourra examiner les problèmes concrets auxquels sont confrontés les acteurs de la branche, tant en Suisse qu’en Chine, et émettre des propositions tout aussi concrètes afin d’y remédier. Il est prévu que le groupe se réunisse au moins une fois par an.
L’importance du marché chinois pour les garde-temps suisses n’est plus à démontrer. La FH a donc estimé utile de participer à la constitution de ce groupe de travail. Dans les faits, celui-ci offrira une plate-forme supplémentaire, au niveau des experts, pour améliorer la prise en compte des intérêts de l’industrie horlogère suisse. La FH salue la constitution d'un tel groupe de travail avec l'un des principaux partenaires commerciaux de la branche.
