Le nom de Daniel Roth est souvent associé à celui des plus grands maîtres-horlogers indépendants du XXe siècle : George Daniels, François-Paul Journe et Philippe Dufour. Et à juste titre d’ailleurs ! L’homme est, en effet, un contemporain de ces figures majeures de l’horlogerie traditionnelle, avec lesquelles il a parfois collaboré.
Présentée pour la première fois en mars 2023, la montre Daniel Roth Tourbillon Souscription, imaginée, élaborée et conçue par la Fabrique du Temps à Genève voit enfin le jour. En effet, la marque présente à partir d’aujourd’hui à Miami en Floride, le prototype de cette nouveauté qui s’annonce d’ores et déjà comme étant la star de cette semaine floridienne.
Rappelons que le principe des ventes de montres en souscription fut inventé à l’origine par Abraham-Louis Breguet afin de faciliter le financement de ses fabrications… L’ancêtre du financement participatif et de Kickstarter en quelque sorte !
Présentée pour la première fois en mars 2023, la montre Daniel Roth Tourbillon Souscription, imaginée, élaborée et conçue par la Fabrique du Temps à Genève voit enfin le jour. En effet, la marque présente à partir d’aujourd’hui à Miami en Floride, le prototype de cette nouveauté qui s’annonce d’ores et déjà comme étant la star de cette semaine floridienne.
Rappelons que le principe des ventes de montres en souscription fut inventé à l’origine par Abraham-Louis Breguet afin de faciliter le financement de ses fabrications… L’ancêtre du financement participatif et de Kickstarter en quelque sorte !
Bien évidemment, la marque Daniel Roth n’a pas besoin de ce préfinancement vu qu’elle appartient au groupe de luxe français LVMH. Mais le principe est malin puisqu’il rend les premières montres de cette grande relance, encore plus désirables. Encore plus exclusives.
Trente-cinq ans après sa fondation, la marque Daniel Roth signe donc son grand retour, une fois encore avec une montre à tourbillon (l’une des complications de prédilection de cet horloger) en hommage au modèle original de 1988. Un modèle fabriqué au sein de La Fabrique du Temps, « la » manufacture horlogère haut de gamme du groupe LVMH.
Avec une seule nouvelle complication chaque année, Daniel Roth a su développer, au cours de sa carrière, un riche catalogue de garde-temps réunissant des chronographes, des QP et des montres extra-plates. Le maître horloger imaginait tous ses modèles, qu’il dessinait d’abord à l’aquarelle, tel un véritable artiste.
Trente-cinq ans après sa fondation, la marque Daniel Roth signe donc son grand retour, une fois encore avec une montre à tourbillon (l’une des complications de prédilection de cet horloger) en hommage au modèle original de 1988. Un modèle fabriqué au sein de La Fabrique du Temps, « la » manufacture horlogère haut de gamme du groupe LVMH.
Avec une seule nouvelle complication chaque année, Daniel Roth a su développer, au cours de sa carrière, un riche catalogue de garde-temps réunissant des chronographes, des QP et des montres extra-plates. Le maître horloger imaginait tous ses modèles, qu’il dessinait d’abord à l’aquarelle, tel un véritable artiste.
La première édition en souscription de 25 exemplaires destinée au distributeur londonien William Asprey permit de financer les futurs développements nécessaires à la production en série du tourbillon…
Exécutée en or jaune –un métal exclusif à cette édition–, la boîte du Tourbillon Souscription présente naturellement la forme d'une double ellipse chère à la marque. Son unique face à l’avant lui confère une finesse de seulement 9,2 mm, exacerbant l’élégance de cette création.
Si sa forme en double-ellipse reprend les proportions du modèle initial, le boîtier de la nouvelle édition a été enrichi de détails subtils. Toujours minutieusement soudées à la main à la carrure du garde-temps, les cornes ont été quelque peu remodelées en un arc descendant afin d’optimiser l’ergonomie de l’emblématique boîte.
