Depuis une dizaine d’années, l’univers des garde-temps mécaniques a connu un développement fulgurant, notamment dans le domaine des complications horlogères.
Les maisons rivalisent en effet d’ingéniosité tant dans l’innovation technologique que dans l’utilisation de matériaux inédits pour doter leurs montres de capacités techniques qui vont bien au-delà de la seule mesure du temps.
Il serait toutefois réducteur de limiter cette inventivité horlogère à ces seules années d’euphorie que vient de vivre la profession et oublier que l’excellence horlogère puise ses racines dans un passé séculaire.
Dès le 16ème siècle, avant même l’introduction des aiguilles des minutes et des secondes, tant en Suisse que dans d’autres pays d’Europe comme l’Allemagne ou le Portugal, les créateurs de l’époque avaient déjà développé des montres et des pendules à sonnerie et à réveil, à calendrier ou encore à indications astronomiques. Les complications horlogères étaient nées.
Répondant aux besoins scientifiques du moment comme aux contingences de la vie courante, elles n’ont cessé depuis d’accompagner l’activité de l’homme, répondant à ses envies, ses passions et ses exigences. Ainsi, aujourd’hui, les chronographes, montres de plongée, à calendrier ou quantième, celles à fuseaux horaires ou conçues pour les régates nautiques font partie de la vie quotidienne des amateurs de belle horlogerie.
Les montres astronomiques (phase de lune, calendrier perpétuel, équation du temps…), les garde-temps à signal sonore (à répétition, à grande sonnerie, à réveil…) ou encore celles à tourbillon ou carrousel (pour compenser la gravitation terrestre) n’ont pas davantage disparu du panorama horloger, sans compter les grandes complications qui réunissent un certain nombre d’entre elles dans un même espace.
Les maisons rivalisent en effet d’ingéniosité tant dans l’innovation technologique que dans l’utilisation de matériaux inédits pour doter leurs montres de capacités techniques qui vont bien au-delà de la seule mesure du temps.
Il serait toutefois réducteur de limiter cette inventivité horlogère à ces seules années d’euphorie que vient de vivre la profession et oublier que l’excellence horlogère puise ses racines dans un passé séculaire.
Dès le 16ème siècle, avant même l’introduction des aiguilles des minutes et des secondes, tant en Suisse que dans d’autres pays d’Europe comme l’Allemagne ou le Portugal, les créateurs de l’époque avaient déjà développé des montres et des pendules à sonnerie et à réveil, à calendrier ou encore à indications astronomiques. Les complications horlogères étaient nées.
Répondant aux besoins scientifiques du moment comme aux contingences de la vie courante, elles n’ont cessé depuis d’accompagner l’activité de l’homme, répondant à ses envies, ses passions et ses exigences. Ainsi, aujourd’hui, les chronographes, montres de plongée, à calendrier ou quantième, celles à fuseaux horaires ou conçues pour les régates nautiques font partie de la vie quotidienne des amateurs de belle horlogerie.
Les montres astronomiques (phase de lune, calendrier perpétuel, équation du temps…), les garde-temps à signal sonore (à répétition, à grande sonnerie, à réveil…) ou encore celles à tourbillon ou carrousel (pour compenser la gravitation terrestre) n’ont pas davantage disparu du panorama horloger, sans compter les grandes complications qui réunissent un certain nombre d’entre elles dans un même espace.
Elles témoignent d’un savoir-faire qui a perduré à travers le temps et qui, de nos jours, dessine les contours de cet univers si particulier de la Haute Horlogerie. Associées aux technologies du 21ème siècle, ces connaissances permettent aujourd’hui encore de repousser les limites des mondes possibles en termes de micromécanique horlogère. Celle qui a fait rêver les têtes couronnées de l’époque, celle encore capable de faire naître de mêmes émotions.
En hommage à cette riche tradition horlogère, la Fondation de la Haute Horlogerie révèle ce mois-ci à Paris « L’Univers des montres à complications » à travers une exposition regroupant environ 65 montres-bracelets et de poche des origines à nos jours. Elles proviennent du patrimoine d’entreprises de la Haute Horlogerie et de ceux du Musée International d’Horlogerie, la Chaux-de-Fonds, des Musées d’art et d’histoire de la Ville de Genève, du Musée d’Horlogerie du Locle, Château-des-Monts et du Musée d’Horlogerie Beyer, Zurich. La partie historique de l’exposition est complétée par 24 pièces contemporaines présentées par les marques partenaires de la Fondation de la Haute Horlogerie.
En hommage à cette riche tradition horlogère, la Fondation de la Haute Horlogerie révèle ce mois-ci à Paris « L’Univers des montres à complications » à travers une exposition regroupant environ 65 montres-bracelets et de poche des origines à nos jours. Elles proviennent du patrimoine d’entreprises de la Haute Horlogerie et de ceux du Musée International d’Horlogerie, la Chaux-de-Fonds, des Musées d’art et d’histoire de la Ville de Genève, du Musée d’Horlogerie du Locle, Château-des-Monts et du Musée d’Horlogerie Beyer, Zurich. La partie historique de l’exposition est complétée par 24 pièces contemporaines présentées par les marques partenaires de la Fondation de la Haute Horlogerie.
Infos pratiques
Exposition « L’Univers des montres à complications » :
Belles Montres - Salon International de l’Horlogerie de Prestige
Du 28 au 30 novembre 2008
Carrousel du Louvre, Paris 1er –
De 10H00 à 19h00 – Entrée : 10 €
Renseignements sur www.bellesmontres.fr
Belles Montres - Salon International de l’Horlogerie de Prestige
Du 28 au 30 novembre 2008
Carrousel du Louvre, Paris 1er –
De 10H00 à 19h00 – Entrée : 10 €
Renseignements sur www.bellesmontres.fr
