Mon premier Bâle était en 1992 ; je venais de commencer chez Jaeger-LeCoultre comme responsable produit et nous venions de créer notre premier vrai grand stand dans la Halle 1.0.
J’assistais aux ventes pour mieux comprendre comment les détaillants percevaient nos nouveautés et comme aujourd’hui encore, un rush d’adrénaline me submergeait heure après heure avec chaque nouveau rendez-vous.
Et n’oublions pas l’extraordinaire plaisir de se retrouver entre amateurs de belle horlogerie l’espace d’une semaine d’échanges et de bonne humeur. Cela va vraiment me manquer.
J’aurais participé à 28 « Foires de Bâle » comme on appelait Baselworld il y a longtemps, et toute cette situation me rend triste.
En tant que MB&F, nous n’avons jamais eu aucun problème avec ce salon, bien au contraire. Ils ont travaillé avec nous, il y a onze ans, pour rassembler les créateurs indépendants sous la tente du Palace, puis dans le concept des Ateliers dans un second pas.
Je pense que la plupart des exposants dans ces deux hubs créatifs étaient très contents de leur participation. Evidemment il y avait un prix à ces stands, mais si nous revenions chaque année, c’est qu’obligatoirement cela en valait la peine…
J’assistais aux ventes pour mieux comprendre comment les détaillants percevaient nos nouveautés et comme aujourd’hui encore, un rush d’adrénaline me submergeait heure après heure avec chaque nouveau rendez-vous.
Et n’oublions pas l’extraordinaire plaisir de se retrouver entre amateurs de belle horlogerie l’espace d’une semaine d’échanges et de bonne humeur. Cela va vraiment me manquer.
J’aurais participé à 28 « Foires de Bâle » comme on appelait Baselworld il y a longtemps, et toute cette situation me rend triste.
En tant que MB&F, nous n’avons jamais eu aucun problème avec ce salon, bien au contraire. Ils ont travaillé avec nous, il y a onze ans, pour rassembler les créateurs indépendants sous la tente du Palace, puis dans le concept des Ateliers dans un second pas.
Je pense que la plupart des exposants dans ces deux hubs créatifs étaient très contents de leur participation. Evidemment il y avait un prix à ces stands, mais si nous revenions chaque année, c’est qu’obligatoirement cela en valait la peine…
Tous les amateurs de belle et haute horlogerie connaissent Maximilian Büsser. Il est bien évidemment le fondateur (en 2005) de la marque de montres d’avant-garde MB&F (Maximilian Büsser and friends), mais avant cela, il a été le patron d’Harry Winston Rare TimesPieces (on lui doit les fameuses collabs du joaillier avec les meilleurs horlogers contemporains) et avant cela encore, il était chez Jaeger-LeCoultre. Tout comme Vianney Halter, Max Büsser vit à Dubai, endroit de résidence idéale à mi-chemin entre la Suisse et l’Asie.