Et l’une des spécificités d’Hermès est d’offrir, la plupart du temps, une vision du temps poétique ou décalé au sein d’un univers « temporel » qui lui est propre. Avec la collaboration d’horlogers de renom de surcroit.
Le fait est que cette « Arceau, L’heure de la Lune » offre une perspective singulière du satellite de la Terre grâce à l’affichage simultané des phases de la Lune aux hémisphères nord et sud. Sur un cadran en météorite ou en aventurine, deux compteurs mobiles heures et date (avec aiguilles en acier bleui et chiffres arabes à la typographie inclinée identitaire) gravitent, dévoilant les Lunes de nacre au rythme d’un module exclusif breveté (imaginé par Mojon), couplé à un mouvement de manufacture Hermès.
Le cheval, aux origines de la maison Hermès, investit l’univers des rêves de son galop élégant. À 12h, la Lune s’orne d’un Pégase réalisé par le « rêveur-dessinateur » Dimitri Rybaltchenko. Intitulée Pleine Lune, cette représentation du cheval ailé dessine les contours d’un passage entre deux mondes, où magie et réalité se confondent. De l’autre côté, à 6h, la vue de la Lune depuis l’hémisphère nord reflète sa surface avec réalisme.
Ce garde-temps de haute horlogerie est réalisé en deux séries limitées à 100 exemplaires chacune, et se pare d’un bracelet en alligator mat, graphite ou bleu abysse sur boucle déployante en or gris.