Ambiance 2001, l’Odyssée de l’espace pour Edouard Meylan (en photo ci-dessus) qui a supervisé les essais réalisés sur les composants de différents types afin de déterminer leur comportement dans des situations extrêmes : en l’occurrence, en apesanteur et en hyper-gravité. Un test de marche et d’amplitude a notamment été effectué sur différents échappements, munis d’un double spiral Straumann, d’un spiral paramagnétique et de variantes de spiraux avec courbe terminale Breguet.
D’autres calibres ont également été observés et plusieurs mouvements dont la stabilité a été éprouvée durant le vol équiperont très prochainement une série spéciale H. Moser & Cie. « Les tests que nous avons réalisés s’inscrivent dans le cadre de recherches avancées menées par notre société sœur, Precision Engineering AG », souligne Edouard Meylan.
Et d’ajouter : « notre filiale teste de nouveaux matériaux pour les échappements et les spiraux, ainsi que différents types de courbes, de fréquences ou de lubrification. Nous testons entres autres choses la résistance aux chocs, aux champs magnétiques, à des températures extrêmes, afin de garantir la stabilité de nos composants. Prendre part à ce vol parabolique représente pour nous une chance exceptionnelle. Nous avons pu la saisir car nous sommes indépendants et que nous produisons nous-mêmes nos organes réglants ». A noter qu’Hamilton va également réaliser des essais similaires dans les semaines à venir.
« Les tests et le travail de pionnier que nous avons effectués aujourd’hui, poursuit Edouard Meylan, vont nous permettre d’améliorer la stabilité et la qualité de nos performances chronométriques ainsi que leur isochronisme. Grâce aux résultats obtenus, nous allons poursuivre nos recherches dans certaines directions, avec plusieurs dépôts de brevet à la clé. Les données et l’expérience récupérées pendant cette expérience enrichiront notre processus de développement des organes réglants ».
Réaliser ces tests dans des conditions aussi exceptionnelles a été possible grâce au soutien de Witschi Electronics AG, en amont et également pendant le vol à travers l’aide précieuse de leur ingénieur Johannes Mayr.
Rappelons que Moser commercialise 8 calibres manufacturés et produit 1.200 montres par année. De son côté, sa filiale Precision Engineering fabrique de nombreux composants et mouvements pour de grandes noms de l’horlogerie suisse.
D’autres calibres ont également été observés et plusieurs mouvements dont la stabilité a été éprouvée durant le vol équiperont très prochainement une série spéciale H. Moser & Cie. « Les tests que nous avons réalisés s’inscrivent dans le cadre de recherches avancées menées par notre société sœur, Precision Engineering AG », souligne Edouard Meylan.
Et d’ajouter : « notre filiale teste de nouveaux matériaux pour les échappements et les spiraux, ainsi que différents types de courbes, de fréquences ou de lubrification. Nous testons entres autres choses la résistance aux chocs, aux champs magnétiques, à des températures extrêmes, afin de garantir la stabilité de nos composants. Prendre part à ce vol parabolique représente pour nous une chance exceptionnelle. Nous avons pu la saisir car nous sommes indépendants et que nous produisons nous-mêmes nos organes réglants ». A noter qu’Hamilton va également réaliser des essais similaires dans les semaines à venir.
« Les tests et le travail de pionnier que nous avons effectués aujourd’hui, poursuit Edouard Meylan, vont nous permettre d’améliorer la stabilité et la qualité de nos performances chronométriques ainsi que leur isochronisme. Grâce aux résultats obtenus, nous allons poursuivre nos recherches dans certaines directions, avec plusieurs dépôts de brevet à la clé. Les données et l’expérience récupérées pendant cette expérience enrichiront notre processus de développement des organes réglants ».
Réaliser ces tests dans des conditions aussi exceptionnelles a été possible grâce au soutien de Witschi Electronics AG, en amont et également pendant le vol à travers l’aide précieuse de leur ingénieur Johannes Mayr.
Rappelons que Moser commercialise 8 calibres manufacturés et produit 1.200 montres par année. De son côté, sa filiale Precision Engineering fabrique de nombreux composants et mouvements pour de grandes noms de l’horlogerie suisse.