Disputée pour la première fois sur le Circuit des Amériques (CotA) à Austin, Texas, la manche américaine du championnat comptait parmi les étapes les plus attendues de la saison. L'événement a attiré plus de 33.000 spectateurs pour ce « grand week-end de l'automobile », combinant les courses du FIA WEC et des American Le Mans Series.
Après l'intégration du circuit texan au championnat, le mois de septembre a réservé une autre surprise de taille au public américain, avec le grand retour des montres Tudor aux Etats-Unis. Chronométreur officiel du FIA WEC depuis cette saison 2013, la marque s'impose désormais comme la nouvelle unité de mesure dans l'univers de l'endurance du Nouveau Continent.
Premier circuit des États-Unis construit spécialement pour accueillir un Grand Prix de Formule 1, le Circuit des Amériques hissera désormais l'étendard Tudor, présenté dimanche 22 septembre à l'occasion de la première venue du FIA WEC sur le tracé texan.
Ultramoderne, sa composition est l'œuvre de l'architecte Hermann Tilke, constructeur de circuits iconiques tels que le Nürburgring en Allemagne, le tracé revisité de Fuji au Japon ou l'impressionnante structure chinoise de Shanghaï. Pratique, ergonomique et esthétique, l'ouvrage de l'architecte allemand, lui-même ancien pilote de course, témoigne incontestablement d'une connaissance accrue de la réalité automobile, dont d’ailleurs, la Tudor Grantour Chrono Fly-Back est directement inspirée...
Après l'intégration du circuit texan au championnat, le mois de septembre a réservé une autre surprise de taille au public américain, avec le grand retour des montres Tudor aux Etats-Unis. Chronométreur officiel du FIA WEC depuis cette saison 2013, la marque s'impose désormais comme la nouvelle unité de mesure dans l'univers de l'endurance du Nouveau Continent.
Premier circuit des États-Unis construit spécialement pour accueillir un Grand Prix de Formule 1, le Circuit des Amériques hissera désormais l'étendard Tudor, présenté dimanche 22 septembre à l'occasion de la première venue du FIA WEC sur le tracé texan.
Ultramoderne, sa composition est l'œuvre de l'architecte Hermann Tilke, constructeur de circuits iconiques tels que le Nürburgring en Allemagne, le tracé revisité de Fuji au Japon ou l'impressionnante structure chinoise de Shanghaï. Pratique, ergonomique et esthétique, l'ouvrage de l'architecte allemand, lui-même ancien pilote de course, témoigne incontestablement d'une connaissance accrue de la réalité automobile, dont d’ailleurs, la Tudor Grantour Chrono Fly-Back est directement inspirée...
Dernier né des sites automobiles mondiaux, le superbe Circuit des Amériques représente depuis 2013 la nouvelle épreuve nord-américaine du FIA WEC, jusqu'alors située à Sebring, en Floride. Figurant, de l'avis de nombreux concurrents, parmi les travaux architecturaux les plus aboutis du championnat, le CotA comprend notamment des portions permettant des pics de vitesse à plus de 270 km/h.
Selon Kevin Weeda, pilote de la Lotus Praga 31, les tracés exigeants tels que le CotA permettent de distinguer l'élite du commun des compétiteurs : « un dur travail et une volonté de fer peuvent nettement améliorer les performances d'un conducteur, mais ce sont les compétences innées d'un pilote qui feront la différence entre la victoire et la défaite ».
L'incessante recherche de l'excellence à travers la maîtrise du temps, valeur à laquelle Tudor est fidèle depuis toujours, constitue pour le concurrent américain la part essentielle de la vie de pilote : « rouler à toute allure sur un circuit est l'expérience la plus intense au monde. C'est pourquoi il faut absolument tout entreprendre, tout tenter pour vivre sa passion, car rien d'autre ne compte ». Figurant parmi les cinq seuls tracés mondiaux à tourner dans un sens anti-horaire, le CotA a déjà fait de nombreux adeptes.
Au-delà de la performance technique, la synergie entre les hommes constitue indéniablement le cœur de toute compétition. L'esprit d'équipe est à la course automobile ce que l'amour du bel ouvrage est à la haute horlogerie. Exigeant une préparation minutieuse, une précision ainsi qu'une concentration à toute épreuve, la course d'endurance et la création des montres Tudor ne laissent aucune place à l'erreur. C'est pourquoi une étroite collaboration constitue un élément essentiel dans l'élaboration de l'objet de la passion. Grâce à l'expertise et au travail communs d'innombrables corps de métier, voitures et montres d'exception sont aujourd'hui des symboles impérissables de la victoire de l'imagination sur la raison. Médiums d'une nouvelle aspiration contemporaine, ils représentent à eux deux l'expérience de l'intensité par l'émotion, la réinterprétation complète des standards de liberté.
