En tout, 40 mouvements Sellita, 40 concurrents et 1 heure maximum pour être le plus précis possible selon une mesure acoustique, le tictac restant notre moyen le plus intuitif d’apprécier le temps qui passe.
Puis les 40 mouvements sont partis dans les laboratoires du COSC pour y passer la batterie de tests usuels : 5 positions, 3 températures et la précision mesurée grâce à une caméra optique, comme pour toute pièce cliente.
De nombreux patrons d’horlogerie, des journalistes, des influenceurs, des collectionneurs, mais aussi des horlogers se sont prêtés au jeu, parfois avec un esprit de compétition digne d’une épreuve olympique.
Ils étaient coachés par les élèves de l’Ecole d’Horlogerie de Genève, qui n’ont pas lésiné pour les familiariser avec les arcanes du réglage.
Voici le classement final :
1. Yannick Nardin, Journaliste, Rédactrice en chef, Worldtempus
2. Amandine Perret-du-Crêt, Influenceuse @watch_it_with_amandine
3. Patrick Pruniaux, Co-founder, Chairman et CEO de Sowind Group
4. Maxime Chavanne, Horloger Bulgari
5. Florent Perrichon, CEO, Laurent Ferrier
6. Andrea Casalegno, Influenceur
7. Samuel Nicod, Horloger, Ulysse Nardin
8. Ernesto Quant, Collector
9. Emmanuel Schneider, Content Director, FHH
10. Clément Meynier, CEO, Depancel & Amida
A noter que le célèbre écrivain français Sylvain Tesson, qui a trouvé une nouvelle aventure dans ce challenge, -cette fois vers l’infiniment petit- est classé 14ème, et fait donc partie des concurrents « certifiés COSC ».
Quelques enseignements :
• La précision est un graal qui exige patience et rigueur. Elle est gage de qualité.
• La marche instantanée mesurée sur place diffère largement de la marche moyenne diurne mesurée au COSC, sur une quinzaine de jours et dans 5 positions. Ce qui prouve la plus-value apportée par le label.
• La saga de ces 40 mouvements a permis d’ouvrir les laboratoires de certification au grand public, via les réseaux sociaux. On ainsi pu découvrir la rigueur des tests, le professionnalisme des opérateurs, la technicité requise et la neutralité revendiquée par le sceau « certifié chronomètre ».
• L’intervalle toléré par le COSC (-4 / +6 secondes) est certes exigeant, mais pas inatteignable. La preuve ? 32 concurrents ont obtenu la certification, guidés par les élèves de l’Ecole d’Horlogerie.
La voie est-elle ouverte vers un référentiel encore plus rigoureux que la norme ISO 3159 ?
Puis les 40 mouvements sont partis dans les laboratoires du COSC pour y passer la batterie de tests usuels : 5 positions, 3 températures et la précision mesurée grâce à une caméra optique, comme pour toute pièce cliente.
De nombreux patrons d’horlogerie, des journalistes, des influenceurs, des collectionneurs, mais aussi des horlogers se sont prêtés au jeu, parfois avec un esprit de compétition digne d’une épreuve olympique.
Ils étaient coachés par les élèves de l’Ecole d’Horlogerie de Genève, qui n’ont pas lésiné pour les familiariser avec les arcanes du réglage.
Voici le classement final :
1. Yannick Nardin, Journaliste, Rédactrice en chef, Worldtempus
2. Amandine Perret-du-Crêt, Influenceuse @watch_it_with_amandine
3. Patrick Pruniaux, Co-founder, Chairman et CEO de Sowind Group
4. Maxime Chavanne, Horloger Bulgari
5. Florent Perrichon, CEO, Laurent Ferrier
6. Andrea Casalegno, Influenceur
7. Samuel Nicod, Horloger, Ulysse Nardin
8. Ernesto Quant, Collector
9. Emmanuel Schneider, Content Director, FHH
10. Clément Meynier, CEO, Depancel & Amida
A noter que le célèbre écrivain français Sylvain Tesson, qui a trouvé une nouvelle aventure dans ce challenge, -cette fois vers l’infiniment petit- est classé 14ème, et fait donc partie des concurrents « certifiés COSC ».
Quelques enseignements :
• La précision est un graal qui exige patience et rigueur. Elle est gage de qualité.
• La marche instantanée mesurée sur place diffère largement de la marche moyenne diurne mesurée au COSC, sur une quinzaine de jours et dans 5 positions. Ce qui prouve la plus-value apportée par le label.
• La saga de ces 40 mouvements a permis d’ouvrir les laboratoires de certification au grand public, via les réseaux sociaux. On ainsi pu découvrir la rigueur des tests, le professionnalisme des opérateurs, la technicité requise et la neutralité revendiquée par le sceau « certifié chronomètre ».
• L’intervalle toléré par le COSC (-4 / +6 secondes) est certes exigeant, mais pas inatteignable. La preuve ? 32 concurrents ont obtenu la certification, guidés par les élèves de l’Ecole d’Horlogerie.
La voie est-elle ouverte vers un référentiel encore plus rigoureux que la norme ISO 3159 ?