Dans le film La mécanique de l’ombre (2017) de Thomas Kruithof, François Cluzet porte une montre Parmigiani Fleurier Tonda Metrographe sur bracelet en cuir.
A noter qu’il s’agit d’un placement de produit organisé avec la manufacture fleurisane. Rappelons que la Tonda Metrographe fut présentée à l’origine, à l’occasion du SIHH 2014. Cette création horlogère s’inscrit dans l’entrée de gamme de cette marque qui ne produit de toute façon que du haut de gamme… Un beau chrono manufacture.
L’histoire :
Deux ans après un « burn-out », Duval est toujours au chômage. Contacté par un homme d’affaires énigmatique, il se voit proposer un travail simple et bien rémunéré… Celui de retranscrire des écoutes téléphoniques. Aux abois financièrement, Duval accepte sans s’interroger sur la finalité de l’organisation qui l’emploie.
Précipité au cœur d’un complot politique, il doit affronter la mécanique (de l’ombre) brutale du monde souterrain des services secrets et du contre-espionnage.
« Je voulais montrer un monde opaque à travers le regard d’un subalterne, tout en bas de l’échelle d’une organisation dont il ne connaît pas la finalité. À l’origine, j’ai eu l’idée que le personnage principal effectue le travail d’espionnage le plus laborieux que je puisse imaginer. Ses tâches sont encadrées par des règles de sécurité proches de l’absurde. Il fait son travail sans se poser de questions. Quand, tout d’un coup, les événements prennent une nouvelle tournure » indique le réalisateur.
Avec : François Cluzet, Denis Podalydès, Sami Bouajila, etc.
Rubrique réalisée en collaboration avec le magasin de ventes en ligne de montres d'occasion www.perpetualis.fr
A noter qu’il s’agit d’un placement de produit organisé avec la manufacture fleurisane. Rappelons que la Tonda Metrographe fut présentée à l’origine, à l’occasion du SIHH 2014. Cette création horlogère s’inscrit dans l’entrée de gamme de cette marque qui ne produit de toute façon que du haut de gamme… Un beau chrono manufacture.
L’histoire :
Deux ans après un « burn-out », Duval est toujours au chômage. Contacté par un homme d’affaires énigmatique, il se voit proposer un travail simple et bien rémunéré… Celui de retranscrire des écoutes téléphoniques. Aux abois financièrement, Duval accepte sans s’interroger sur la finalité de l’organisation qui l’emploie.
Précipité au cœur d’un complot politique, il doit affronter la mécanique (de l’ombre) brutale du monde souterrain des services secrets et du contre-espionnage.
« Je voulais montrer un monde opaque à travers le regard d’un subalterne, tout en bas de l’échelle d’une organisation dont il ne connaît pas la finalité. À l’origine, j’ai eu l’idée que le personnage principal effectue le travail d’espionnage le plus laborieux que je puisse imaginer. Ses tâches sont encadrées par des règles de sécurité proches de l’absurde. Il fait son travail sans se poser de questions. Quand, tout d’un coup, les événements prennent une nouvelle tournure » indique le réalisateur.
Avec : François Cluzet, Denis Podalydès, Sami Bouajila, etc.
Rubrique réalisée en collaboration avec le magasin de ventes en ligne de montres d'occasion www.perpetualis.fr
