Depuis exactement quatre-vingt-dix ans, Omega est l’un des grands noms du chronométrage sportif, cristallisant les rêves des meilleurs athlètes mondiaux, et n’ayant de cesse de perfectionner les technologies dont dépendent les résultats et les podiums. Seuls Seiko (1964) et Junghans (1972) peuvent se targuer d’avoir chronométrer des JO en plus d’Omega.
Pour être précis, en 1932, lors de son premier mandat de Chronométreur Officiel, la maison s’est exécutée avec un seul horloger et 30 chronomètres. Depuis, les choses ont bien changé !
Cette année, dans la capitale chinoise (ainsi que les deux autres villes accueillant les JO, Yanqing et Zhangkiakou), l’opération est d’envergure : ce sont 300 chronométreurs qui feront le déplacement, accompagnés de quelque 200 tonnes d’équipement, démontrant, s’il était encore besoin, à quel point ce rôle déterminant s’est développé, repoussant sans cesse les limites de l’excellence et de la précision.
A Pékin (la seule ville au monde à avoir accueilli deux fois des Jeux Olympiques différents, hiver et été), Omega n’en sera pas à son coup d’essai. La maison connaît déjà la capitale et son stade « Nid d’oiseau » (qui servira pour la cérémonie d’ouverture) pour y avoir déjà exercé la fonction de Chronométreur Officiel à l’été 2008.
Pour être précis, en 1932, lors de son premier mandat de Chronométreur Officiel, la maison s’est exécutée avec un seul horloger et 30 chronomètres. Depuis, les choses ont bien changé !
Cette année, dans la capitale chinoise (ainsi que les deux autres villes accueillant les JO, Yanqing et Zhangkiakou), l’opération est d’envergure : ce sont 300 chronométreurs qui feront le déplacement, accompagnés de quelque 200 tonnes d’équipement, démontrant, s’il était encore besoin, à quel point ce rôle déterminant s’est développé, repoussant sans cesse les limites de l’excellence et de la précision.
A Pékin (la seule ville au monde à avoir accueilli deux fois des Jeux Olympiques différents, hiver et été), Omega n’en sera pas à son coup d’essai. La maison connaît déjà la capitale et son stade « Nid d’oiseau » (qui servira pour la cérémonie d’ouverture) pour y avoir déjà exercé la fonction de Chronométreur Officiel à l’été 2008.
Patinage artistique — Analyse des sauts
Les systèmes de capteurs de mouvements et de positionnements ont déjà révolutionné l’analyse de nombre de disciplines sportives. Aujourd’hui, c’est le patinage artistique qui bénéficie de l’ingéniosité de l’Horloger biennois.
En effet, la technologie est déclinée pour analyser les chorégraphies des patineurs sous toutes leurs coutures. Six caméras seront positionnées autour de la glace et, durant les performances, elles pourront indiquer, en direct, toute une série de données, notamment la hauteur et la longueur d’un saut ou encore le temps que le patineur passe dans les airs.
La technologie Omega offre un tout nouveau prisme, des plus fascinants, pour apprécier le patinage artistique. Détailler et analyser les enchaînements, les pirouettes et les tracés des patineurs permet d’appréhender leurs programmes en détail. Le système permet également de comparer les athlètes et de comprendre qui domine la compétition.
Patinage de vitesse — Détection des faux départs
A Pékin, Omega redéfinit l’analyse des faux départs. Jusqu’à présent, dans les compétitions de patinage de vitesse, la détection des faux départs incombait encore aux juges.
A l’œil nu, ils avaient la responsabilité de détecter le moindre mouvement des athlètes ou activation de leurs lames avant le début de la course. Mais difficile de rivaliser avec la technologie…
Aux Olympiades de Pékin, l’horloger utilisera son système de suivi d’image pour détecter tous faux départs, offrant ainsi une plus grande fiabilité dans ce moment où tout se joue.