Exécutée en or jaune –un métal exclusif à cette édition–, la boîte du Tourbillon Souscription présente naturellement la forme d'une double ellipse chère à la marque. Son unique face à l’avant lui confère une finesse de seulement 9,2 mm, exacerbant l’élégance de cette création.
Si sa forme en double-ellipse reprend les proportions du modèle initial, le boîtier de la nouvelle édition a été enrichi de détails subtils. Toujours minutieusement soudées à la main à la carrure du garde-temps, les cornes ont été quelque peu remodelées en un arc descendant afin d’optimiser l’ergonomie de l’emblématique boîte.
Le cadran célèbre, lui aussi, l’histoire de la marque. L'actuelle version est réalisée en or jaune massif, guilloché Clous de Paris à l’image de la montre de 1988.
Le cadran a été produit dans les ateliers alpins de Kari Voutilainen (les amateurs apprécieront), l’un des plus grands noms actuels de l’horlogerie indépendante. Si cette pièce conserve les mêmes marqueurs que le cadran original, sa typographie a été retravaillée dans un style plus épuré.
Derrière le cadran, un calibre manufacture DR001 spécialement développé pour le Tourbillon Souscription. Ce mouvement a été entièrement conçu par La Fabrique du Temps, l’atelier de Haute Horlogerie genevois de Louis Vuitton fondé par les maîtres horlogers Michel Navas et Enrico Barbasini, qui superviseront personnellement la création de chaque garde-temps DR.
« Nous avons à cœur de rester fidèles aux origines de la marque et à la conception artisanale de ses premières montres, car Daniel est un ami de longue date », indique Enrico Barbasini. « Nous sommes nombreux à admirer son travail. Daniel est une figure majeure de l’industrie et un véritable pionnier de l’horlogerie indépendante contemporaine. »
Le cadran a été produit dans les ateliers alpins de Kari Voutilainen (les amateurs apprécieront), l’un des plus grands noms actuels de l’horlogerie indépendante. Si cette pièce conserve les mêmes marqueurs que le cadran original, sa typographie a été retravaillée dans un style plus épuré.
Derrière le cadran, un calibre manufacture DR001 spécialement développé pour le Tourbillon Souscription. Ce mouvement a été entièrement conçu par La Fabrique du Temps, l’atelier de Haute Horlogerie genevois de Louis Vuitton fondé par les maîtres horlogers Michel Navas et Enrico Barbasini, qui superviseront personnellement la création de chaque garde-temps DR.
« Nous avons à cœur de rester fidèles aux origines de la marque et à la conception artisanale de ses premières montres, car Daniel est un ami de longue date », indique Enrico Barbasini. « Nous sommes nombreux à admirer son travail. Daniel est une figure majeure de l’industrie et un véritable pionnier de l’horlogerie indépendante contemporaine. »
Ajusté au millimètre près à la boîte du Tourbillon Souscription, le calibre DR001 est un mouvement de forme (là encore, les amateurs apprécieront) aux allures de double ellipse, une prouesse dans un secteur où la circularité des mouvements est souvent la norme.
Cette considération pour les racines artisanales de la marque s’exprime également dans l’habillage du DR001. Le mouvement a, en effet, été entièrement fini main jusqu’aux têtes de vis à fini miroir. Parmi ses multiples ornements, le pont de la roue animant le tourbillon a été façonné en acier poli noir, tandis que le cliquet d’armage présente lui aussi un fini miroir.
Une attention particulière a été accordée, non seulement à l’esthétique du mouvement, mais aussi à sa fonctionnalité. Ainsi, le calibre DR001 à remontage manuel est-il équipé d’une généreuse réserve de marche de 80 heures, soit plus qu’il n’en faut pour un week-end entier (week-end proof comme on dit de nos jours).
Malgré sa construction classique et ses riches ornements, le DR001 joue la carte de la discrétion, habilement dissimulé derrière un fond en or massif frappé d’un numéro unique pour chaque montre, en hommage aux premiers modèles Daniel Roth.
