Basé sur une nouvelle approche de lecture d’heure, en mettant en scène de manière ludique les complications, la marque Hautlence s’est ainsi positionnée sur le secteur des amoureux de belles mécaniques, en associant les technologies modernes de conception, de la simulation 3D, tout en respectant les métiers d’arts associés à la haute horlogerie.
Hautlence a réellement vu le jour en tant que société fin 2004, sous l’initiative de Renaud de Retz et Guillaume Tetu, issus tous deux du sérail horloger et de Jean Plazenet capitaine d’industries avec une forte expertise managériale et industrielle.
Le pari de développer ses propres mouvements et de maitriser ses propres complications s’impose à eux. Ainsi quelques partenaires relèvent le défi en travaillant sur la première complication ; des ingénieurs, concepteurs, horlogers indépendants et usineurs de haute volée parviennent, autour de l’équipe à donner vie au calibre HL en 18 mois.
La philosophie de la marque, comme le souligne un récent communiqué, « est l’inverse d’une démarche opportuniste ». D’une part, créer ses propres calibres requiert autant de folie que de sérieux, et d’autre part le positionnement de niche d’un tel projet n’accorde aucune concession quant à la qualité et au service associés au produit. Toute l’architecture de Hautlence réside donc sur une transparence totale et une éthique quant à son fonctionnement.
Hautlence a réellement vu le jour en tant que société fin 2004, sous l’initiative de Renaud de Retz et Guillaume Tetu, issus tous deux du sérail horloger et de Jean Plazenet capitaine d’industries avec une forte expertise managériale et industrielle.
Le pari de développer ses propres mouvements et de maitriser ses propres complications s’impose à eux. Ainsi quelques partenaires relèvent le défi en travaillant sur la première complication ; des ingénieurs, concepteurs, horlogers indépendants et usineurs de haute volée parviennent, autour de l’équipe à donner vie au calibre HL en 18 mois.
La philosophie de la marque, comme le souligne un récent communiqué, « est l’inverse d’une démarche opportuniste ». D’une part, créer ses propres calibres requiert autant de folie que de sérieux, et d’autre part le positionnement de niche d’un tel projet n’accorde aucune concession quant à la qualité et au service associés au produit. Toute l’architecture de Hautlence réside donc sur une transparence totale et une éthique quant à son fonctionnement.
Une logique de série limitée définit le positionnement sans compromis de la marque, en choisissant de produire exclusivement 88 pièces par modèle et de limiter une collection à uniquement 8 modèles, Hautlence devient une référence dans l’exclusivité horlogère.
En 2005, les premières montres Hautlence arrivent sur les marchés, avec la collection HL : le disque des heures saute grâce à la liaison bielle glissière qui anime la minute rétrograde, ainsi ses deux complications mécaniquement liées, font l’objet d’un brevet exclusif à la marque.
Ce qui confère à cette première collection une vision complètement nouvelle de la lecture intuitive des heures et minutes.
La forme de la pièce, d’aspect rétro, n’est que le fruit d’une approche de design dans le respect du lien forme et fonction ; ici, les choses sont légitimes et minimalistes pour laisser la mécanique guider les yeux du passionné vers les finitions horlogères traditionnelles.
Dans un souci de cohérence et de complément de gamme, la collection HLS s’inscrit définitivement dans l’air du temps et arrive sur le marché en 2007 avec une approche plus ergonomique, plus carénée que son ainée. HLS prend racine dans des codes plus contemporains, mais laisse les détails et les finitions au coeur du débat. En effet, que ce soit l’anglage main de la lunette intérieure ou les appliques du rehaut minute posées en trois dimensions pour optimiser la lecture, les concepteurs d’Hautlence ont encore relevé bien des défis techniques pour servir l’excellence horlogère.
En 2005, les premières montres Hautlence arrivent sur les marchés, avec la collection HL : le disque des heures saute grâce à la liaison bielle glissière qui anime la minute rétrograde, ainsi ses deux complications mécaniquement liées, font l’objet d’un brevet exclusif à la marque.
Ce qui confère à cette première collection une vision complètement nouvelle de la lecture intuitive des heures et minutes.
La forme de la pièce, d’aspect rétro, n’est que le fruit d’une approche de design dans le respect du lien forme et fonction ; ici, les choses sont légitimes et minimalistes pour laisser la mécanique guider les yeux du passionné vers les finitions horlogères traditionnelles.
Dans un souci de cohérence et de complément de gamme, la collection HLS s’inscrit définitivement dans l’air du temps et arrive sur le marché en 2007 avec une approche plus ergonomique, plus carénée que son ainée. HLS prend racine dans des codes plus contemporains, mais laisse les détails et les finitions au coeur du débat. En effet, que ce soit l’anglage main de la lunette intérieure ou les appliques du rehaut minute posées en trois dimensions pour optimiser la lecture, les concepteurs d’Hautlence ont encore relevé bien des défis techniques pour servir l’excellence horlogère.
En 2008, une nouvelle complication intégrée vient étoffer la gamme, la marque prend alors une nouvelle dimension en présentant un 2eme calibre propre, avec une troisième collection, basée une fois encore sur les heures sautantes et minutes rétrogrades, et s’enrichit de la date, d’où le nom de la collection HLQ, pour Quantième.
