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The Arctic Arc : 110 jours pour relever un défi scientifique, pédagogique et sportif… avec une Explorer II au poignet


Avec le soutien de Rolex comme sponsor officiel, Alain Hubert et Dixie Dansercoer se sont lancés début février dans un périple de quatre mois et 4'300 km à travers l'Arctique. Leur objectif : faire avancer la recherche scientifique sur le climat des latitudes élevées. Avec au poignet une Rolex Explorer II.


The Arctic Arc : 110 jours pour relever un défi scientifique, pédagogique et sportif… avec une Explorer II au poignet
Pour célébrer l'année polaire internationale 2007-2008, Alain Hubert, explorateur de 53 ans et Dixie Dansercoer, aventurier de l'extrême âgé de 45 ans, tentent actuellement une traversée de l'Arctique depuis la Sibérie jusqu'au Groenland.

Durant cette aventure, en plus de leur participation à un programme éducatif complet, Alain et Dixie contribueront aux recherches de divers instituts polaires en prenant des mesures et des échantillons.

Jusqu'à ce jour, les grandes traversées de l'Arctique sont toujours parties du cap Arktishewski, en Sibérie, pour s'achever à l'île d'Ellesmere, franchissant ainsi une distance d'environ 1.700 kilomètres. L'itinéraire projeté par Alain Hubert est considérablement plus long, s'achevant à la pointe la plus méridionale du Groenland, en couvrant ainsi quelques 4.300 kilomètres en environ quatre mois. Jamais exploit comparable n'a été tenté dans l'Arctique.

L'expédition a débuté en février dernier et devrait durer jusqu'en juin 2007. Partant de l'archipel de Severnaya Zemlya, l'équipe devrait arriver à Narssarssuaq cent-dix jours plus tard.

Un enjeu scientifique majeur pour un monde plus responsable
Pendant toute la durée de l’expédition, Alain Hubert contribuera à de nombreuses études scientifiques en collaboration avec l’ESA, l’Agence Spatiale Européenne. Ainsi, il vérifiera et complétera les données répertoriées à l’aide de satellites (ERS1 et ERS2). Il prélèvera et analysera aussi des échantillons de glace*, dont l’épaisseur et la composition sont révélatrices, entre autres, des évolutions du climat mondial.

Par ailleurs, il ramènera de son périple des informations capitales sur la neige - capacité de réflexion, structure - et la glace de mer, via la validation d’un modèle mathématique. Un programme complet en collaboration avec l’AARI, Arctic and Antarctic Russian Institute, étudiera de près les déplacements de la banquise.

Autant de missions qui contribuent à une connaissance plus pointue des mécanismes en place sur cette partie du globe, et dont les évolutions conditionnent le climat de la planète. Le travail d’Alain Hubert permettra certainement d’orienter les actions qui, demain, préserveront la qualité de notre environnement.

*L’Arctique est un océan de glace entouré de terre, un territoire essentiellement marin. La banquise polaire dite « éternelle » est composée de glace dont l’épaisseur est d’environ 5 mètres et qui flotte au-dessus d’une profondeur atteignant parfois 5 000 mètres. La banquise mobile, quant à elle, se déplace dans la mer, soumise aux courants et aux marées.

Un enjeu pédagogique pour embarquer les jeunes dans l’expédition
Le projet éducatif poursuivi par The Arctic Arc est particulièrement ambitieux : d’envergure mondiale, il vise à sensibiliser les 8-18 ans de plus de 40 pays aux questions du développement durable et au respect de la planète.

Il a été conçu par l’équipe pédagogique de la Fondation Polaire Internationale. Ainsi, de février à juin 2007, les jeunes pourront suivre l’expédition grâce à la mise en ligne sur www.educapoles.org de dossiers, articles, interviews des aventuriers, animations et autres vidéos.

Les documents, qui traiteront de la biodiversité, de la glace et des océans seront disponibles dans plusieurs langues. Impact et découvertes à chaque étape !

L’expédition The Arctic Arc sur tous les fronts
La Fondation Polaire Internationale prévoit de construire la première base scientifique « Zéro Emission » en Antarctique, idéale pour enrichir le programme pédagogique de nouveaux thèmes.

Un enjeu sportif inédit pour ouvrir de nouvelles voies
Jusqu’à aujourd’hui, les grandes traversées de l’Arctique partaient du cap Arktishewski, en Sibérie, pour s’achever sur l’Ile d’Ellesmere, soit un périple de 1 700 kilomètres. Dès le 24 février, Alain Hubert et Dixie Dansercoer prolongeront le parcours de 2 600 kilomètres et emprunteront une voie jamais envisagée entre la Sibérie et le Groenland. Ils partiront de l’archipel de Severnaya Zemlya (Arctique russe), passeront par le pôle Nord pour atteindre le point le plus septentrional du Groenland, poursuivront vers le sud à travers la calotte glaciaire jusqu’à Narssarssuaq, la pointe la plus méridionale du Groenland. 110 jours de glace instable et de vent gelé, pendant lesquels les deux hommes tireront des traîneaux de 130 kg, transformables en vaisseaux amphibies pour franchir les eaux libres.