Intimement liés depuis plus d'un siècle, sports motorisés et montres d'exception sont aujourd'hui plus que jamais les partenaires indissociables de la maîtrise du temps. Réunis par une commune ambition de révolutionner la perception temporelle par la recherche constante du dépassement par le mouvement, la glorieuse destinée de ces deux univers est scellée en 1911 avec l'apparition du premier tableau de bord comportant un chronographe intégré.
Cette invention décisive marquera les prémisses des grands desseins technologiques des années folles. A l'aube des années 1930, l'automobile fait sa place au sein d'une société résolument tournée vers le modernisme, séduisant par ses attraits pratiques indéniables un public toujours grandissant. La décennie suivante marque quant à elle les débuts d'un développement fulgurant des sports motorisés et célèbre à la fois la versatilité attribuée à la montre, qui acquiert à sa cause les amateurs de technique, les esprits utilitaires comme les amoureux d'esthétique.
Selon Kevin Weeda, pilote de la Lotus Praga 31, les tracés exigeants tels que le CotA permettent de distinguer l'élite du commun des compétiteurs : « un dur travail et une volonté de fer peuvent nettement améliorer les performances d'un conducteur, mais ce sont les compétences innées d'un pilote qui feront la différence entre la victoire et la défaite ».
L'incessante recherche de l'excellence à travers la maîtrise du temps, valeur à laquelle Tudor est fidèle depuis toujours, constitue pour le concurrent américain la part essentielle de la vie de pilote : « rouler à toute allure sur un circuit est l'expérience la plus intense au monde. C'est pourquoi il faut absolument tout entreprendre, tout tenter pour vivre sa passion, car rien d'autre ne compte ». Figurant parmi les cinq seuls tracés mondiaux à tourner dans un sens anti-horaire, le CotA a déjà fait de nombreux adeptes.
Au-delà de la performance technique, la synergie entre les hommes constitue indéniablement le cœur de toute compétition. L'esprit d'équipe est à la course automobile ce que l'amour du bel ouvrage est à la haute horlogerie. Exigeant une préparation minutieuse, une précision ainsi qu'une concentration à toute épreuve, la course d'endurance et la création des montres Tudor ne laissent aucune place à l'erreur. C'est pourquoi une étroite collaboration constitue un élément essentiel dans l'élaboration de l'objet de la passion. Grâce à l'expertise et au travail communs d'innombrables corps de métier, voitures et montres d'exception sont aujourd'hui des symboles impérissables de la victoire de l'imagination sur la raison. Médiums d'une nouvelle aspiration contemporaine, ils représentent à eux deux l'expérience de l'intensité par l'émotion, la réinterprétation complète des standards de liberté.
Intimement liés depuis plus d'un siècle, sports motorisés et montres d'exception sont aujourd'hui plus que jamais les partenaires indissociables de la maîtrise du temps. Réunis par une commune ambition de révolutionner la perception temporelle par la recherche constante du dépassement par le mouvement, la glorieuse destinée de ces deux univers est scellée en 1911 avec l'apparition du premier tableau de bord comportant un chronographe intégré.
Cette invention décisive marquera les prémisses des grands desseins technologiques des années folles. A l'aube des années 1930, l'automobile fait sa place au sein d'une société résolument tournée vers le modernisme, séduisant par ses attraits pratiques indéniables un public toujours grandissant. La décennie suivante marque quant à elle les débuts d'un développement fulgurant des sports motorisés et célèbre à la fois la versatilité attribuée à la montre, qui acquiert à sa cause les amateurs de technique, les esprits utilitaires comme les amoureux d'esthétique.
La relation fusionnelle entre ces deux mondes prend corps avec l'invention de la montre à bracelet, popularisée notamment grâce aux pilotes de course automobile, qui arborent désormais des modèles à tachymètres permettant une mesure immédiate de leurs performances. Les pièces horlogères de ce type, comme les lignes d'une belle cylindrée, sont rapidement considérées comme révélatrices des goûts ainsi que du caractère de leur propriétaire.
Cette approche de l'outil de mesure comme objet représentant un véritable modus vivendi opère alors un changement majeur dans la conception des mécanismes de précision. Les années 50 seront à ce titre, initiatrices des formidables avancées techniques de l'industrie automobile qui permettront à la décennie suivante de s'inscrire dans l'histoire comme l'âge d'or de la course automobile, offrant de la sorte une vitrine de choix à la mécanique horlogère. L'exactitude du temps mesuré prend une importance grandissante à mesure que les développements industriels permettent des performances toujours supérieures, démocratisant par la même le chronographe et permettant aux pilotes comme au grand public de mesurer le temps en marche.
