Il y a trente et un ans, en 1994, naissait la marque horlogère Ikepod. Puis, en 1997, apparaissait le modèle Hemipode, l’aboutissement créatif et visuel de près d’une décennie d’explorations menées par Marc Newson, le fameux designer à l’origine de cette marque...
Avec ses montres POD qui furent produites pendant deux ans, de 1986 à 1987, le futur fondateur d’Ikepod avait déjà exploré de nouveaux territoires, développant un langage visuel cohérent et une identité de marque distinctive.
Tandis que d’autres maisons ressuscitaient leurs icônes passées -une tendance qui allait s’amplifier dans les années suivantes avec le retour du vintage-, Ikepod, elle, dessinait l’avenir.
Avec ses montres POD qui furent produites pendant deux ans, de 1986 à 1987, le futur fondateur d’Ikepod avait déjà exploré de nouveaux territoires, développant un langage visuel cohérent et une identité de marque distinctive.
Tandis que d’autres maisons ressuscitaient leurs icônes passées -une tendance qui allait s’amplifier dans les années suivantes avec le retour du vintage-, Ikepod, elle, dessinait l’avenir.
L'Hemipode devint un jalon créatif, s’imposant immédiatement comme une icône du design horloger contemporain. Son boîtier inspiré des OVNI se distinguait dans le paysage horloger, accentué par l’absence de cornes qui permettait au bracelet en silicone de s’intégrer parfaitement au boîtier.
Ikepod poursuivait son idéal d’ergonomie et de confort ; une philosophie en avance sur son temps. Ce chronographe à quatre compteurs séduisit rapidement les designers, architectes et pionniers de la tech.
À une époque où peu de montres dépassaient 40 mm, son boîtier de 44 mm (sans cornes) se portait comme une 41 mm, tout en affichant une présence plus affirmée au poignet !
Ikepod poursuivait son idéal d’ergonomie et de confort ; une philosophie en avance sur son temps. Ce chronographe à quatre compteurs séduisit rapidement les designers, architectes et pionniers de la tech.
À une époque où peu de montres dépassaient 40 mm, son boîtier de 44 mm (sans cornes) se portait comme une 41 mm, tout en affichant une présence plus affirmée au poignet !
Le succès fut immédiat. Malgré des prix supérieurs à ceux d’une Rolex Daytona, Ikepod fit sensation au Baselworld 1998. La marque fut rapidement distribuée par les plus grands détaillants du monde, ainsi que par les nouveaux « concept stores » de l’époque, tels que Colette à Paris ou 10 Corso Como à Milan.
La première véritable « concept watch » était née ! Elle marqua aussi le début de la vague des indépendants, aux côtés d’autres noms avant-gardistes bientôt célèbres (Urwerk en 1997, De Bethune en 2002, MB&F en 2005…).
Ce qui semble aujourd’hui « normal » était véritablement précurseur à l’époque. Peu de nouvelles marques apparaissaient sur le marché, surtout dans ces gammes de prix. C’était osé !
De fait, un nouveau segment de prix vit le jour : le design pouvait désormais rivaliser avec les montres outils ou les complications, de nouvelles règles impulsées, d’une certaine manière, par Ikepod.
La première véritable « concept watch » était née ! Elle marqua aussi le début de la vague des indépendants, aux côtés d’autres noms avant-gardistes bientôt célèbres (Urwerk en 1997, De Bethune en 2002, MB&F en 2005…).
Ce qui semble aujourd’hui « normal » était véritablement précurseur à l’époque. Peu de nouvelles marques apparaissaient sur le marché, surtout dans ces gammes de prix. C’était osé !
De fait, un nouveau segment de prix vit le jour : le design pouvait désormais rivaliser avec les montres outils ou les complications, de nouvelles règles impulsées, d’une certaine manière, par Ikepod.
C’était aussi la première fois qu’un designer non horloger parvenait à créer sa propre marque. Beaucoup essayèrent ou prêtèrent leur nom à des projets horlogers, mais maîtriser l’univers de l’infiniment petit restait un défi lorsqu’on est issu du design industriel ou du mobilier.