Avec une caméra placée dans chaque couloir ; le système sera contrôlé visuellement par des officiels, qui indiqueront immédiatement au juge la détection d’un éventuel faux départ.
Hockey sur glace — Affichage en cours de match
Omega révolutionne aussi l’analyse du hockey sur glace. De fait, la maison a mis au point un nouvel affichage en cours de jeu, grâce à des LED intégrées dans le plexiglas autour de la patinoire.
L’horloge transparente unilatérale indiquera, au milieu de la patinoire entre les deux bancs de pénalité, le temps de jeu ainsi que les temps de pénalité. Cet affichage sera très utile pour les joueurs qui ont désormais accès à ces informations cruciales à tout moment durant la partie.
Les systèmes de capteurs de mouvements et de positionnements ont déjà révolutionné l’analyse de nombre de disciplines sportives. Aujourd’hui, c’est le patinage artistique qui bénéficie de l’ingéniosité de l’Horloger biennois.
En effet, la technologie est déclinée pour analyser les chorégraphies des patineurs sous toutes leurs coutures. Six caméras seront positionnées autour de la glace et, durant les performances, elles pourront indiquer, en direct, toute une série de données, notamment la hauteur et la longueur d’un saut ou encore le temps que le patineur passe dans les airs.
La technologie Omega offre un tout nouveau prisme, des plus fascinants, pour apprécier le patinage artistique. Détailler et analyser les enchaînements, les pirouettes et les tracés des patineurs permet d’appréhender leurs programmes en détail. Le système permet également de comparer les athlètes et de comprendre qui domine la compétition.
Patinage de vitesse — Détection des faux départs
A Pékin, Omega redéfinit l’analyse des faux départs. Jusqu’à présent, dans les compétitions de patinage de vitesse, la détection des faux départs incombait encore aux juges.
A l’œil nu, ils avaient la responsabilité de détecter le moindre mouvement des athlètes ou activation de leurs lames avant le début de la course. Mais difficile de rivaliser avec la technologie…
Aux Olympiades de Pékin, l’horloger utilisera son système de suivi d’image pour détecter tous faux départs, offrant ainsi une plus grande fiabilité dans ce moment où tout se joue.
Avec une caméra placée dans chaque couloir ; le système sera contrôlé visuellement par des officiels, qui indiqueront immédiatement au juge la détection d’un éventuel faux départ.
Hockey sur glace — Affichage en cours de match
Omega révolutionne aussi l’analyse du hockey sur glace. De fait, la maison a mis au point un nouvel affichage en cours de jeu, grâce à des LED intégrées dans le plexiglas autour de la patinoire.
L’horloge transparente unilatérale indiquera, au milieu de la patinoire entre les deux bancs de pénalité, le temps de jeu ainsi que les temps de pénalité. Cet affichage sera très utile pour les joueurs qui ont désormais accès à ces informations cruciales à tout moment durant la partie.
La magie du monobob
Pour Omega, le monobob est bien plus qu’un sport. La maison a eu un coup de cœur pour cette déclinaison en solo du bobsleigh en 2011, et s’est investie dans cette discipline riche en adrénaline depuis. La marque s’est non seulement engagée dans l’innovation, le développement et la croissance du monobob, mais elle était également présente il y a dix ans, à Saint-Moritz, lorsque ce sport a été présenté pour la première fois lors de l’emblématique Olympia Bob Run.
Cette année à Pékin, Omega célébrera l’entrée du monobob dans la liste des épreuves officielles des Jeux Olympiques d’hiver. Le bolide est maintenant prêt pour la plus grande scène de toutes, après plus de dix ans de compétitions internationales de haut niveau, dont les Jeux Olympiques de la jeunesse en 2016 et en 2020, ainsi que les Omega Youth Monob & Skeleton Series.
On le surnomme volontiers la « Formule 1 » des sports d’hiver -à juste titre. Le monobob revisite une épreuve classique et lui insuffle un dynamisme grisant. Les descentes mettent en scène d’élégants bobs monoplaces poussés, dirigés et freinés par un seul et unique athlète.
