La complication Heure Universelle (ou Worldtimer en anglais) est un grand classique de l’horlogerie ! Elle fut introduite pour la première fois dans les années 1930, à l’époque des premiers vols transatlantiques, sur la base d’une invention du maître horloger genevois Louis Cottier
Dans la pratique, cette complication (dont Patek Philippe reste l’un des spécialistes incontestés mais que l’on retrouve aujourd’hui dans l’entrée de gamme chez Frédérique Constant par exemple) permet de lire simultanément et en permanence l’heure dans les 24 fuseaux horaires.
Comment ? Au moyen de deux disques mobiles (disque des villes et disque des 24 heures), tout en bénéficiant d’un affichage par aiguilles centrales heures/minutes pour l’heure locale (fuseau sélectionné à 12h).
Dans la pratique, cette complication (dont Patek Philippe reste l’un des spécialistes incontestés mais que l’on retrouve aujourd’hui dans l’entrée de gamme chez Frédérique Constant par exemple) permet de lire simultanément et en permanence l’heure dans les 24 fuseaux horaires.
Comment ? Au moyen de deux disques mobiles (disque des villes et disque des 24 heures), tout en bénéficiant d’un affichage par aiguilles centrales heures/minutes pour l’heure locale (fuseau sélectionné à 12h).
C’est donc cette complication qui arrive chez Richard Mille en cette fin d’année 2025. Et comme toujours, la marque horlogère prend tout le monde par surprise avec une HU qui se présente dans un imposant boitier de 47 mm en or rose et titane, étanche à 30 mètres, dont la stature est adoucie par un cadran squelette aux touches de rose. Osé mais intéressant, en édition limitée à 100 exemplaires pour le monde.
Ce garde-temps a été imaginé pour les grands voyageurs. Des grands voyageurs fortunés qui voyagent probablement en jets privés. tique Heure Universelle incarne de manière élégante et propre à Richard Mille, une complication technique qui transcende la notion de temps.
L’ingénieux réglage des fuseaux horaires permet, à tout instant, de connaître l’heure locale désirée et fait de cette nouvelle montre l’alliée indispensable des grands voyageurs.
Ce garde-temps a été imaginé pour les grands voyageurs. Des grands voyageurs fortunés qui voyagent probablement en jets privés. tique Heure Universelle incarne de manière élégante et propre à Richard Mille, une complication technique qui transcende la notion de temps.
L’ingénieux réglage des fuseaux horaires permet, à tout instant, de connaître l’heure locale désirée et fait de cette nouvelle montre l’alliée indispensable des grands voyageurs.
Naturellement, cette HU n’est pas comme les autres. Contrairement aux montres traditionnelles qui utilisent une couronne ou des poussoirs pour ajuster les heures (comme chez Patek Philippe par exemple), les ingénieurs mouvement et habillage de chez Richard Mille ont travaillé pour placer le réglage de cette fonction directement sur la lunette tournante.
Une idée que l’on retrouve aussi chez les IWC Timezoner qui utilisait alors, un brevet issu à l’origine de chez Vogard, racheté par IWC puis intégré ensuite à ses propres calibres.
Grâce à cette lunette en or rouge 5N microbillée montée sur roulements à billes, le voyageur peut, d’une simple rotation, sélectionner la ville de son choix pour être instantanément sur le bon fuseau.
Une idée que l’on retrouve aussi chez les IWC Timezoner qui utilisait alors, un brevet issu à l’origine de chez Vogard, racheté par IWC puis intégré ensuite à ses propres calibres.
Grâce à cette lunette en or rouge 5N microbillée montée sur roulements à billes, le voyageur peut, d’une simple rotation, sélectionner la ville de son choix pour être instantanément sur le bon fuseau.
C’est en positionnant à 12h le nom de la ville de référence que la roue intégrée à la lunette et connectée à la roue des heures ajuste simultanément l’heure locale à celles des 23 autres villes du monde.
La lecture est facilitée par un second rehaut en titane, gradué sur 24h. Ce disque bicolore rose et bordeaux indique les heures de jour et de nuit tout en effectuant automatiquement les corrections heure par heure.
Le boîtier est extrêmement complexe à réaliser : il est constitué de près de 200 composants ! Sa construction quadripartite intègre la lunette tournante qui assure, en plus de sa fonction de réglage, la fonction d’étanchéité de la montre.
Ce dispositif est complété par l’intégration de cornes dans le système du boîtier et dotées de vis pour fixer de manière sûre le bracelet en caoutchouc blanc.
La lecture est facilitée par un second rehaut en titane, gradué sur 24h. Ce disque bicolore rose et bordeaux indique les heures de jour et de nuit tout en effectuant automatiquement les corrections heure par heure.
Le boîtier est extrêmement complexe à réaliser : il est constitué de près de 200 composants ! Sa construction quadripartite intègre la lunette tournante qui assure, en plus de sa fonction de réglage, la fonction d’étanchéité de la montre.
Ce dispositif est complété par l’intégration de cornes dans le système du boîtier et dotées de vis pour fixer de manière sûre le bracelet en caoutchouc blanc.
La lunette, le fond et le protège-couronne sont polis et satinés. La carrure est satinée vertical, et les cornes sont satinées vertical et horizontal avec biseaux polis. Le boîtier est assemblé à l’aide de 12 vis spline en titane grade 5.
Le calibre automatique CRMA4 (une cinquantaine d’heures de réserve de marche) entièrement développé chez Richard Mille repose sur une platine et des ponts en titane grade 5 ; bien évidemment, il est visible à travers un fond saphir.
Côté cadran, un pont monumental rhodié noir, poli et cerclé, dévoile à 7h les rouages en mouvement du mécanisme heure universelle.
Cette mise en scène vise à accentuer la lisibilité des informations et met particulièrement en valeur la date surdimensionnée située à 12h (on rappellera qu’une date est indispensable à la complication HU ; comment peut-on imaginer une montre de voyageur sans date ?).
Celle-ci se compose de deux disques squelettés en titane et se règle à l’aide d’un correcteur en or placé à 11h.
Le calibre automatique CRMA4 (une cinquantaine d’heures de réserve de marche) entièrement développé chez Richard Mille repose sur une platine et des ponts en titane grade 5 ; bien évidemment, il est visible à travers un fond saphir.
Côté cadran, un pont monumental rhodié noir, poli et cerclé, dévoile à 7h les rouages en mouvement du mécanisme heure universelle.
Cette mise en scène vise à accentuer la lisibilité des informations et met particulièrement en valeur la date surdimensionnée située à 12h (on rappellera qu’une date est indispensable à la complication HU ; comment peut-on imaginer une montre de voyageur sans date ?).
Celle-ci se compose de deux disques squelettés en titane et se règle à l’aide d’un correcteur en or placé à 11h.











