Avec cette nouveauté, B&R introduit l’idée que l’acier n’est pas seulement un matériau horloger, prisé pour sa robustesse, sa résistance à la corrosion et ses propriétés anallergiques. Ici, l’acier devient « couleur ». Il se fait lumière.
A partir du XVIIIè siècle, le miroir, secret des Vénitiens, devient un symbole de grandeur et de puissance. Il suffit de visiter le château de Versailles, avec son impressionnante galerie des glaces ou ses jardins ornementés de bassins, pour s’en convaincre.
Entre philosophie et artifice, l’art de capter la lumière pour dessiner des volumes est une inlassable quête. Très tôt, le polissage avec effet miroir devient un savoir-faire prisé dans les disciplines de l’orfèvrerie, des arts de la table, de la bijouterie et de l’horlogerie.
A partir du XVIIIè siècle, le miroir, secret des Vénitiens, devient un symbole de grandeur et de puissance. Il suffit de visiter le château de Versailles, avec son impressionnante galerie des glaces ou ses jardins ornementés de bassins, pour s’en convaincre.
Entre philosophie et artifice, l’art de capter la lumière pour dessiner des volumes est une inlassable quête. Très tôt, le polissage avec effet miroir devient un savoir-faire prisé dans les disciplines de l’orfèvrerie, des arts de la table, de la bijouterie et de l’horlogerie.
Pour parfaire la réflexion, qui va au-delà de la simple brillance et confère au métal éclat et profondeur, les maisons horlogères peaufinent les techniques. Le poli miroir (ou poli noir) prend un statut de finition horlogère de très haut de gamme, particulièrement sur l’acier.
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A ce titre, rappelons que les maisons japonaises -et notamment Grand Seiko- en ont fait une spécialité avec leur fameux poli zaratsu, un polissage sans distorsion qui permet un renvoi de la lumière optimale et une brillance exceptionnelle !
Le polissage d’un boîtier, d’une lunette, d’une couronne ou des maillons d’un bracelet est exigeant, notamment du fait de la dureté du métal. Il suppose une attention de chaque instant pour bannir toute rayures ou déformation qui pourrait venir compromettre le résultat final.
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A ce titre, rappelons que les maisons japonaises -et notamment Grand Seiko- en ont fait une spécialité avec leur fameux poli zaratsu, un polissage sans distorsion qui permet un renvoi de la lumière optimale et une brillance exceptionnelle !
Le polissage d’un boîtier, d’une lunette, d’une couronne ou des maillons d’un bracelet est exigeant, notamment du fait de la dureté du métal. Il suppose une attention de chaque instant pour bannir toute rayures ou déformation qui pourrait venir compromettre le résultat final.
La question de la luminosité joue un rôle important dans la vision créative de Bell & Ross. De fait, un grand nombre de modèles bénéficient d’un traitement spécifique pour renforcer leurs capacités luminescentes.
Exigence de lisibilité des montres-instrument dans l’obscurité, que ce soit aux commandes d’un avion ou en plongée, la fluorescence est devenue un élément de style à part entière et l’une des signatures graphiques originales de Bell & Ross.
Avec cette BR-05 Mirror, la maison horlogère porte le débat sur un autre terrain. Cette pièce sport-chic à l’aspect monochrome ne déploie pas un dispositif luminescent spécifique. Elle mise sur ses finitions et sur l’originalité de son cadran pour briller !
Le fond du cadran, les index et le rehaut semblent sculptés dans un bloc de métal pur. Les reliefs semblent s’y fondre en même temps qu’ils se révèlent.
Exigence de lisibilité des montres-instrument dans l’obscurité, que ce soit aux commandes d’un avion ou en plongée, la fluorescence est devenue un élément de style à part entière et l’une des signatures graphiques originales de Bell & Ross.
Avec cette BR-05 Mirror, la maison horlogère porte le débat sur un autre terrain. Cette pièce sport-chic à l’aspect monochrome ne déploie pas un dispositif luminescent spécifique. Elle mise sur ses finitions et sur l’originalité de son cadran pour briller !
Le fond du cadran, les index et le rehaut semblent sculptés dans un bloc de métal pur. Les reliefs semblent s’y fondre en même temps qu’ils se révèlent.
« Toutes les surfaces sont polies et transforment le cadran en un miroir aux milles reflets. Les aiguilles polies sont semblables à des gouttes ou filet de mercure qui flottent au-dessus d’un lac.
Le cadran poli-miroir, le boitier et le bracelet en acier poli-satiné font de la BR-05 Mirror un objet d’art horloger, une sculpture mono matière, monochrome et monobloc » souligne Bruno Belamich, co-fondateur et directeur de la création de Bell & Ross.
Pour aller plus loin dans cette recherche de minimalisme et de pureté, cette BR-05 Mirror fait le choix de ne faire figurer aucun guichet. De manière concrète, cela signifie que le mouvement automatique, le calibre BR-CAL.321-1, a été retravaillé pour ne pas avoir de cran de date. Un choix logique et assumé !
En imaginant la BR-05 en 2019, Bruno Belamich, directeur de la création de Bell & Ross, souhaitait faire évoluer le concept de la montre-instrument cher à Bell & Ross. Manifeste d’une nouvelle génération, cette BR-05 vise à dépasser la fonctionnalité pure pour y ajouter une dimension esthétique contemporaine.
Pour le reste, ce garde-temps de 40 mm pour une épaisseur de seulement 10,5 mm embarque un mouvement mécanique à remontage automatique, le calibre BR-CAL.321-1 disposant de 54 heures de réserve de marche.
Un fond saphir permet de découvrir la masse oscillante tournant à 360°. Deux options de fixation sont disponibles : soit le bracelet intégral en acier aux finitions poli-satiné (notre préféré), soit un bracelet de caoutchouc noir équipé d’une boucle déployante en acier poli-satiné..
Le cadran poli-miroir, le boitier et le bracelet en acier poli-satiné font de la BR-05 Mirror un objet d’art horloger, une sculpture mono matière, monochrome et monobloc » souligne Bruno Belamich, co-fondateur et directeur de la création de Bell & Ross.
Pour aller plus loin dans cette recherche de minimalisme et de pureté, cette BR-05 Mirror fait le choix de ne faire figurer aucun guichet. De manière concrète, cela signifie que le mouvement automatique, le calibre BR-CAL.321-1, a été retravaillé pour ne pas avoir de cran de date. Un choix logique et assumé !
En imaginant la BR-05 en 2019, Bruno Belamich, directeur de la création de Bell & Ross, souhaitait faire évoluer le concept de la montre-instrument cher à Bell & Ross. Manifeste d’une nouvelle génération, cette BR-05 vise à dépasser la fonctionnalité pure pour y ajouter une dimension esthétique contemporaine.
Pour le reste, ce garde-temps de 40 mm pour une épaisseur de seulement 10,5 mm embarque un mouvement mécanique à remontage automatique, le calibre BR-CAL.321-1 disposant de 54 heures de réserve de marche.
Un fond saphir permet de découvrir la masse oscillante tournant à 360°. Deux options de fixation sont disponibles : soit le bracelet intégral en acier aux finitions poli-satiné (notre préféré), soit un bracelet de caoutchouc noir équipé d’une boucle déployante en acier poli-satiné..
