Alors que Patek Philippe vient de présenter, à l’occasion de Watches & Wonders 2024, une très belle Golden Ellipse (réf. 5738/1R001) avec un bracelet exclusif en or de style « chaîne » à la construction moderne et brevetée, revenons sur les bracelets métalliques au sein des collections PP. 
    
Pour faire simple, on distingue deux types de bracelets métalliques Patek Philippe ; en fonction de leur mode de construction.
    
Les mailles des bracelets-chaînes sont produites par les artisans chaînistes une à une, à partir d’un fil d’or ou d’un autre métal, avant d’être assemblées à la main de manière à former un ensemble d’une grande souplesse.
			 Pour faire simple, on distingue deux types de bracelets métalliques Patek Philippe ; en fonction de leur mode de construction.
Les mailles des bracelets-chaînes sont produites par les artisans chaînistes une à une, à partir d’un fil d’or ou d’un autre métal, avant d’être assemblées à la main de manière à former un ensemble d’une grande souplesse.
					 Au cours de son histoire, Patek Philippe a mis à l’honneur le savoir-faire de ses artisans et de divers fournisseurs spécialisés, dont la firme Gennari Ponti, rebaptisée par la suite ARSA (Ateliers Réunis SA), avant d’être intégrée à Patek Philippe lors du regroupement de tous les ateliers de la manufacture en 1996 à Plan-les-Ouates. 
    
Les maillons, fermoirs et attaches constituant les bracelets dits « mécaniques » sont usinés sur des machines CNC à partir d’une barre de métal (or, platine, acier), avant d’être assemblés à la main, puis –selon le bracelet– polis ou satinés, également à la main.
   
Dans cette catégorie, appartiennent le bracelet poli/satiné de la Nautilus (lancé en 1976 et exigeant plus de 15 opérations de terminaisons différentes), le bracelet « Goutte » (1998) et le bracelet entièrement poli de la montre pour dames Twenty~4 (1999).
			 Les maillons, fermoirs et attaches constituant les bracelets dits « mécaniques » sont usinés sur des machines CNC à partir d’une barre de métal (or, platine, acier), avant d’être assemblés à la main, puis –selon le bracelet– polis ou satinés, également à la main.
Dans cette catégorie, appartiennent le bracelet poli/satiné de la Nautilus (lancé en 1976 et exigeant plus de 15 opérations de terminaisons différentes), le bracelet « Goutte » (1998) et le bracelet entièrement poli de la montre pour dames Twenty~4 (1999).
					 Le nouveau bracelet de style « chaîne », développé et fabriqué par un partenaire historique de Patek Philippe et introduit en exclusivité sur la Golden Ellipse référence 5738/1R-001, associe ces deux mondes. 
   
Il est doté de composants produits de manière industrielle sur des machines CNC de toute dernière génération, puis assemblés et finis à la main par des artisans chaînistes.
   
Contrairement aux anciens bracelets de ce style présents sur les modèles vintage qui devaient être coupés pour la mise à taille, celui-ci possède des "maillons" qui peuvent être retirés ou ajoutés sans coupure !
			 Il est doté de composants produits de manière industrielle sur des machines CNC de toute dernière génération, puis assemblés et finis à la main par des artisans chaînistes.
Contrairement aux anciens bracelets de ce style présents sur les modèles vintage qui devaient être coupés pour la mise à taille, celui-ci possède des "maillons" qui peuvent être retirés ou ajoutés sans coupure !

			 








