Il existe à Dubaï (EAU) depuis quelques années déjà, un puissant club d’amateurs d’horlogerie constitué de membres très calés et très riches qui possèdent de splendides et rares collections de garde-temps.
Ces hommes sont de vrais amateurs, d’authentiques collectionneurs ; ils connaissent parfaitement l’horlogerie, les marques et les modèles et sont très influents sur les réseaux sociaux, notamment sur Instagram.
C’est d’ailleurs grâce au fondateur du Dubai Watch Club, Adel Rahmani, que Sandra Lane a pu lancer il y a deux mois, le Dubaï Watch Club Girls. En effet, c’est le « patron » du DWC qui a permis à la journaliste néo-zélandaise de rencontrer lors d’un déjeuner, une femme originaire de Dubaï, amatrice de montres.
Entre les deux femmes, le courant est vite passé… Et la jeune dubaïote a immédiatement ouvert son carnet d’adresse. Aujourd’hui, le DWCG est constitué d’une douzaine d’amatrices. Certaines comme Sandra, connaissent très bien l’horlogerie, d’autres, un peu moins bien, mais peu importe ! Elles sont là pour apprendre, pour s’instruire, pour échanger sur leur passion et leurs coups de cœur.
Ces hommes sont de vrais amateurs, d’authentiques collectionneurs ; ils connaissent parfaitement l’horlogerie, les marques et les modèles et sont très influents sur les réseaux sociaux, notamment sur Instagram.
C’est d’ailleurs grâce au fondateur du Dubai Watch Club, Adel Rahmani, que Sandra Lane a pu lancer il y a deux mois, le Dubaï Watch Club Girls. En effet, c’est le « patron » du DWC qui a permis à la journaliste néo-zélandaise de rencontrer lors d’un déjeuner, une femme originaire de Dubaï, amatrice de montres.
Entre les deux femmes, le courant est vite passé… Et la jeune dubaïote a immédiatement ouvert son carnet d’adresse. Aujourd’hui, le DWCG est constitué d’une douzaine d’amatrices. Certaines comme Sandra, connaissent très bien l’horlogerie, d’autres, un peu moins bien, mais peu importe ! Elles sont là pour apprendre, pour s’instruire, pour échanger sur leur passion et leurs coups de cœur.
L’important n’est pas d’être un puit de science horloger. Non, l’important est d’avoir envie de mieux connaitre cet univers et de partager des connaissances, un carnet d’adresses, des réseaux, de faire des photos, d’organiser des déjeuners voire même, pourquoi pas à terme, des voyages en Suisse afin de découvrir les manufactures.
Mais derrière ce beau projet de femmes, il y a une autre dimension, une dimension sociale et culturelle… En effet, Sandra vit à Dubaï depuis une dizaine d’années. Pour autant, même en connaissant bien le pays, ses us et ses coutumes, il n’est pas toujours simple pour elle de faire tomber les barrières entre Européens et Dubaïotes.
En second plan, ce club totalement transgénérationnel sert donc aussi à briser les tabous et à faire que deux cultures puissent -enfin- se rencontrer autour d’une passion commune. Une très belle idée.
Les suivre sur Instagram
Jean-Philippe Tarot
Mais derrière ce beau projet de femmes, il y a une autre dimension, une dimension sociale et culturelle… En effet, Sandra vit à Dubaï depuis une dizaine d’années. Pour autant, même en connaissant bien le pays, ses us et ses coutumes, il n’est pas toujours simple pour elle de faire tomber les barrières entre Européens et Dubaïotes.
En second plan, ce club totalement transgénérationnel sert donc aussi à briser les tabous et à faire que deux cultures puissent -enfin- se rencontrer autour d’une passion commune. Une très belle idée.
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