L’alliance entre Tudor et Ducati va bien au-delà de l’association de deux marques. Elle représente davantage une communauté de valeurs, d’esprit et une approche stylistique commune. Au point que le partenariat entamé en 2011 vient d’être renouvelé pour s’intensifier et s’ouvrir sur des rapprochements encore plus inattendus. A témoin le nouveau chronographe Fastrider Black Shield et la Ducati Diavel Carbon customisée dans l’esprit des montres les plus sportives de la marque horlogère suisse.
La ligne Fastrider de Tudor exprime avec force l’univers viril des courses motorisées. Ces chronos, dotés d’un boîtier étanche de 42 mm de diamètre en acier, sont équipés du calibre Tudor 7753 à remontage automatique disposant d’une réserve de marche de 46 heures. L’esprit résolument sportif de ces chronographes est souligné par les poussoirs, insérés dans la carrure par des cylindres en PVD noir qui évoquent des pistons de moteur, ainsi que par l’échelle tachymétrique gravée sur la lunette.
En 2011, le partenariat entre Tudor et Ducati avait donné lieu à un modèle Fastrider commémoratif doté des mêmes caractéristiques techniques que les autres modèles, mais rehaussé par des touches de rouge Ducati sur les bandes verticales du bracelet et sur le cadran, créant un superbe contraste avec le bracelet tissu et les compteurs noirs.
En 2013, Tudor va encore plus loin en présentant le nouveau chronographe Fastrider Black Shield. Une entrée remarquée dans le concept du noir monochrome et de l’esthétique pure et racée. « Un concentré de technologies pour encore davantage de puissance et d’émotion. Car la nouvelle Tudor Fastrider Black Shield, c’est d’abord un boîtier monobloc en céramique high-tech noire mate » assure l’horloger dans son communiqué. C’est ensuite un garde-temps –totalement noir– hors du commun.
Monolithique et inrayable, le boîtier monobloc en céramique noire mate de la Fastrider Black Shield est un modèle du genre. Sa particularité ? Non seulement il est exécuté entièrement en céramique high-tech injectée – et non composé de céramique posée en surcouche sur un autre matériau – mais il est réalisé d’un seul tenant. Ainsi toute la carrure est produite en une seule pièce, une performance unique pour des montres de ce segment.
La ligne Fastrider de Tudor exprime avec force l’univers viril des courses motorisées. Ces chronos, dotés d’un boîtier étanche de 42 mm de diamètre en acier, sont équipés du calibre Tudor 7753 à remontage automatique disposant d’une réserve de marche de 46 heures. L’esprit résolument sportif de ces chronographes est souligné par les poussoirs, insérés dans la carrure par des cylindres en PVD noir qui évoquent des pistons de moteur, ainsi que par l’échelle tachymétrique gravée sur la lunette.
En 2011, le partenariat entre Tudor et Ducati avait donné lieu à un modèle Fastrider commémoratif doté des mêmes caractéristiques techniques que les autres modèles, mais rehaussé par des touches de rouge Ducati sur les bandes verticales du bracelet et sur le cadran, créant un superbe contraste avec le bracelet tissu et les compteurs noirs.
En 2013, Tudor va encore plus loin en présentant le nouveau chronographe Fastrider Black Shield. Une entrée remarquée dans le concept du noir monochrome et de l’esthétique pure et racée. « Un concentré de technologies pour encore davantage de puissance et d’émotion. Car la nouvelle Tudor Fastrider Black Shield, c’est d’abord un boîtier monobloc en céramique high-tech noire mate » assure l’horloger dans son communiqué. C’est ensuite un garde-temps –totalement noir– hors du commun.
Monolithique et inrayable, le boîtier monobloc en céramique noire mate de la Fastrider Black Shield est un modèle du genre. Sa particularité ? Non seulement il est exécuté entièrement en céramique high-tech injectée – et non composé de céramique posée en surcouche sur un autre matériau – mais il est réalisé d’un seul tenant. Ainsi toute la carrure est produite en une seule pièce, une performance unique pour des montres de ce segment.
S’il fallait comparer la Tudor Fastrider Black Shield à un deux roues porteur, c’est sans conteste la Ducati Diavel Carbon qu’il faudrait retenir. Or Tudor a choisi d’aller plus loin en entamant une démarche originale : exprimer la puissance stylistique de la Fastrider Black Shield par une autre création unique. En l’occurrence une Ducati Diavel Carbon customisée –un exemplaire unique– selon les codes propres au chronographe Tudor.
Ainsi, la Ducati Diavel Carbon qui d’ordinaire présente cinq noirs différents –selon le matériau– a été réalisée en un noir mat monochrome (à base de graphite) sur la moto customisée. Un rappel à la teinte monochrome de la céramique noire mate du chronographe Black Shield. La restitution des équilibres entre le noir mat et les touches rouges des aiguilles et des index de la montre a fait l’objet d’un subtil travail de customisation sur la moto. Ainsi, un fin filet rouge de part et d’autre de la moto – jusqu’aux LED rouges intégrés dans le phare entièrement noir - souligne sa silhouette virile tandis que les jantes cerclées d’une bande rouge reprennent le halo rouge de la lunette du chronographe Black Shield.
Au final, une Ducati Diavel Carbon unique, hors du commun et un témoignage tangible de la proximité stylistique de Tudor et de Ducati qui célèbrent de la manière la plus dynamique qui soit le renouvellement de leur partenariat. Un nouveau jalon commun dans une histoire qui ne manque pas de parallèles. Car si Tudor et Ducati trouvent aujourd’hui un fécond terrain d’expression commune, nul hasard à cela, tant les deux sociétés sont proches. Leurs histoires respectives sont là pour en témoigner. Si leur année de naissance commune (1926) n’est qu’une coïncidence de bon augure, il n’y a en revanche aucune trace de hasard dans la convergence des philosophies animant Tudor et Ducati.