Marc Newson demeure le seul à avoir véritablement réussi.
La Hemipode reste la montre qui s’est le plus affranchie des codes horlogers connus. Contrairement à d’autres créations du designer, elle ne rendait hommage à rien : elle incarnait une innovation pure.
Son bracelet intégré en TPE, doté d’un fermoir en forme d’épingle, annonçait déjà le système d’attache de la montre connectée la plus vendue au monde. Ce design aussi simple que génial devint une signature reconnue des connaisseurs, même chez les jeunes générations qui n’ont pas connu l’originale.
Marc Newson demeure le seul à avoir véritablement réussi.
La Hemipode reste la montre qui s’est le plus affranchie des codes horlogers connus. Contrairement à d’autres créations du designer, elle ne rendait hommage à rien : elle incarnait une innovation pure.
Son bracelet intégré en TPE, doté d’un fermoir en forme d’épingle, annonçait déjà le système d’attache de la montre connectée la plus vendue au monde. Ce design aussi simple que génial devint une signature reconnue des connaisseurs, même chez les jeunes générations qui n’ont pas connu l’originale.
Ce design, déposé par Ikepod, a contribué à forger la légende des montres au style « UFO ». Et aujourd’hui, Ikepod présente une nouvelle Hemipod. Bien évidemment, elle reste fidèle à l’esprit originel, mais elle a été repensée pour une nouvelle génération.
Le boîtier conserve sa forme arrondie emblématique de 44 mm, désormais exclusivement en titane, avec un ingénieux accès à la couronne par l’arrière pour éviter les problèmes de maintenance. Pour rappel, toutes les Hemipode Gen2 étaient en titane, tandis que les Gen1 étaient en acier.
Le célèbre poussoir à 8h a disparu. La nouvelle version est équipée de mouvements Rochat (base Valjoux 7750 avec module additionnel), alors que les premières utilisaient un module La Joux-Perret offrant une fonction GMT via ce poussoir.
Le boîtier conserve sa forme arrondie emblématique de 44 mm, désormais exclusivement en titane, avec un ingénieux accès à la couronne par l’arrière pour éviter les problèmes de maintenance. Pour rappel, toutes les Hemipode Gen2 étaient en titane, tandis que les Gen1 étaient en acier.
Le célèbre poussoir à 8h a disparu. La nouvelle version est équipée de mouvements Rochat (base Valjoux 7750 avec module additionnel), alors que les premières utilisaient un module La Joux-Perret offrant une fonction GMT via ce poussoir.
Les cadrans -toujours propriété et création d’Ikepod- conservent la même architecture, tandis que le bracelet à pin a évolué : il est désormais en caoutchouc naturel, remplaçant le polymère d’origine à la célèbre senteur de vanille.
Le boîtier en titane, de 44 mm (étanche à 50 mètres) pour 18 mm d’épaisseur, arbore le logo Gen3 gravé au laser sur le saphir, en écho à la Gen2 ; la Gen1 affichait le logo sur le cadran, la Gen2 le dessin de l’oiseau Hemipode sur le verre.
Deux versions sont disponibles : Série HE00 avec cadrans blanc et noir -quatre compteurs, chronographe date avec mouvement C3IKE by Arola (module sur Valjoux 7750, date à 3 h. Et la Série HE10 avec cadrans orange et bleu et trois compteurs, chronographe jour-date, mouvement ETA 7750.
Le boîtier en titane, de 44 mm (étanche à 50 mètres) pour 18 mm d’épaisseur, arbore le logo Gen3 gravé au laser sur le saphir, en écho à la Gen2 ; la Gen1 affichait le logo sur le cadran, la Gen2 le dessin de l’oiseau Hemipode sur le verre.
Deux versions sont disponibles : Série HE00 avec cadrans blanc et noir -quatre compteurs, chronographe date avec mouvement C3IKE by Arola (module sur Valjoux 7750, date à 3 h. Et la Série HE10 avec cadrans orange et bleu et trois compteurs, chronographe jour-date, mouvement ETA 7750.