Ils avanceront par tous les moyens : marche à pied, ski et voiles si les vents le permettent. D’ores et déjà, la lutte que livreront les deux aventuriers, tant physiquement que mentalement, contre des conditions météorologiques particulièrement difficiles, force le respect.

Entraînés suivant un programme conçu en collaboration avec le Comité Olympique Belge, Alain Hubert et Dixie Dansercoer ne trouveront sur leur route que deux points de ravitaillement, cruciaux pour la réussite de l’expédition. Le premier, une base scientifique située à Barneo, sera atteint vers le 6 avril, le second se situe au Groenland.

The Arctic Arc : l’expédition de l’extrême
• Des températures pouvant atteindre – 30°C suivant les zones traversées.
• 2 points de ravitaillement stratégiques prévus.
• Des voiles de 7m2 et de 21m2 spécialement conçues pour les conditions extrêmes.
• Deux traîneaux de 130 kg chacun (au départ du périple), tirés à dos d’homme.
• Récolte des données scientifiques pour l’ESA pendant 1 700 km.
• Un itinéraire de 4 300 km à parcourir en 110 jours, soit le plus long jamais tenté sur ce parcours.
• En matière de nourriture, 6 000 Kcalories et 180 grammes de chocolat par personne et par jour sont prévus.
Départ le 24 février de Severnaya Zemlya (80°00’N 100°00’E) et arrivée vers le 13 juin à Narssarssuaq (61°10’N 45°25’W).

Rolex Explorer II

Paroles d’aventuriers

C’est la vie, un point c’est tout
« L’entraînement est une façon de vivre. Cela fait près de 30 ans que je fais de la montagne et plus de dix ans que je pars en expédition polaire (…). Je crois que mon corps est habitué à ce type de vie et il se souvient des efforts que je lui impose. Cette notion de mémoire du corps - et de l’esprit d’ailleurs - est primordiale pour moi (…) C’est important à mes yeux de dire cela parce que, dans mes expéditions, et en particulier dans les grandes expéditions polaires, je crois que le corps et l’esprit se souviennent d’une histoire (…) Cette expédition-ci, ce n’est pas un truc exceptionnel dans ma vie. C’est ma vie. Un point c’est tout. » Alain Hubert

Être fort physiquement et solide mentalement
« J’ai commencé à m’entraîner lorsque j’ai réalisé que je devais être plus fort : cela signifie non seulement être plus fort physiquement mais être aussi plus solide mentalement. Je devais donc chercher quelque part des forces supplémentaires. C’est pour cela que j’ai contacté le Comité Olympique Belge afin de leur demander s’ils ne pouvaient pas mettre sur pied un programme qui pourrait répondre à nos besoins, c’est-à-dire pouvoir tirer un traîneau de près de 130 kilos à travers le chaos glaciaire. » Dixie Dansercoer

Oyster Perpetual Explorer II

Rolex Explorer II
L’aventure de l’Oyster est une succession d’actes pionniers et visionnaires. C’est tout d’abord un pari, celui de la montre-bracelet. C’est aussi une quête, celle de la précision chronométrique et de l’étanchéité, conditions sine qua non à la réussite de ce pari.

C’est enfin une succession d’innovations technologiques et conceptuelles qui ont permis à Rolex de devenir aujourd’hui symbole d’absolue qualité et de prestige à travers le monde.

Rolex et les montres professionnelles
Au début des années 1950, Rolex crée les montres professionnelles dont l’utilisation dépasse la simple lecture de l’heure. Tout en s’adressant à des catégories professionnelles particulières (alpinistes, plongeurs, pilotes, spéléologues et scientifiques), ces montres sont adoptées par un très vaste public. Dès leur lancement, en 1953, elles marquent le début d’un engouement qui ne s’est jamais démenti.

Rolex porte ce concept dès les origines, car le principe même de la montre-bracelet donne une dimension «professionnelle » à la montre : elle s’adresse clairement à des femmes et des hommes actifs, voire d’action. Descendant en droite ligne de l’Explorer, qui, la première, gravit le toit du monde lors de l’ascension de l’Everest en 1953, l’Explorer II a depuis longtemps confirmé ses qualités de solidité, fiabilité et sa résistance aux situations extrêmes lors des expéditions aux quatre coins du monde.

Chronomètre suisse officiellement certifié, étanche à 100 mètres, automatique, munie de la date et d’une glace saphir avec cyclope, ce modèle possède une lunette fixe graduée 24 heures. L’Oyster Perpetual Explorer II permet de savoir si l’heure indiquée est celle du jour ou de la nuit grâce à une aiguille rouge qui accomplit un tour complet de cadran en 24 heures. Grâce à ce dispositif, la montre peut être réglée à l’heure de différents fuseaux horaires sans avoir à interrompre son fonctionnement normal.

Pour aller plus loin, rendez vous sur le site Internet www.antartica.org

Montres-de-luxe.com | Publié le 22 Mars 2007 | Lu 3465 fois






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