La montre de médecin n’est pas nouvelle en soi. C’est en effet dans les années 20 que l’on voit apparaitre les toutes premières « doctor’s watch », un garde-temps qui était alors essentiellement utilisé à des fins médicales.
En effet, grâce à son échelle pulsométrique, ce chronographe permettait non seulement de mesurer le temps, mais aussi le rythme cardiaque de manière simple, fiable et précise. Bref, c’était un véritable instrument de mesure pour les médecins de l’époque !
Rappelons que dans le temps, la mesure du pouls d’une personne s’effectuait sur une période de 60 secondes, pendant laquelle il fallait compter avec exactitude le nombre de pulsations cardiaques du patient. Cette façon de procéder n’étant pas toujours très rigoureuse, la création du pulsomètre a permis peu à peu de pallier ces imprécisions.
En effet, grâce à son échelle pulsométrique, ce chronographe permettait non seulement de mesurer le temps, mais aussi le rythme cardiaque de manière simple, fiable et précise. Bref, c’était un véritable instrument de mesure pour les médecins de l’époque !
Rappelons que dans le temps, la mesure du pouls d’une personne s’effectuait sur une période de 60 secondes, pendant laquelle il fallait compter avec exactitude le nombre de pulsations cardiaques du patient. Cette façon de procéder n’étant pas toujours très rigoureuse, la création du pulsomètre a permis peu à peu de pallier ces imprécisions.
Cette montre s’inscrit donc dans ce même registre. Baptisée Doplr (prononcer doppler), elle a été créée en collaboration avec une équipe d’horlogers et de designers « dans l’idée de concevoir une montre mécanique qui serait un outil au service de la médecine » indique la marque dans son communiqué. Soit.
C’est en 1707 que tout commence : le Dr John Floyer, médecin anglais célèbre pour ses travaux sur le pouls, invente avec Samuel Watson, un horloger londonien, la première montre pulsomètre. Aujourd’hui, cette nouveauté permet de mesurer deux paramètres vitaux : le pouls (pulsomètre) et la fréquence respiratoire (asthomomètre).
C’est en 1707 que tout commence : le Dr John Floyer, médecin anglais célèbre pour ses travaux sur le pouls, invente avec Samuel Watson, un horloger londonien, la première montre pulsomètre. Aujourd’hui, cette nouveauté permet de mesurer deux paramètres vitaux : le pouls (pulsomètre) et la fréquence respiratoire (asthomomètre).
Comment ça marche ?
L’échelle pulsomètrique, graduée sur le cadran, permet de mesurer la fréquence cardiaque. Dès que la trotteuse passe 12h, il vous faut prendre le pouls, compter 15 pulsations et lire le chiffre correspondant sur le cadran à la 15e pulsation.
L’asthmomètre permet quant à lui de mesurer la fréquence respiratoire en cas de détresse respiratoire. Dès que la trotteuse passe 6h, il vous faut compter 5 mouvements respiratoires et lire le chiffre correspondant sur le cadran gradué au 5e mouvement respiratoire.
L’asthmomètre permet quant à lui de mesurer la fréquence respiratoire en cas de détresse respiratoire. Dès que la trotteuse passe 6h, il vous faut compter 5 mouvements respiratoires et lire le chiffre correspondant sur le cadran gradué au 5e mouvement respiratoire.
Cette pièce est équipée d’un boitier mixte en acier de 40 mm, étanche à 100m, protégé par un verre saphir. « Elle est conçue pour un usage intensif compatible avec l’exercice médical » assure la marque dans son communiqué. Son bracelet étanche est d’ailleurs désinfectable. Coté « cœur », elle embarque en mission un calibre mécanique automatique « trois aiguilles-date » de chez ETA, le fameux 2824-2.
Sur le cadran, le logo évoque le serpent d’Asklépios, symbole de la médecine, enlacé autour du signe infini, symbole du temps. A noter que chaque montre de cette série limitée à 300 pièces est numérotée et qu’elle sera gravée du nom du propriétaire. Enfin, pour chaque garde-temps vendu (90 pour le moment), la somme de 25 euros sera reversée à Médecins sans frontières. Livraison prévue fin 2017.
L’idée est sympa et le prix relativement correct. Dommage toutefois que le design de cette montre (notamment au niveau du cadran et des aiguilles heures et minutes) soit un peu trop commun. Mais bon, les gouts et les couleurs…
Sur le cadran, le logo évoque le serpent d’Asklépios, symbole de la médecine, enlacé autour du signe infini, symbole du temps. A noter que chaque montre de cette série limitée à 300 pièces est numérotée et qu’elle sera gravée du nom du propriétaire. Enfin, pour chaque garde-temps vendu (90 pour le moment), la somme de 25 euros sera reversée à Médecins sans frontières. Livraison prévue fin 2017.
L’idée est sympa et le prix relativement correct. Dommage toutefois que le design de cette montre (notamment au niveau du cadran et des aiguilles heures et minutes) soit un peu trop commun. Mais bon, les gouts et les couleurs…