Selon les organisateurs, cette « première édition, très attendue (…) a tenu toutes ses promesses ». Et de préciser que « 7.000 visiteurs, professionnels, journalistes, passionnés, collectionneurs, amateurs avertis ou simples néophytes ont pu, pendant trois jours, découvrir pour la première fois réunies en un même lieu à Paris les plus belles pièces de marques prestigieuses ».
Le fait est que la plupart des exposants interrogés ont confirmé que ce salon était une véritable réussite. Quelques soient leurs tailles ou leur notoriété, les marques sont unanimes : ce salon a tenu son pari. Au final, très peu de critiques, ce qui est rare pour une première édition…
Quant aux visiteurs, la note générale est également à la satisfaction, même si certains regrettaient tout de même l’absence de grands noms comme Rolex, Audemars Piguet, Patek Philippe, Jaeger-LeCoultre, Panerai, IWC, Bell & Ross, etc.
Toutefois, ce rendez-vous aura permis au grand public de voir, de toucher, d’essayer les dernières nouveautés de chez Chanel (la J12 GMT), de chez Cartier (la Ballon Bleue), de chez Blancpain (la Fifty Fathoms), etc. mais également de manipuler les dernières créations de marques en pleine renaissance (comme la C1 chez Concord) et enfin, de découvrir des horlogers beaucoup plus confidentiels mais qui n’en n’ont pas moins d’intérêt : Parmegiani Fleurier, splendide manufacture qui fabrique ses propres garde-temps de A à Z (spiraux compris), Perrelet qui revient sur le marché français, Hautlence, De Bethune, Greubel Forsey, sans oublier les incontournables « ovnis » horlogers de chez Urwerk qui n’ont laissé personne indifférent…
Soulignons également que le salon Belles montres nous a permis de voir « en vrai » l’exceptionnel Planétaire-Tellurium Richard Mille, une pièce rare et complexe exposée malheureusement dans un stand très minimaliste voire… totalement vide.
Bref, cette rencontre est globalement une belle réussite : l’endroit est prestigieux et facile d’accès. Les exposants sont nombreux et très diversifiés et le public a été au rendez-vous.
On ne souhaite qu'une chose, y revenir l'année prochaine.
Jean-Philippe Tarot pour www.montres-de-luxe.com
Le fait est que la plupart des exposants interrogés ont confirmé que ce salon était une véritable réussite. Quelques soient leurs tailles ou leur notoriété, les marques sont unanimes : ce salon a tenu son pari. Au final, très peu de critiques, ce qui est rare pour une première édition…
Quant aux visiteurs, la note générale est également à la satisfaction, même si certains regrettaient tout de même l’absence de grands noms comme Rolex, Audemars Piguet, Patek Philippe, Jaeger-LeCoultre, Panerai, IWC, Bell & Ross, etc.
Toutefois, ce rendez-vous aura permis au grand public de voir, de toucher, d’essayer les dernières nouveautés de chez Chanel (la J12 GMT), de chez Cartier (la Ballon Bleue), de chez Blancpain (la Fifty Fathoms), etc. mais également de manipuler les dernières créations de marques en pleine renaissance (comme la C1 chez Concord) et enfin, de découvrir des horlogers beaucoup plus confidentiels mais qui n’en n’ont pas moins d’intérêt : Parmegiani Fleurier, splendide manufacture qui fabrique ses propres garde-temps de A à Z (spiraux compris), Perrelet qui revient sur le marché français, Hautlence, De Bethune, Greubel Forsey, sans oublier les incontournables « ovnis » horlogers de chez Urwerk qui n’ont laissé personne indifférent…
Soulignons également que le salon Belles montres nous a permis de voir « en vrai » l’exceptionnel Planétaire-Tellurium Richard Mille, une pièce rare et complexe exposée malheureusement dans un stand très minimaliste voire… totalement vide.
Bref, cette rencontre est globalement une belle réussite : l’endroit est prestigieux et facile d’accès. Les exposants sont nombreux et très diversifiés et le public a été au rendez-vous.
On ne souhaite qu'une chose, y revenir l'année prochaine.
Jean-Philippe Tarot pour www.montres-de-luxe.com