Les points communs entre les deux marques sont en effet frappants, au-delà de la date de fondation. Il en est notamment ainsi de la recherche constante de la performance et d’un design original, alliée à un style sportif raffiné et identifiable au premier coup d’oeil. Quant aux qualités de vitesse des puissants moteurs Ducati à distribution desmodromique, soutenus par la solidité des cadres sur lesquels ils sont montés, ils appellent la comparaison avec les propriétés reconnues de résistance, de fiabilité et de précision des montres Tudor.
Dès le début des années 1950, celles-ci furent d’ailleurs représentées dans des annonces publicitaires au poignet de motocyclistes, comme pour attester de leurs qualités de style et de performance sportive. On retrouve ces convergences entre les deux marques – étapes obligées d’un parcours commun bien plus que simples coïncidences – en 1946. Alors que Ducati lance la production de son premier moteur, le « Cucciolo », qui devient immédiatement célèbre dans le monde entier, la société Montres Tudor SA voit officiellement le jour à Genève.
Dans les années qui suivent, les deux sociétés s’emploient à réaliser des lignes de produits toujours plus typées (le Chronographe Oysterdate, aujourd’hui Heritage Chrono, chez Tudor, et la moto Monster, pour Ducati, sont des exemples de produits emblématiques au style ultra sportif, expressions parfaites de l’esprit des deux marques). En 2007, autre parallélisme notable dans la réalisation d’objectifs importants : alors que Tudor négocie le virage qui amènera à la marque sa visibilité actuelle, Ducati remporte son premier championnat du monde en Moto GP, avec un doublé titre pilotes et titre constructeurs.
Ces nombreux repères historiques rapprochant les deux sociétés expriment parfaitement la proximité d’esprit des deux marques. Ainsi le partenariat qui vient d’être renouvelé entre Tudor et Ducati s’impose à vrai dire comme une évidence, tant les concordances sont nombreuses entre les deux maisons.
Ainsi, la Ducati Diavel Carbon qui d’ordinaire présente cinq noirs différents –selon le matériau– a été réalisée en un noir mat monochrome (à base de graphite) sur la moto customisée. Un rappel à la teinte monochrome de la céramique noire mate du chronographe Black Shield. La restitution des équilibres entre le noir mat et les touches rouges des aiguilles et des index de la montre a fait l’objet d’un subtil travail de customisation sur la moto. Ainsi, un fin filet rouge de part et d’autre de la moto – jusqu’aux LED rouges intégrés dans le phare entièrement noir - souligne sa silhouette virile tandis que les jantes cerclées d’une bande rouge reprennent le halo rouge de la lunette du chronographe Black Shield.
Au final, une Ducati Diavel Carbon unique, hors du commun et un témoignage tangible de la proximité stylistique de Tudor et de Ducati qui célèbrent de la manière la plus dynamique qui soit le renouvellement de leur partenariat. Un nouveau jalon commun dans une histoire qui ne manque pas de parallèles. Car si Tudor et Ducati trouvent aujourd’hui un fécond terrain d’expression commune, nul hasard à cela, tant les deux sociétés sont proches. Leurs histoires respectives sont là pour en témoigner. Si leur année de naissance commune (1926) n’est qu’une coïncidence de bon augure, il n’y a en revanche aucune trace de hasard dans la convergence des philosophies animant Tudor et Ducati.
Les points communs entre les deux marques sont en effet frappants, au-delà de la date de fondation. Il en est notamment ainsi de la recherche constante de la performance et d’un design original, alliée à un style sportif raffiné et identifiable au premier coup d’oeil. Quant aux qualités de vitesse des puissants moteurs Ducati à distribution desmodromique, soutenus par la solidité des cadres sur lesquels ils sont montés, ils appellent la comparaison avec les propriétés reconnues de résistance, de fiabilité et de précision des montres Tudor.
Dès le début des années 1950, celles-ci furent d’ailleurs représentées dans des annonces publicitaires au poignet de motocyclistes, comme pour attester de leurs qualités de style et de performance sportive. On retrouve ces convergences entre les deux marques – étapes obligées d’un parcours commun bien plus que simples coïncidences – en 1946. Alors que Ducati lance la production de son premier moteur, le « Cucciolo », qui devient immédiatement célèbre dans le monde entier, la société Montres Tudor SA voit officiellement le jour à Genève.
Dans les années qui suivent, les deux sociétés s’emploient à réaliser des lignes de produits toujours plus typées (le Chronographe Oysterdate, aujourd’hui Heritage Chrono, chez Tudor, et la moto Monster, pour Ducati, sont des exemples de produits emblématiques au style ultra sportif, expressions parfaites de l’esprit des deux marques). En 2007, autre parallélisme notable dans la réalisation d’objectifs importants : alors que Tudor négocie le virage qui amènera à la marque sa visibilité actuelle, Ducati remporte son premier championnat du monde en Moto GP, avec un doublé titre pilotes et titre constructeurs.
Ces nombreux repères historiques rapprochant les deux sociétés expriment parfaitement la proximité d’esprit des deux marques. Ainsi le partenariat qui vient d’être renouvelé entre Tudor et Ducati s’impose à vrai dire comme une évidence, tant les concordances sont nombreuses entre les deux maisons.