
Au fil de ces apparitions, elles sont montées dans un boîtier ultraléger en titane, avant de se parer d’atours luxueux, hétérogènes à la manière de Gérald Genta : or pour la boîte à carrure cannelée, tantale pour la lunette.
Cette année, l’or passe du gris au rouge, conférant à la montre une chaleureuse excentricité.
Le contraste accentué se reflète sur les cadrans où s’animent des complications typiques de la marque. L’Arena Biretro fait sauter des heures luminescentes dans un guichet à 12 heures. Afin de se charger de toute la lumière voulue, elles apparaissent 3 heures à l’avance sous un verre saphir coloré d’orange.


Quant à celle de la date, de facture identique, elle égrène les jours sur un fond guilloché. L’ensemble s’inscrit dans un design asymétrique, balancé par un jeu recherché de formes et de couleurs.
De leur côté, les Arena Chrono Quattro Retro, exemples du grand art de la complication propre à Gérald Genta, sont les premières montres à conjuguer une heure sautante et quatre fonctions rétrogrades –minutes autour de 12 heures, date à affichage bidirectionnel autour de 6 heures, compteurs 12 heures et 30 minutes respectivement autour de 9 et 3 heures.
Les fonctions s’animent sur un cadran sophistiqué construit sur différents niveaux qui, dans la nouvelle présentation, prend des couleurs gris argent, anthracite et noir rehaussées d’or rouge, en harmonie avec celles du boîtier.
Les aiguilles rouge vif se détachent avec impertinence… Gérald Genta conserve tout son caractère !