Voici un concept intéressant même s’il n’est pas entièrement nouveau dans l’industrie horlogère… En effet, en l’occurrence, le précurseur en la matière fut Vacheron Constantin qui introduit son concept Les Collectionneurs (et The Collectibles pour JLC) initié par Dominique Bernaz il y a dix ans déjà et aujourd’hui sous la responsabilité de l’élégant Christian Selmoni,
Une bonne chose. Le fait est que de nombreuses marques horlogères ne regardent vers le passé que pour créer de nouveaux garde-temps s’inspirant d’anciens modèles. Soit. C’est tout à fait légitime. Mais cela à ses limites.
Et c’est oublier, souvent un peu vite, que la plupart des garde-temps fabriqués au cours du 20ème fonctionnent encore ou n’ont parfois besoin que d’une petite remise en état pour vivre une seconde vie… Une seconde jeunesse. Si Vacheron Constantin fut précurseur, de nombreuses autres marques lui emboitèrent rapidement le pas et notamment F.P.Journe et plus récemment Zenith .
Une bonne chose. Le fait est que de nombreuses marques horlogères ne regardent vers le passé que pour créer de nouveaux garde-temps s’inspirant d’anciens modèles. Soit. C’est tout à fait légitime. Mais cela à ses limites.
Et c’est oublier, souvent un peu vite, que la plupart des garde-temps fabriqués au cours du 20ème fonctionnent encore ou n’ont parfois besoin que d’une petite remise en état pour vivre une seconde vie… Une seconde jeunesse. Si Vacheron Constantin fut précurseur, de nombreuses autres marques lui emboitèrent rapidement le pas et notamment F.P.Journe et plus récemment Zenith .
Aujourd’hui donc, c’est Jaeger-LeCoultre et son très riche patrimoine horloger qui entre dans la danse ! « Rare et prisée, chaque pièce « The Collectibles » a été soigneusement sélectionnée pour incarner un jalon important tant pour Jaeger-LeCoultre que pour l’horlogerie du XXe siècle » indique la marque dans son communiqué.
Sélection évolutive (forcément, puisque la marque est tributaire de ce qu’elle trouve sur le marché), les montres « The Collectibles » seront disponibles à l’achat sur Jaeger-lecoultre.com et sous forme de collections capsule qui voyageront à travers le monde.
Dans ce premier florilège, on retrouve des modèles emblématiques comme la Geophysic, la Memovox Parking, la Master Mariner Deep Sea et la Shark Deep Sea. Chacun d’eux s’accompagne d’un extrait des archives Jaeger-LeCoultre, d’un nouveau bracelet et d’un exemplaire du livre The Collectibles.
Sélection évolutive (forcément, puisque la marque est tributaire de ce qu’elle trouve sur le marché), les montres « The Collectibles » seront disponibles à l’achat sur Jaeger-lecoultre.com et sous forme de collections capsule qui voyageront à travers le monde.
Dans ce premier florilège, on retrouve des modèles emblématiques comme la Geophysic, la Memovox Parking, la Master Mariner Deep Sea et la Shark Deep Sea. Chacun d’eux s’accompagne d’un extrait des archives Jaeger-LeCoultre, d’un nouveau bracelet et d’un exemplaire du livre The Collectibles.
L’écrin, les documents et le bracelet originaux seront également inclus lorsqu’ils sont disponibles. Chaque montre de la collection « The Collectibles » est méticuleusement contrôlée et validée par les experts historiques de Jaeger-LeCoultre, puis restaurée par les maîtres-horlogers de l’atelier restauration de la Manufacture.
Les experts restaurateurs, actuellement au nombre de dix, explorent les archives de la Manufacture à la recherche des plans de chaque montre jamais fabriquée, retrouvant même parfois des composants originaux. Et lorsque ceux-ci ne sont pas disponibles, les restaurateurs disposent de pas moins de 6.000 étampes permettant de recréer un composant à l’identique.
La manufacture étant entièrement intégrée, la totalité du processus de restauration peut être réalisé en interne. Alors que la restauration mécanique implique un travail parfois conséquent, nos experts veillent à n’intervenir qu’au minimum sur le boîtier de la montre, afin de ne pas altérer la valeur historique de la pièce pour les collectionneurs.
Les experts restaurateurs, actuellement au nombre de dix, explorent les archives de la Manufacture à la recherche des plans de chaque montre jamais fabriquée, retrouvant même parfois des composants originaux. Et lorsque ceux-ci ne sont pas disponibles, les restaurateurs disposent de pas moins de 6.000 étampes permettant de recréer un composant à l’identique.
La manufacture étant entièrement intégrée, la totalité du processus de restauration peut être réalisé en interne. Alors que la restauration mécanique implique un travail parfois conséquent, nos experts veillent à n’intervenir qu’au minimum sur le boîtier de la montre, afin de ne pas altérer la valeur historique de la pièce pour les collectionneurs.
L’équipe Jaeger-LeCoultre Héritage recherche donc des montres les plus proches possibles de leur état d’origine.
« Restaurer ces pièces d’exception pour leur offrir une seconde vie s’inscrit dans l’air du temps, à une époque où le respect de l’environnement et la durabilité sont des préoccupations majeures », précise Catherine Rénier, PDG de la marque.
Et d’ajouter : « c’est un plaisir de voir des montres de 50 voire 80 ans reprendre vie. Dans ces objets intemporels et durables qui se transmettent de génération en génération, je vois un symbole de la beauté de notre monde. »
*Ce beau livre couvre 17 des modèles les plus notables de la Manufacture entre 1925 et 1974, « âge d’or » de l’horlogerie au XXe siècle.
« Restaurer ces pièces d’exception pour leur offrir une seconde vie s’inscrit dans l’air du temps, à une époque où le respect de l’environnement et la durabilité sont des préoccupations majeures », précise Catherine Rénier, PDG de la marque.
Et d’ajouter : « c’est un plaisir de voir des montres de 50 voire 80 ans reprendre vie. Dans ces objets intemporels et durables qui se transmettent de génération en génération, je vois un symbole de la beauté de notre monde. »
*Ce beau livre couvre 17 des modèles les plus notables de la Manufacture entre 1925 et 1974, « âge d’or » de l’horlogerie au XXe siècle.