On le sait, le vol de montres de luxe est un fléau de notre monde contemporain où tout devient permis et où les sanctions ne sont plus dissuasives. Notamment en Europe (Angleterre, Espagne, France, Italie, etc.).
Dans ce contexte, il convient de faire « profil bas », de porter des montres d’entrée de gamme ou des manches longues. Cela fait des années que ça dure et ce n’est pas près de s’arrêter. Les polices européennes font ce qu’elles peuvent mais les victimes sont de plus en plus nombreuses…
Bien évidemment, c’est mauvais pour tout le monde : pour la victime en premier lieu, pour les marques horlogères qui risquent de perdre des clients sur le long terme et pour les villes -souvent touristiques- qui donnent une image désastreuse en matière de sécurité : Londres, Barcelone, Paris, Milan…
A quelques mois des Jeux Olympiques de Paris, on peut craindre le pire. Le gouvernement ne parviendra probablement pas à régler ce problème de sécurité qui risque d’être mis en exergue pendant les prochaines JO par toute la presse internationale et par tous les touristes qui vont se faire racketter par la racaille et les voleurs.
Quant au grand public, il considère (et ce n’est pas complétement faux) que c’est un « problème de riche », dont à traiter ultérieurement.
Selon la société anglaise The Watch Register, qui tient un registre international des montres de luxe volées dans le monde, le nombre de garde-temps volés s’élèverait à 80.000 pour un montant d’un milliard de livres sterling -plus d’1,1 milliard d’euros*.
Cette base de données, on s’en doute, augmente d’année en année. L’an passé par exemple, en 2022, cette entreprise a enregistré 6.815 garde-temps supplémentaires déclarés manquants ou volés, soit une hausse de 60% par rapport à l’année précédente.
La très large majorité -90%- des modèles sont masculins (les voleurs sont de mieux en mieux informés sur la valeur des montres) ; ces derniers sont volés majoritairement lors de cambriolages ou d’agressions dans la rue.
Sans trop de surprise, la marque la plus volée est Rolex (44%) suivie de loin par Omega (7%), Breitling (6%), Tag Heuer (5%) et Cartier (4%). Attention, les propriétaires d’Audemars Piguet, Patek Philippe (3%) et Richard Mille sont également des cibles privilégiées. Mais le pourcentage de ces montres étant plus faibles globalement sur le marché, elles n’apparaissent pas forcément dans ces statistiques.
Pour information, cette entreprise répertorie (le service est payant) mais recherche également les montres volées. Elle revendique 35% de garde-temps déclarés volés retrouvés sous six mois et la moitié dans l’année… Cela semble énorme, mais bon…
*et ce ne sont que les montres enregistrées dans cette base de données.
Dans ce contexte, il convient de faire « profil bas », de porter des montres d’entrée de gamme ou des manches longues. Cela fait des années que ça dure et ce n’est pas près de s’arrêter. Les polices européennes font ce qu’elles peuvent mais les victimes sont de plus en plus nombreuses…
Bien évidemment, c’est mauvais pour tout le monde : pour la victime en premier lieu, pour les marques horlogères qui risquent de perdre des clients sur le long terme et pour les villes -souvent touristiques- qui donnent une image désastreuse en matière de sécurité : Londres, Barcelone, Paris, Milan…
A quelques mois des Jeux Olympiques de Paris, on peut craindre le pire. Le gouvernement ne parviendra probablement pas à régler ce problème de sécurité qui risque d’être mis en exergue pendant les prochaines JO par toute la presse internationale et par tous les touristes qui vont se faire racketter par la racaille et les voleurs.
Quant au grand public, il considère (et ce n’est pas complétement faux) que c’est un « problème de riche », dont à traiter ultérieurement.
Selon la société anglaise The Watch Register, qui tient un registre international des montres de luxe volées dans le monde, le nombre de garde-temps volés s’élèverait à 80.000 pour un montant d’un milliard de livres sterling -plus d’1,1 milliard d’euros*.
Cette base de données, on s’en doute, augmente d’année en année. L’an passé par exemple, en 2022, cette entreprise a enregistré 6.815 garde-temps supplémentaires déclarés manquants ou volés, soit une hausse de 60% par rapport à l’année précédente.
La très large majorité -90%- des modèles sont masculins (les voleurs sont de mieux en mieux informés sur la valeur des montres) ; ces derniers sont volés majoritairement lors de cambriolages ou d’agressions dans la rue.
Sans trop de surprise, la marque la plus volée est Rolex (44%) suivie de loin par Omega (7%), Breitling (6%), Tag Heuer (5%) et Cartier (4%). Attention, les propriétaires d’Audemars Piguet, Patek Philippe (3%) et Richard Mille sont également des cibles privilégiées. Mais le pourcentage de ces montres étant plus faibles globalement sur le marché, elles n’apparaissent pas forcément dans ces statistiques.
Pour information, cette entreprise répertorie (le service est payant) mais recherche également les montres volées. Elle revendique 35% de garde-temps déclarés volés retrouvés sous six mois et la moitié dans l’année… Cela semble énorme, mais bon…
*et ce ne sont que les montres enregistrées dans cette base de données.