Louis Erard démontre aujourd’hui son dynamisme en présentant son « Chrono 1931 » ainsi que sa toute première collection femme, « Emotion ». Le secret de sa réussite : des lignes épurées, une élégance aux accents classiques et surtout, l’amour de la belle mécanique dans sa plus pure tradition helvétique. Le tout à des prix très doux.
Comme le souligne le communiqué de la marque, « chez Louis Erard, l’élément central tenant l’édifice reste et restera la mécanique au prix juste ». L’horloger crée des garde-temps mécaniques parce qu’ils vivent, rappelant que le temps ne peut être rattrapé. La montre mécanique n’est pas une machine : on la sent, elle tourne et s’arrête. Avant de la remettre au poignet, il faut la regarder, la toucher, la relancer : un véritable rite de passage constamment réinventé.
Créée en 1931, la Maison Louis Erard aura passé par tous les états d’âme, au point de connaître une longue éclipse dès le début des années 1990. La marque est reprise en 2003 par un groupe d’investisseurs, emmenés par Alain Spinedi. Son projet est sans équivoque : offrir des montres mécaniques de haute qualité à des prix abordables. Et le temps démontrera que l’horloger avait vu juste, puisque sa production annuelle est passée de moins de 1.000 pièces en 2003 à plus de 17.000 en 2007.
Comme le reconnaît Alain Spinedi : « l’important à nos yeux n’est pas tant de faire exploser la production de montres, mais bien de rester libres de nos choix et fidèles à nos valeurs. »
Pour aller plus loin, lire aussi :
1931 de Louis Erard : classicisme et sobriété pour une GMT Grande Date et une Phase de lune
Comme le souligne le communiqué de la marque, « chez Louis Erard, l’élément central tenant l’édifice reste et restera la mécanique au prix juste ». L’horloger crée des garde-temps mécaniques parce qu’ils vivent, rappelant que le temps ne peut être rattrapé. La montre mécanique n’est pas une machine : on la sent, elle tourne et s’arrête. Avant de la remettre au poignet, il faut la regarder, la toucher, la relancer : un véritable rite de passage constamment réinventé.
Créée en 1931, la Maison Louis Erard aura passé par tous les états d’âme, au point de connaître une longue éclipse dès le début des années 1990. La marque est reprise en 2003 par un groupe d’investisseurs, emmenés par Alain Spinedi. Son projet est sans équivoque : offrir des montres mécaniques de haute qualité à des prix abordables. Et le temps démontrera que l’horloger avait vu juste, puisque sa production annuelle est passée de moins de 1.000 pièces en 2003 à plus de 17.000 en 2007.
Comme le reconnaît Alain Spinedi : « l’important à nos yeux n’est pas tant de faire exploser la production de montres, mais bien de rester libres de nos choix et fidèles à nos valeurs. »
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