Elaboré de manière à permettre les plus vifs rebondissements, le tracé du Circuit des Amériques n'a pas manqué de prodiguer à la course tout le panache escompté. Après avoir régné sans partage durant les premières heures de la compétition, l'écurie Audi Sport Team Joest a remporté le trophée du FIA WEC à l'issue d'une confrontation de haute lutte survenue dans la seconde moitié de la course, théâtre d'un intense coude-à-coude avec son grand concurrent Toyota Racing, devancé de quelque 23 secondes sur la ligne d'arrivée. Les vainqueurs Tom Kristensen, Loïc Duval et Allan McNish signent ainsi leur troisième victoire en Championnat du Monde d'Endurance et se sont vus récompensés d'une Tudor Grantour Chrono Fly-Back, équipée d'un boîtier en acier de 42 mm et d'un poussoir pour la fonction chronographe Fly-Back à quatre heures permettant le remise en marche instantanée de son chronographe.
Steve Sexton, Président du Circuit des Amériques, a exprimé son enthousiasme quant à la venue du Championnat du Monde d'Endurance en territoire texan : « Le partenariat entre Tudor et le FIA WEC témoigne de la grande implication de ces deux institutions d'exception dans la promotion d'un projet entièrement dédié à offrir le meilleur de la technologie moderne à un public uni par les mêmes exigences d'exclusivité et de qualité ».
Partenaire titre et montre officielle du Championnat du Monde des Voitures de Sport de l'Association Internationale des Sports Motorisés (IMSA's SportsCar Championship) depuis le 12 septembre dernier, Tudor soutiendra dès la saison 2014 deux catégories de Grand Tourisme ainsi que deux classes de Prototypes dans le cadre du Tudor United SportsCar Championship.
La huitième et dernière manche de la compétition, tenue le 30 novembre prochain à la suite de l'épreuve de Shanghaï, sera l'occasion d'une visite guidée privilégiée explorant les nombreux atouts de l'impressionnant Circuit International de Bahreïn, où les équipes prendront leurs quartiers pour un ultime défi avant la remise du trophée récompensant les vainqueurs du Championnat du Monde d'Endurance FIA.
Cette approche de l'outil de mesure comme objet représentant un véritable modus vivendi opère alors un changement majeur dans la conception des mécanismes de précision. Les années 50 seront à ce titre, initiatrices des formidables avancées techniques de l'industrie automobile qui permettront à la décennie suivante de s'inscrire dans l'histoire comme l'âge d'or de la course automobile, offrant de la sorte une vitrine de choix à la mécanique horlogère. L'exactitude du temps mesuré prend une importance grandissante à mesure que les développements industriels permettent des performances toujours supérieures, démocratisant par la même le chronographe et permettant aux pilotes comme au grand public de mesurer le temps en marche.
Elaboré de manière à permettre les plus vifs rebondissements, le tracé du Circuit des Amériques n'a pas manqué de prodiguer à la course tout le panache escompté. Après avoir régné sans partage durant les premières heures de la compétition, l'écurie Audi Sport Team Joest a remporté le trophée du FIA WEC à l'issue d'une confrontation de haute lutte survenue dans la seconde moitié de la course, théâtre d'un intense coude-à-coude avec son grand concurrent Toyota Racing, devancé de quelque 23 secondes sur la ligne d'arrivée. Les vainqueurs Tom Kristensen, Loïc Duval et Allan McNish signent ainsi leur troisième victoire en Championnat du Monde d'Endurance et se sont vus récompensés d'une Tudor Grantour Chrono Fly-Back, équipée d'un boîtier en acier de 42 mm et d'un poussoir pour la fonction chronographe Fly-Back à quatre heures permettant le remise en marche instantanée de son chronographe.
Steve Sexton, Président du Circuit des Amériques, a exprimé son enthousiasme quant à la venue du Championnat du Monde d'Endurance en territoire texan : « Le partenariat entre Tudor et le FIA WEC témoigne de la grande implication de ces deux institutions d'exception dans la promotion d'un projet entièrement dédié à offrir le meilleur de la technologie moderne à un public uni par les mêmes exigences d'exclusivité et de qualité ».
Partenaire titre et montre officielle du Championnat du Monde des Voitures de Sport de l'Association Internationale des Sports Motorisés (IMSA's SportsCar Championship) depuis le 12 septembre dernier, Tudor soutiendra dès la saison 2014 deux catégories de Grand Tourisme ainsi que deux classes de Prototypes dans le cadre du Tudor United SportsCar Championship.
La huitième et dernière manche de la compétition, tenue le 30 novembre prochain à la suite de l'épreuve de Shanghaï, sera l'occasion d'une visite guidée privilégiée explorant les nombreux atouts de l'impressionnant Circuit International de Bahreïn, où les équipes prendront leurs quartiers pour un ultime défi avant la remise du trophée récompensant les vainqueurs du Championnat du Monde d'Endurance FIA.