À l’origine, cette grue formait, avec deux autres exemplaires, les trois supports d’un brûle-parfum chinois du XIXᵉ siècle. Sa transformation en pendulette aurait été réalisée vers 1942 dans les ateliers de Cartier, à la demande même de Jeanne Toussaint.
Rappelons que Jeanne Toussaint, figure légendaire de la maison Cartier, fut sa directrice artistique de 1933 à 1970.
Alors que le monde de la joaillerie s’apprête à célébrer, en 2026, le cinquantenaire de la disparition de Jeanne Toussaint, l’apparition de cette pendulette sur le marché suscitera sans doute l’émotion des collectionneurs.
Lire aussi : La panthère de Stéphanie des Horts ou le fabuleux destin de Jeanne Toussaint, égérie de Louis Cartier
Conservée dans la famille de celle que l’on surnommait « La Panthère » depuis son décès, le 7 mai 1976, la pièce figurait à l’inventaire de succession établi par l’expert en arts d’Extrême-Orient Guy Portier, où elle était décrite comme « un oiseau en émaux cloisonnés monté en montre ».
Alliant traçabilité irréprochable et valeur symbolique, cette pièce horlogère témoigne de la place centrale de l’oiseau dans l’univers de Jeanne Toussaint -symbole qu’elle exploita magistralement durant la Seconde Guerre mondiale à travers ses créations emblématiques, L’Oiseau en cage et L’Oiseau libéré, métaphores poétiques de l’Occupation et de la Libération.
L’expertise de cet objet, dont le cadran est signé Cartier, a été menée en collaboration avec Alice Jossaume, experte en arts d’Extrême-Orient auprès du cabinet Portier & Associés. Cette pièce est estimée entre 40.000 et 80.000 €.
Rappelons que Jeanne Toussaint, figure légendaire de la maison Cartier, fut sa directrice artistique de 1933 à 1970.
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Alliant traçabilité irréprochable et valeur symbolique, cette pièce horlogère témoigne de la place centrale de l’oiseau dans l’univers de Jeanne Toussaint -symbole qu’elle exploita magistralement durant la Seconde Guerre mondiale à travers ses créations emblématiques, L’Oiseau en cage et L’Oiseau libéré, métaphores poétiques de l’Occupation et de la Libération.
L’expertise de cet objet, dont le cadran est signé Cartier, a été menée en collaboration avec Alice Jossaume, experte en arts d’Extrême-Orient auprès du cabinet Portier & Associés. Cette pièce est estimée entre 40.000 et 80.000 €.







