« Nous avons récemment découvert plusieurs contrefaçons Richard Mille sur un site web japonais et avons immédiatement alerté notre cabinet d’avocat, en Suisse. Il est, comme vous le savez, extrêmement difficile de tracer les entreprises qui s’adonnent à la contrefaçon car elles utilisent de nombreuses autres raisons sociales » indique le communiqué.
Et de préciser : « cependant, cette fois, notre cabinet d’avocat est parvenu à remonter la trace du fabricant. Nous avons obtenu, de la part de ce dernier, un document écrit dans lequel il s’engage à cesser la production, la publicité et la commercialisation de la montre en question (une imitation de la RM 007) et à détruire les pièces encore en stock ».
« C’est certes une petite victoire mais c’est une victoire quand même qui nous donne plus que jamais l’envie de continuer à poursuivre activement toute activité de contrefaçons Richard Mille » conclut la marque.
Et de préciser : « cependant, cette fois, notre cabinet d’avocat est parvenu à remonter la trace du fabricant. Nous avons obtenu, de la part de ce dernier, un document écrit dans lequel il s’engage à cesser la production, la publicité et la commercialisation de la montre en question (une imitation de la RM 007) et à détruire les pièces encore en stock ».
« C’est certes une petite victoire mais c’est une victoire quand même qui nous donne plus que jamais l’envie de continuer à poursuivre activement toute activité de contrefaçons Richard Mille » conclut la marque.
