Alors que la maison Bucherer à Paris présente actuellement les nouveautés Parmigiani Fleurier de l’année 2018, c’est le moment idéal de revenir sur les nouvelles Kalpa présentées à l’occasion du SIHH 2018.
La Kalpa a été lancée à l’origine en 2001 -sachant que PF a été créée en 1996. Cette une montre de forme tonneau qui n’a jamais fait l’unanimité. Soit on aime, soit on déteste, mais ce qui est sûr, c’est que ce garde-temps ne laisse pas indifférent… Et le fait est qu’elle ne ressemble à aucune autre pièce sur le marché…
Ce qui la caractérise, c’est bien évidemment son boitier de forme tonneau avec ses cornes « gouttes » et ses aiguilles delta. Soit on adhère à ces signes identitaires, soit on a du mal à s’y faire… A l’intérieur, cette montre accueillait à l’origine le premier mouvement tonneau créé par son fondateur Michel Parmigiani en 1998, il y a vingt ans.
L’histoire de la Kalpa remonte donc aux débuts de la manufacture, lorsque Michel Parmigiani, maître-horloger et restaurateur, conçoit le premier mouvement pour montre-bracelet « maison », le calibre PF110. Outre sa forme tonneau distinctive et un indicateur de réserve de marche, ce calibre à remontage manuel bénéficiait d’une autonomie de huit jours et d’une grande régularité de marche grâce à son double barillet. Une rareté pour l’époque.
La Kalpa a été lancée à l’origine en 2001 -sachant que PF a été créée en 1996. Cette une montre de forme tonneau qui n’a jamais fait l’unanimité. Soit on aime, soit on déteste, mais ce qui est sûr, c’est que ce garde-temps ne laisse pas indifférent… Et le fait est qu’elle ne ressemble à aucune autre pièce sur le marché…
Ce qui la caractérise, c’est bien évidemment son boitier de forme tonneau avec ses cornes « gouttes » et ses aiguilles delta. Soit on adhère à ces signes identitaires, soit on a du mal à s’y faire… A l’intérieur, cette montre accueillait à l’origine le premier mouvement tonneau créé par son fondateur Michel Parmigiani en 1998, il y a vingt ans.
L’histoire de la Kalpa remonte donc aux débuts de la manufacture, lorsque Michel Parmigiani, maître-horloger et restaurateur, conçoit le premier mouvement pour montre-bracelet « maison », le calibre PF110. Outre sa forme tonneau distinctive et un indicateur de réserve de marche, ce calibre à remontage manuel bénéficiait d’une autonomie de huit jours et d’une grande régularité de marche grâce à son double barillet. Une rareté pour l’époque.
Le design de la montre suit alors celui du mouvement… La Kalpa sera tonneau. Pour la concevoir, Michel Parmigiani est parti d’une calotte sphérique et s’est occupé en premier lieu du profil de la montre et de l’intégration des cornes, afin de créer un tout ergonomiquement idéal. Ainsi sont nées les fameuses cornes en forme de goutte, elles-mêmes issues d’une spirale logarithmique du nombre d’or.
« L’inspiration provient de la nature, de ses proportionnalités et des courbes naturelles qui créent l’ingrédient de créativité » aime préciser Michel Parmigiani. En ce sens, la Kalpa porte bien son nom, puisque le mot désigne à la fois l'ordre cosmique, le rite et l'art, par lesquels l’homme atteint l'harmonie avec l'énergie universelle. Tout un programme.
Avec les années, les versions se sont bien évidemment multipliées, la Kalpa accueillant diverses complications au fil du temps. Le modèle revient donc cette année en trois nouvelles références, dont cette Kalpa Hebdomadaire.
Le troisième modèle masculin révélé lors du SIHH est une création en forme d’hommage à l’histoire de la Kalpa et au premier mouvement de forme tonneau de la maison. Le calibre PF110 à remontage manuel se caractérise par son impressionnante réserve de marche de huit jours, grâce à deux barillets montés en série.
« L’inspiration provient de la nature, de ses proportionnalités et des courbes naturelles qui créent l’ingrédient de créativité » aime préciser Michel Parmigiani. En ce sens, la Kalpa porte bien son nom, puisque le mot désigne à la fois l'ordre cosmique, le rite et l'art, par lesquels l’homme atteint l'harmonie avec l'énergie universelle. Tout un programme.
Avec les années, les versions se sont bien évidemment multipliées, la Kalpa accueillant diverses complications au fil du temps. Le modèle revient donc cette année en trois nouvelles références, dont cette Kalpa Hebdomadaire.
Le troisième modèle masculin révélé lors du SIHH est une création en forme d’hommage à l’histoire de la Kalpa et au premier mouvement de forme tonneau de la maison. Le calibre PF110 à remontage manuel se caractérise par son impressionnante réserve de marche de huit jours, grâce à deux barillets montés en série.
Ce mouvement de haute horlogerie particulièrement symbolique pour la marque (il existe depuis 1998) propose les fonctions heures, minutes, petite seconde à 6h, date et indicateur hebdomadaire de réserve de marche. À l’image de la nouvelle génération Kalpa, il dévoile les décorations raffinées de son mécanisme – Côtes de Genève, ponts anglés et perlage – à travers un fond en saphir dont la large ouverture tonneau permet d’apprécier son intégration parfaite au boîtier.
Oscillant à la fréquence de 21’600 alternances/heure (3 Hz), ce « moteur » de forme emblématique vient se loger dans un boîtier façonné dans l’or rose entièrement poli à la main. Le cadran noir intense s’articule quant à lui sur plusieurs niveaux, avec une finition opaline au centre, sur le compteur de petite seconde et sur l’échelle de réserve de marche et un décor « tresse » guilloché à la main sur le réhaut.
Également identitaires, les aiguilles delta luminescentes sont accompagnées d’index facettés appliqués à la main et recouverts de matière luminescente ainsi qu’une minuterie centrale en chemin de fer, tandis que la date instantanée à 12h arbore le fameux chiffre 1 rouge vif.
Étanche à 30 mètres, la nouvelle Kalpa Hebdomadaire (42.3 x 32.1 mm) se noue au poignet par un bracelet en alligator noir Hermès à boucle déployante en or rose.
Oscillant à la fréquence de 21’600 alternances/heure (3 Hz), ce « moteur » de forme emblématique vient se loger dans un boîtier façonné dans l’or rose entièrement poli à la main. Le cadran noir intense s’articule quant à lui sur plusieurs niveaux, avec une finition opaline au centre, sur le compteur de petite seconde et sur l’échelle de réserve de marche et un décor « tresse » guilloché à la main sur le réhaut.
Également identitaires, les aiguilles delta luminescentes sont accompagnées d’index facettés appliqués à la main et recouverts de matière luminescente ainsi qu’une minuterie centrale en chemin de fer, tandis que la date instantanée à 12h arbore le fameux chiffre 1 rouge vif.
Étanche à 30 mètres, la nouvelle Kalpa Hebdomadaire (42.3 x 32.1 mm) se noue au poignet par un bracelet en alligator noir Hermès à boucle déployante en or rose.