Ici, c’est l’habileté du pilote qui fait la différence. Plus besoin de réunir une équipe complète pour s’entraîner, l’athlète gère seul son bolide ; la discipline est alors plus accessible à ceux qui souhaitent s’y dédier pleinement. Avec ses 2,30 mètres de long, le monobob est également très léger, puisqu’il ne pèse qu’environ 130 kilogrammes, et peut donc atteindre une vitesse de 120 km/heure et exercer une force gravitationnelle de 3 à 4 G.
Pour la nouvelle génération d’athlètes, cette entrée dans la cour olympique marque l’occasion d’établir les temps et les records de la discipline. À Pékin en 2022, ce sport sera disputé exclusivement par des femmes ; Omega mettra son expertise et sa technologie à disposition pour chronométrer ces championnes.
Dans les équipements requis l’on compte certaines des technologies utilisées pour le bobsleigh traditionnel, notamment des capteurs placés à l’intérieur de chaque monobloc, capables de mesurer divers facteurs tels que la force G, les angles, la trajectoire et les accélérations.
En outre, grâce à des antennes placées le long de la piste, l’horloger sera en mesure de transmettre en direct les vitesses et les pointes de vitesses des monobobs, permettant ainsi aux téléspectateurs de voir, de chez eux, là où un concurrent a gagné ou perdu du temps.
Pour Omega, le monobob est bien plus qu’un sport. La maison a eu un coup de cœur pour cette déclinaison en solo du bobsleigh en 2011, et s’est investie dans cette discipline riche en adrénaline depuis. La marque s’est non seulement engagée dans l’innovation, le développement et la croissance du monobob, mais elle était également présente il y a dix ans, à Saint-Moritz, lorsque ce sport a été présenté pour la première fois lors de l’emblématique Olympia Bob Run.
Cette année à Pékin, Omega célébrera l’entrée du monobob dans la liste des épreuves officielles des Jeux Olympiques d’hiver. Le bolide est maintenant prêt pour la plus grande scène de toutes, après plus de dix ans de compétitions internationales de haut niveau, dont les Jeux Olympiques de la jeunesse en 2016 et en 2020, ainsi que les Omega Youth Monob & Skeleton Series.
On le surnomme volontiers la « Formule 1 » des sports d’hiver -à juste titre. Le monobob revisite une épreuve classique et lui insuffle un dynamisme grisant. Les descentes mettent en scène d’élégants bobs monoplaces poussés, dirigés et freinés par un seul et unique athlète.
Ici, c’est l’habileté du pilote qui fait la différence. Plus besoin de réunir une équipe complète pour s’entraîner, l’athlète gère seul son bolide ; la discipline est alors plus accessible à ceux qui souhaitent s’y dédier pleinement. Avec ses 2,30 mètres de long, le monobob est également très léger, puisqu’il ne pèse qu’environ 130 kilogrammes, et peut donc atteindre une vitesse de 120 km/heure et exercer une force gravitationnelle de 3 à 4 G.
Pour la nouvelle génération d’athlètes, cette entrée dans la cour olympique marque l’occasion d’établir les temps et les records de la discipline. À Pékin en 2022, ce sport sera disputé exclusivement par des femmes ; Omega mettra son expertise et sa technologie à disposition pour chronométrer ces championnes.
Dans les équipements requis l’on compte certaines des technologies utilisées pour le bobsleigh traditionnel, notamment des capteurs placés à l’intérieur de chaque monobloc, capables de mesurer divers facteurs tels que la force G, les angles, la trajectoire et les accélérations.
En outre, grâce à des antennes placées le long de la piste, l’horloger sera en mesure de transmettre en direct les vitesses et les pointes de vitesses des monobobs, permettant ainsi aux téléspectateurs de voir, de chez eux, là où un concurrent a gagné ou perdu du temps.