En recherche constante du lien forme fonction, la forme retenue pour épouser au mieux la circularité du quantième, en périphérie du calibre, sera de manière légitime une boite ronde, légèrement conique pour optimiser l’ouverture sur l’intérieur. Les formes générales de HLQ sont en lien direct avec la désormais historique ligne HL, dans les codes épurés, mais cette forme prend sans conteste sa place dans la famille de produits HL.
En recherche constante du lien forme fonction, la forme retenue pour épouser au mieux la circularité du quantième, en périphérie du calibre, sera de manière légitime une boite ronde, légèrement conique pour optimiser l’ouverture sur l’intérieur. Les formes générales de HLQ sont en lien direct avec la désormais historique ligne HL, dans les codes épurés, mais cette forme prend sans conteste sa place dans la famille de produits HL.
Rappelons que la première génération de HL livrée dès fin 2005 est le résultat de l’étroite collaboration entre Hautlence et ses partenaires suisses qui l’accompagnent depuis le début ; de l’usinage à l’assemblage en passant par la décoration et le contrôle.
La chaine logistique complexe mise en place permet de maitriser toutes les étapes de réalisation, en dépassant les relations client/donneur d’ordre mais en impliquant réellement chaque partenaire dans le succès du produit et la construction de la marque.
L’intégration progressive souhaitée, pour accompagner les besoins de la marque, conduit à intégrer les études en montage, en 2007 ou un horloger prototypiste et un ingénieur concepteur mouvement renforcent l’équipe, c’est ainsi qu’un atelier dédié au produit est créé à deux pas du siège social de la place des halles, dans le bâtiment historique du trésor de la ville de Neuchâtel.
Cette structure montre rapidement l’importance de la maitrise du produit, et conduit à intégrer un horloger pour prendre en charge une partie de l’assemblage et du contrôle entrée et sortie.
Fin 2008, Hautlence intègre un troisième horloger qui fera également de la production, puis préparera la gestion du service après vente, qui contribuera à asseoir la crédibilité de la jeune marque pour s’imposer parmi les meilleurs.
Une étape également très importante pour la société, puisqu’elle fait l’acquisition d’une machine à commande numérique (CNC), pour répondre à la réactivité des développements et assurer quelques références en production. Une telle maitrise de son produit, de la conception à la réalisation par les meilleurs indépendants, puis le contrôle et le montage interne, fait de Hautlence une des jeunes manufactures horlogères les plus innovantes en termes de maitrise et de légitimité horlogère.
Actuellement et malgré la crise ambiante, la marque poursuit son développement, fidèle à sa philosophie première, à savoir développer ses propres calibres et franchit une nouvelle étape, toujours en collaboration avec des partenaires industriels externes comme pour la partie rouage, par exemple. « De même nous développons les composants du calibre, de l’organe réglant au barillet, dans un souci de maitrise et d’indépendance industrielle. Ainsi les prochaines pièces des futures collections arriveront avec d’autres complications comme le remontage automatique, ou de nouvelles lectures d’heure, et c’est en franchissant chacune des étapes avec notre collège que Hautlence s’inscrira dans le temps » concluent les responsables de cette jeune manufacture en devenir.
La chaine logistique complexe mise en place permet de maitriser toutes les étapes de réalisation, en dépassant les relations client/donneur d’ordre mais en impliquant réellement chaque partenaire dans le succès du produit et la construction de la marque.
L’intégration progressive souhaitée, pour accompagner les besoins de la marque, conduit à intégrer les études en montage, en 2007 ou un horloger prototypiste et un ingénieur concepteur mouvement renforcent l’équipe, c’est ainsi qu’un atelier dédié au produit est créé à deux pas du siège social de la place des halles, dans le bâtiment historique du trésor de la ville de Neuchâtel.
Cette structure montre rapidement l’importance de la maitrise du produit, et conduit à intégrer un horloger pour prendre en charge une partie de l’assemblage et du contrôle entrée et sortie.
Fin 2008, Hautlence intègre un troisième horloger qui fera également de la production, puis préparera la gestion du service après vente, qui contribuera à asseoir la crédibilité de la jeune marque pour s’imposer parmi les meilleurs.
Une étape également très importante pour la société, puisqu’elle fait l’acquisition d’une machine à commande numérique (CNC), pour répondre à la réactivité des développements et assurer quelques références en production. Une telle maitrise de son produit, de la conception à la réalisation par les meilleurs indépendants, puis le contrôle et le montage interne, fait de Hautlence une des jeunes manufactures horlogères les plus innovantes en termes de maitrise et de légitimité horlogère.
Actuellement et malgré la crise ambiante, la marque poursuit son développement, fidèle à sa philosophie première, à savoir développer ses propres calibres et franchit une nouvelle étape, toujours en collaboration avec des partenaires industriels externes comme pour la partie rouage, par exemple. « De même nous développons les composants du calibre, de l’organe réglant au barillet, dans un souci de maitrise et d’indépendance industrielle. Ainsi les prochaines pièces des futures collections arriveront avec d’autres complications comme le remontage automatique, ou de nouvelles lectures d’heure, et c’est en franchissant chacune des étapes avec notre collège que Hautlence s’inscrira dans le temps » concluent les responsables de cette jeune manufacture en devenir.