Depuis que la maison Romain Jerome a intégré des morceaux du Titanic au sein d’un cadran de montre en 2007, de nombreuses autres marques ont suivi ce concept original.
Dernière en date ? Breitling qui vient de dévoiler cette édition limitée Superocéan Heritage B31 Automatique 42 Marie Tabarly dont les vingt premiers exemplaires intègrent un fragment d’aluminium du Pen Duick VI.
Plus concrètement, il s’agit d’une édition limitée à 100 pièces dont seuls les exemplaires numérotés de 001/100 à 020/100 se distinguent par un cadran qui intègre un fragment authentique du Pen Duick VI.
Dernière en date ? Breitling qui vient de dévoiler cette édition limitée Superocéan Heritage B31 Automatique 42 Marie Tabarly dont les vingt premiers exemplaires intègrent un fragment d’aluminium du Pen Duick VI.
Plus concrètement, il s’agit d’une édition limitée à 100 pièces dont seuls les exemplaires numérotés de 001/100 à 020/100 se distinguent par un cadran qui intègre un fragment authentique du Pen Duick VI.
Ces plaques, extraites lors de travaux sur le voilier avant l’Ocean Globe Race, ont été retirées du bateau pour « devenir un élément intime et symbolique de la montre » précise la marque dans son communiqué.
Les 80 autres exemplaires, également numérotés, reprennent le design aux influences marines de la Superocean Heritage.
« Voir un fragment du Pen Duick VI intégré à une montre, c’est très émouvant. Ce bateau fait partie de ma vie, de mon histoire et il continue maintenant à vivre autrement, au poignet de ceux qui partagent le même amour de la mer et de la liberté » confie Marie Tabarly pour l’occasion.
Les 80 autres exemplaires, également numérotés, reprennent le design aux influences marines de la Superocean Heritage.
« Voir un fragment du Pen Duick VI intégré à une montre, c’est très émouvant. Ce bateau fait partie de ma vie, de mon histoire et il continue maintenant à vivre autrement, au poignet de ceux qui partagent le même amour de la mer et de la liberté » confie Marie Tabarly pour l’occasion.
Pour le reste, cette montre est animée par le Calibre Manufacture B31, le mouvement 4Hz exclusif à trois aiguilles de Breitling, certifié COSC d’une confortable réserve de marche de 78h. Le boîtier de 42 mm en acier et or rouge, étanche à 200 mètres, est rehaussé d’une lunette en céramique unidirectionnelle assurant une résistance aux rayures.
Un discret guichet de date à six heures et des aiguilles reprenant le design emblématique du modèle original de 1957 garantissent lisibilité et équilibre, en surface comme en profondeur. Quant au bracelet il est en caoutchouc.
Disponible dès aujourd’hui dans les Boutiques Breitling, chez les revendeurs agrées et sur le site officiel, cette édition exclusive France est proposée aux prix de 8.450 € pour les 20 premières pièces dotées du cadran « Pen Duick 6 » et 8 200 € pour les autres modèles.
Un discret guichet de date à six heures et des aiguilles reprenant le design emblématique du modèle original de 1957 garantissent lisibilité et équilibre, en surface comme en profondeur. Quant au bracelet il est en caoutchouc.
Disponible dès aujourd’hui dans les Boutiques Breitling, chez les revendeurs agrées et sur le site officiel, cette édition exclusive France est proposée aux prix de 8.450 € pour les 20 premières pièces dotées du cadran « Pen Duick 6 » et 8 200 € pour les autres modèles.
Pour la petite histoire, lorsqu’Eric Tabarly disparu tragiquement il y a vingt-sept ans, il portait une Breitling… Un modèle Aerospace en titane que sa fille récupérera et portera pendant des années.
« J’ai toujours vu mon père avec sa Breitling au poignet. Je ne l’ai connu qu’avec celle-là. D’ailleurs j’ai toujours sa montre qui m’est très chère et qui a toujours été entretenue par la maison » précise la jeune femme.
A lire : Mémoires du large d’Eric Tabarly (Livre de poche). Le 12 juin 1998, Éric Tabarly disparaissait en mer d’Irlande. Dans ses Mémoires du large, lui, le silencieux, sort de sa réserve et parle.
Il raconte son enfance, ses années d’apprentissage, l’École navale, le Maroc, l’Indochine… Mais surtout ce jour du printemps 1938 où, pour la première fois, il monte à bord du Pen Duick, que son père vient d’acheter.
« J’ai toujours vu mon père avec sa Breitling au poignet. Je ne l’ai connu qu’avec celle-là. D’ailleurs j’ai toujours sa montre qui m’est très chère et qui a toujours été entretenue par la maison » précise la jeune femme.
A lire : Mémoires du large d’Eric Tabarly (Livre de poche). Le 12 juin 1998, Éric Tabarly disparaissait en mer d’Irlande. Dans ses Mémoires du large, lui, le silencieux, sort de sa réserve et parle.
Il raconte son enfance, ses années d’apprentissage, l’École navale, le Maroc, l’Indochine… Mais surtout ce jour du printemps 1938 où, pour la première fois, il monte à bord du Pen Duick, que son père vient d’acheter.










