Début novembre 2025, on découvrait la Toccata Heritage de Raymond Weil. Une montre de forme au boitier en acier elliptique particulièrement chic et élégante. Une réussite esthétique pour un prix contenu.
Aujourd’hui, la marque horlogère indépendante encore en mains familiales, dévoile une édition spéciale et limitée imaginée par l’incontournable Romaric André, le fondateur du label seconde/seconde/ qui s’ingénie à intégrer une pointe d’humour -toujours bien senti- dans ses collaborations.
On se souvient du jeu d’enfant « Jacques à dit ». Ici, c’est Raymond qui veille. Sous la forme d’un jeu raffiné, le designer français s’amuse des règles établies, les détourne avec légèreté et redonne un souffle contemporain à un classique du vestiaire masculin.
Aujourd’hui, la marque horlogère indépendante encore en mains familiales, dévoile une édition spéciale et limitée imaginée par l’incontournable Romaric André, le fondateur du label seconde/seconde/ qui s’ingénie à intégrer une pointe d’humour -toujours bien senti- dans ses collaborations.
On se souvient du jeu d’enfant « Jacques à dit ». Ici, c’est Raymond qui veille. Sous la forme d’un jeu raffiné, le designer français s’amuse des règles établies, les détourne avec légèreté et redonne un souffle contemporain à un classique du vestiaire masculin.
La Toccata Heritage x seconde/seconde/, se présente comme « un manifeste d’élégance et d’humour ».
Comment porter la manche d’une chemise pour révéler au mieux la montre ? Comme dans un jeu de « Jacques a dit », où chaque geste n’a de sens que s’il est précédé du mot magique, « Raymond a dit » devient ici une invitation à suivre ou, à détourner, les règles du bon goût.
« Les dress-codes, les règles d’élégance, sont des conventions qui gagnent à être connues et respectées, mais aussi, avec lesquelles on ne doit jamais oublier de jouer » souligne Romaric André, Fondateur et designer de seconde/seconde/.
Comment porter la manche d’une chemise pour révéler au mieux la montre ? Comme dans un jeu de « Jacques a dit », où chaque geste n’a de sens que s’il est précédé du mot magique, « Raymond a dit » devient ici une invitation à suivre ou, à détourner, les règles du bon goût.
« Les dress-codes, les règles d’élégance, sont des conventions qui gagnent à être connues et respectées, mais aussi, avec lesquelles on ne doit jamais oublier de jouer » souligne Romaric André, Fondateur et designer de seconde/seconde/.
Et de poursuivre : « il me fallait donc un concentré de cette élégance classique, une pure « dress-watch » comme La Toccata, pour point de départ. Sorte de matière première indispensable pour mener à bien mon projet visant à taquiner le « respect de l'étiquette» ».
Cette référence 2280 en édition limitée, joue la dualité : celle des deux visages de l’élégance et de la rigueur. Son boîtier en acier abrite un cadran gris anthracite caractérisé de deux designs distincts.
La partie gauche, plus fantomatique, dissimule certains détails pour mieux refléter le concept : porter sa chemise au minimum à mi-cadran. La finition opalin anthracite mate et les décalques transparentes brillantes de ses index, conservent néanmoins une parfaite lisibilité.
Cette référence 2280 en édition limitée, joue la dualité : celle des deux visages de l’élégance et de la rigueur. Son boîtier en acier abrite un cadran gris anthracite caractérisé de deux designs distincts.
La partie gauche, plus fantomatique, dissimule certains détails pour mieux refléter le concept : porter sa chemise au minimum à mi-cadran. La finition opalin anthracite mate et les décalques transparentes brillantes de ses index, conservent néanmoins une parfaite lisibilité.
Situé à 9h, le texte jaune Pantone 7402C (comme les mètre-rubans des tailleurs) affirme les règles du jeu, ou plutôt le code: « Dress shirt cuff should cover at least half of the watch ». Autrement dit : Raymond a dit qu’une montre habillée ne se montre qu’à moitié.
Sous cette directive taquine, d’autres repères apparaissent, eux décalqués sur la glace saphir : biz casual, semi-formal ou, formal. Une échelle « sartoriale » ironique en quelque sorte.
La partie droite, lumineuse, révèle des reflets soleillés anthracite et des appliques polies de la minuterie. Petit twist typographique, le swiss-made à 3h est orienté verticalement, comme chaque texte visible sur le cadran.
Sous cette directive taquine, d’autres repères apparaissent, eux décalqués sur la glace saphir : biz casual, semi-formal ou, formal. Une échelle « sartoriale » ironique en quelque sorte.
La partie droite, lumineuse, révèle des reflets soleillés anthracite et des appliques polies de la minuterie. Petit twist typographique, le swiss-made à 3h est orienté verticalement, comme chaque texte visible sur le cadran.
Et au dos de cette création ? Une leçon d’étiquette. Avec un fond quasi entièrement fermé, est gravée la touche finale de Romaric André : « Never wind your watch while wearing it. Take it off first, then wind it in a dramatic fashion (ideally in the middle of a conversation) ».
Ou, selon Raymond : « Ne jamais remontrer votre montre en la portant. Enlevez-la d’abord, puis remontez-la de manière théâtrale (idéalement au milieu d’une conversation) » .
Derrière le seul rouage visible, la roue de colonne baignée de reflets soleillés et d’une vis bleuie sous sa glace saphir, est un hommage discret au geste artisanal que les amateurs chérissent tant, si ce n’est de remonter leur montre.
Cette référence 2280 embarque un mouvement mécanique à remontage manuel (45h de réserve de marche), logé dans un boîtier ovale plat de 37,7 × 32.5 mm pour une épaisseur de 6,95 mm (étanche à 30 mètres). Les aiguilles HM sont de type « dauphine » donc très horlogères.
Les cornes raccourcies et polies, la couronne modernisée et le bracelet en cuir de veau impression « croco » complètent la silhouette de cette nouvelle création décalée de Romaric André.
Ou, selon Raymond : « Ne jamais remontrer votre montre en la portant. Enlevez-la d’abord, puis remontez-la de manière théâtrale (idéalement au milieu d’une conversation) » .
Derrière le seul rouage visible, la roue de colonne baignée de reflets soleillés et d’une vis bleuie sous sa glace saphir, est un hommage discret au geste artisanal que les amateurs chérissent tant, si ce n’est de remonter leur montre.
Cette référence 2280 embarque un mouvement mécanique à remontage manuel (45h de réserve de marche), logé dans un boîtier ovale plat de 37,7 × 32.5 mm pour une épaisseur de 6,95 mm (étanche à 30 mètres). Les aiguilles HM sont de type « dauphine » donc très horlogères.
Les cornes raccourcies et polies, la couronne modernisée et le bracelet en cuir de veau impression « croco » complètent la silhouette de cette nouvelle création décalée de Romaric André.