Pièce maîtresse du calibre DR001, le régulateur à tourbillon a été spécialement conçu pour refléter la singularité du mécanisme d’origine. Chaque minute, le tourbillon effectue ainsi une révolution complète lui permettant de marquer les secondes.
Sa cage abrite une trotteuse à trois bras bleuis à chaud qui se lit en tandem avec une gradation des secondes en trois zones sur le cadran – un détail signature des montres à tourbillon DR.
Tout comme dans la version originale de 1988, le tourbillon s'accompagne d’un détail qui ne se dévoile qu'aux seuls yeux du propriétaire. Les bras de la trotteuse évoluant en fonction de chaque zone, le plus long d’entre eux nécessite une minuscule entaille dans la paroi interne de la boîte pour pouvoir se frayer un passage.
Fidèle au raffinement discret de la boîte et du cadran d’origine, le tourbillon se pare de subtils décors : des Côtes de Genève pour les platines latérales et un subtil fini dépoli pour la platine sous le tourbillon.
Affichée à 140 000 francs suisses HT (soit environ 145 000 euros), le Tourbillon Souscription sera exclusivement disponible auprès d’une sélection de distributeurs partenaires. Bien évidemment, ce modèle Tourbillon Souscription n’est que le premier chapitre d'une nouvelle histoire consacrée à la marque d'un horloger mythique. Les vingt pièces commandées seront livrées à leurs futurs propriétaires au cours du premier semestre 2024.
Cette considération pour les racines artisanales de la marque s’exprime également dans l’habillage du DR001. Le mouvement a, en effet, été entièrement fini main jusqu’aux têtes de vis à fini miroir. Parmi ses multiples ornements, le pont de la roue animant le tourbillon a été façonné en acier poli noir, tandis que le cliquet d’armage présente lui aussi un fini miroir.
Une attention particulière a été accordée, non seulement à l’esthétique du mouvement, mais aussi à sa fonctionnalité. Ainsi, le calibre DR001 à remontage manuel est-il équipé d’une généreuse réserve de marche de 80 heures, soit plus qu’il n’en faut pour un week-end entier (week-end proof comme on dit de nos jours).
Malgré sa construction classique et ses riches ornements, le DR001 joue la carte de la discrétion, habilement dissimulé derrière un fond en or massif frappé d’un numéro unique pour chaque montre, en hommage aux premiers modèles Daniel Roth.
Pièce maîtresse du calibre DR001, le régulateur à tourbillon a été spécialement conçu pour refléter la singularité du mécanisme d’origine. Chaque minute, le tourbillon effectue ainsi une révolution complète lui permettant de marquer les secondes.
Sa cage abrite une trotteuse à trois bras bleuis à chaud qui se lit en tandem avec une gradation des secondes en trois zones sur le cadran – un détail signature des montres à tourbillon DR.
Tout comme dans la version originale de 1988, le tourbillon s'accompagne d’un détail qui ne se dévoile qu'aux seuls yeux du propriétaire. Les bras de la trotteuse évoluant en fonction de chaque zone, le plus long d’entre eux nécessite une minuscule entaille dans la paroi interne de la boîte pour pouvoir se frayer un passage.
Fidèle au raffinement discret de la boîte et du cadran d’origine, le tourbillon se pare de subtils décors : des Côtes de Genève pour les platines latérales et un subtil fini dépoli pour la platine sous le tourbillon.
Affichée à 140 000 francs suisses HT (soit environ 145 000 euros), le Tourbillon Souscription sera exclusivement disponible auprès d’une sélection de distributeurs partenaires. Bien évidemment, ce modèle Tourbillon Souscription n’est que le premier chapitre d'une nouvelle histoire consacrée à la marque d'un horloger mythique. Les vingt pièces commandées seront livrées à leurs futurs propriétaires au cours du premier semestre 2024.
