La marque Beda’a est relativement récente sur le marché. Elle est gérée par Sohaib Maghnam qui, petit à petit, impose son style et sa vision auprès de collectionneurs avertis.
Si le catalogue propose essentiellement des montres de forme, c’est avec sa première Eclipse que Beda’a a véritablement rencontré le succès : 200 exemplaires prévus, tous vendus en trois heures... Et surtout, plus de 2.000 collectionneurs sur liste d’attente.
Une attente qui se voit à présent récompensée par une création inédite, logiquement intitulée Eclipse II.
Lire aussi : Beda'a, une marque horlogère pas comme les autres
Si le catalogue propose essentiellement des montres de forme, c’est avec sa première Eclipse que Beda’a a véritablement rencontré le succès : 200 exemplaires prévus, tous vendus en trois heures... Et surtout, plus de 2.000 collectionneurs sur liste d’attente.
Une attente qui se voit à présent récompensée par une création inédite, logiquement intitulée Eclipse II.
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L’Eclipse II est la première complication maison de Beda’a. Ce second chapitre s’inscrit dans le droit fil du premier : l’hommage au temps céleste, aux étoiles, à la poésie de l’espace, une célébration de l’astronomie, dont la fille se nomme horlogerie.
Cette montre est dotée d’un boitier rond en acier 904L de 37 mm (étanche à 30 mètres), une taille relativement petite mais compensée par de longues cornes qui viennent se poser sur la plupart des poignets.
Pour cette nouvelle itération, on remarque sur le plan vertical, une ligne qui relie les heures et minutes décentrées à midi, une petite seconde indépendante et, enfin, la couronne sise à 6h.
Un emplacement relativement rare, « mais frappé du sceau de l’évidence pour Beda’a qui, ici, a voulu préserver la pureté de son alignement » souligne la marque dans son communiqué.
Cette montre est dotée d’un boitier rond en acier 904L de 37 mm (étanche à 30 mètres), une taille relativement petite mais compensée par de longues cornes qui viennent se poser sur la plupart des poignets.
Pour cette nouvelle itération, on remarque sur le plan vertical, une ligne qui relie les heures et minutes décentrées à midi, une petite seconde indépendante et, enfin, la couronne sise à 6h.
Un emplacement relativement rare, « mais frappé du sceau de l’évidence pour Beda’a qui, ici, a voulu préserver la pureté de son alignement » souligne la marque dans son communiqué.
A noter également la présence de ces deux cadrans intégrés l’un à l’autre, formant un « 8 » (un concept qui n’est pas sans évoquer certaines Jaquet Droz) lui-même inscrit au sein d’une boîte ronde -ce qui relève de l’exception et non de la règle chez Beda’a, dont trois collections sur quatre possèdent des boîtes de forme.
De part et d’autre de cette géométrie viennent se lover deux croissants symétriques. Leur finition s’échappe des canons traditionnels suisses. À la place des côtes de Genève, Beda’a a dessiné un motif linéaire.
Ces motifs polis et satinés de couleur crème symbolisent les rayons du soleil ; l’aventurine du cadran des heures et minutes retranscrit la voûte céleste constellée d’étoiles ; et, à 6 h, l’aiguille de la petite seconde survole un compteur au satiné circulaire très appuyé, comme une étendue de sable fin sur laquelle sa révolution laisserait son empreinte.
De part et d’autre de cette géométrie viennent se lover deux croissants symétriques. Leur finition s’échappe des canons traditionnels suisses. À la place des côtes de Genève, Beda’a a dessiné un motif linéaire.
Ces motifs polis et satinés de couleur crème symbolisent les rayons du soleil ; l’aventurine du cadran des heures et minutes retranscrit la voûte céleste constellée d’étoiles ; et, à 6 h, l’aiguille de la petite seconde survole un compteur au satiné circulaire très appuyé, comme une étendue de sable fin sur laquelle sa révolution laisserait son empreinte.
« L’onirisme des grands déserts de Doha n’est pas loin. Ce n’est d’ailleurs peut-être pas un hasard si ladite aiguille des secondes est façonnée à l’image d’une sagaie... » souligne encore la marque dans son communiqué,
Côté mouvement, et à la demande de ses collectionneurs, Beda’a a choisi de muscler la valeur technique de son Eclipse II, mais en veillant à ne pas atteindre les tarifs que l’on rencontre parfois en terres horlogères.
Comme le souligne Sohaib Maghnam, « nos montres sont proposées au prix auquel elles doivent être, tout simplement. Pas moins, mais certainement pas plus ».
Le mouvement de l’Eclipse II combine donc deux variables pour trouver le juste équilibre entre tradition et innovation, entre accessibilité et exclusivité. Il y a d’abord une base Sellita SW300. C’est un calibre éprouvé que Beda’a connaît bien : il était déjà présent dans l’Eclipse I.
Côté mouvement, et à la demande de ses collectionneurs, Beda’a a choisi de muscler la valeur technique de son Eclipse II, mais en veillant à ne pas atteindre les tarifs que l’on rencontre parfois en terres horlogères.
Comme le souligne Sohaib Maghnam, « nos montres sont proposées au prix auquel elles doivent être, tout simplement. Pas moins, mais certainement pas plus ».
Le mouvement de l’Eclipse II combine donc deux variables pour trouver le juste équilibre entre tradition et innovation, entre accessibilité et exclusivité. Il y a d’abord une base Sellita SW300. C’est un calibre éprouvé que Beda’a connaît bien : il était déjà présent dans l’Eclipse I.
Pour ce second volet, Beda’a lui adjoint ensuite un module spécifiquement conçu pour la marque par le célèbre motoriste Dubois Depraz.
C’est elle qui a permis à Beda’a de concevoir une Eclipse II de seulement 37 mm de diamètre, parfaitement équilibrée par une épaisseur qui n’atteint même pas 10 mm (9,5 mm précisément).
Côté fond, Beda’a a voulu un rotor ajouré comportant 8 pales tridimensionnelles. On retrouve l’idée de rayonnement de rayons de Soleil évoquée côté cadran. Chacune d’elles est satinée circulaire. Leur cœur est gravé d’un ornement maison, le « B » stylisé de Beda’a.
La surface du motif est polie, le fond étant sablé au laser - une alternance que l’on retrouve également en chacune des mentions apposées sur la boîte acier.
L’Eclipse II de Beda’a se porte sur un bracelet en alligator ou autruche intégré. Elle n’est pas limitée, mais sa production ne devrait pas pouvoir excéder 100 pièces par an…
C’est elle qui a permis à Beda’a de concevoir une Eclipse II de seulement 37 mm de diamètre, parfaitement équilibrée par une épaisseur qui n’atteint même pas 10 mm (9,5 mm précisément).
Côté fond, Beda’a a voulu un rotor ajouré comportant 8 pales tridimensionnelles. On retrouve l’idée de rayonnement de rayons de Soleil évoquée côté cadran. Chacune d’elles est satinée circulaire. Leur cœur est gravé d’un ornement maison, le « B » stylisé de Beda’a.
La surface du motif est polie, le fond étant sablé au laser - une alternance que l’on retrouve également en chacune des mentions apposées sur la boîte acier.
L’Eclipse II de Beda’a se porte sur un bracelet en alligator ou autruche intégré. Elle n’est pas limitée, mais sa production ne devrait pas pouvoir excéder 100 pièces par an…