Ce nouveau concept de Yachtingraff (avec deux « F ») a été imaginé par le designer français Romaric André, fondateur de seconde/seconde.
On le sait, ce dernier bouscule depuis quelques années déjà, le monde feutré de l’horlogerie avec ses différentes collaborations dotées de fortes doses d’humour et de décalage.
De Moser à Vulcain en passant par Charles Simon ou encore Louis Erard ou plus récemment Frédérique Constant et Perrelet. Et bien d’autres !
La Yachtingraf de Yema a célébré l’an dernier ses 56 ans. Née en 1968, elle est issue des collections de la marque des années 70, qui proposait alors de montres de qualité, sportives et françaises, à une génération (les baby-boomers) de consommateurs en recherche de produits innovants.
On le sait, ce dernier bouscule depuis quelques années déjà, le monde feutré de l’horlogerie avec ses différentes collaborations dotées de fortes doses d’humour et de décalage.
De Moser à Vulcain en passant par Charles Simon ou encore Louis Erard ou plus récemment Frédérique Constant et Perrelet. Et bien d’autres !
La Yachtingraf de Yema a célébré l’an dernier ses 56 ans. Née en 1968, elle est issue des collections de la marque des années 70, qui proposait alors de montres de qualité, sportives et françaises, à une génération (les baby-boomers) de consommateurs en recherche de produits innovants.
Cette montre était spécialement destinée au monde de la voile, un secteur en plein essor à l’époque. La génération « loisir » était en marche.
Plus concrètement, cet imposant chronographe automatique (mouvement Valjoux), étanche à 200 mètres, indiquait le temps de régate avec son design très seventies. Il fut relancé par Yema en 2018 pour célébrer la route du Rhum.
Cette montre spécialement conçue pour les amateurs de plaisance maritimes et les régates est revenue l’an dernier avec un calibre méca-quartz de chez Seiko ; c’est ce modèle qui est ici réinterprété de manière facétieuse par Romaric André de seconde/seconde.
Le cadran semble avoir été pris pour cible par un « street artist » peu scrupuleux, des poussoirs aux allures de bombes de peintures ! Regardez les sous-compteurs peints à la bombe, les contrastes de couleurs anarchiques et le logo délibérément vandalisé. C’est de l’héritage... profané, mais avec style.
Plus concrètement, cet imposant chronographe automatique (mouvement Valjoux), étanche à 200 mètres, indiquait le temps de régate avec son design très seventies. Il fut relancé par Yema en 2018 pour célébrer la route du Rhum.
Cette montre spécialement conçue pour les amateurs de plaisance maritimes et les régates est revenue l’an dernier avec un calibre méca-quartz de chez Seiko ; c’est ce modèle qui est ici réinterprété de manière facétieuse par Romaric André de seconde/seconde.
Le cadran semble avoir été pris pour cible par un « street artist » peu scrupuleux, des poussoirs aux allures de bombes de peintures ! Regardez les sous-compteurs peints à la bombe, les contrastes de couleurs anarchiques et le logo délibérément vandalisé. C’est de l’héritage... profané, mais avec style.
Le compte à rebours « big-eye » de régate (caractéristique de ce modèle) est toujours là mais il ne respecte plus vraiment les codes établis. Que vous lanciez une course nautique ou que vous surveilliez simplement votre pop-corn au micro-ondes, ces cinq minutes de pure énergie graphique ne passent pas inaperçues et on ne l’aurait pas souhaité autrement.
Clin d’œil de seconde/seconde, les poussoirs insufflent une vraie attitude “aérosol” à votre poignet. Lancez le chrono... et imaginez taguer le temps lui-même. Bonus : vous ne vous en mettrez pas plein les doigts.
Le bracelet Tropic en caoutchouc reste fidèle à la souplesse de sa texture pour un confort optimal dans toutes les situations.
Pour le reste, on retrouve les caractéristiques de cette pièce : un boîtier de 38,5 mm en acier 316L étanche à 100 mètres. En absence de lunette externe, il propose une belle ouverture de cadran assurant une parfaite lisibilité.
Les cornes « tournées » aussi dites « anses lyres facettées » furet inventées par le célèbre designer Gerald Genta (encore lui), avec des finitions polies-brossées qui assurent un jeu de différentes textures qui apportent du relief et de la personnalité à ce modèle.
Les fonctions de mesure du temps de ce mouvement hybride Seiko VK63, sont actionnées par un calibre quartz alors que la fonction de chronométrage est contrôlée par un module mécanique qui permet à la trotteuse d’avoir un mouvement continu pour une meilleure sensation de netteté.
La montre a été dévoilée le 20 juin 2025 avec un lancement officiel prévu ce mercredi 25 juin 2025 à 16h00 (CET) en précommande, avec livraisons prévues à partir de début septembre 2025.
Clin d’œil de seconde/seconde, les poussoirs insufflent une vraie attitude “aérosol” à votre poignet. Lancez le chrono... et imaginez taguer le temps lui-même. Bonus : vous ne vous en mettrez pas plein les doigts.
Le bracelet Tropic en caoutchouc reste fidèle à la souplesse de sa texture pour un confort optimal dans toutes les situations.
Pour le reste, on retrouve les caractéristiques de cette pièce : un boîtier de 38,5 mm en acier 316L étanche à 100 mètres. En absence de lunette externe, il propose une belle ouverture de cadran assurant une parfaite lisibilité.
Les cornes « tournées » aussi dites « anses lyres facettées » furet inventées par le célèbre designer Gerald Genta (encore lui), avec des finitions polies-brossées qui assurent un jeu de différentes textures qui apportent du relief et de la personnalité à ce modèle.
Les fonctions de mesure du temps de ce mouvement hybride Seiko VK63, sont actionnées par un calibre quartz alors que la fonction de chronométrage est contrôlée par un module mécanique qui permet à la trotteuse d’avoir un mouvement continu pour une meilleure sensation de netteté.
La montre a été dévoilée le 20 juin 2025 avec un lancement officiel prévu ce mercredi 25 juin 2025 à 16h00 (CET) en précommande, avec livraisons prévues à partir de début septembre 2025.
