Il existe de nombreux salons horlogers dans le monde. Si tous exposent des montres, si tous permettent de rencontrer les patrons de grandes marques et si tous proposent des ateliers, en revanche pratiquement aucun n’organise de débats. Et c’est bien dommage. D’un autre côté, c’est aussi pour ça que l’on n’aime tant la Dubai Watch Week !
Pendant les quatre jours que durent la DWW, les visiteurs, les journalistes et les professionnels de l’horlogerie peuvent assister à de nombreuses conférences, à ces rencontres qui permettent de confronter les points de vue, d’échanger des idées et de débattre sur le monde horloger passé, actuel et futur.
Chaque forum est géré par un modérateur, souvent un journaliste horloger, qui durant une heure va animer une discussion entre différents professionnels sur une thématique bien précise. Il peut autant s’agir des nouveaux matériaux employés dans l’industrie que de la constitution d’une collection de montres ou encore, des complications féminines ou de la transmission au sens large du thème.
Pendant les quatre jours que durent la DWW, les visiteurs, les journalistes et les professionnels de l’horlogerie peuvent assister à de nombreuses conférences, à ces rencontres qui permettent de confronter les points de vue, d’échanger des idées et de débattre sur le monde horloger passé, actuel et futur.
Chaque forum est géré par un modérateur, souvent un journaliste horloger, qui durant une heure va animer une discussion entre différents professionnels sur une thématique bien précise. Il peut autant s’agir des nouveaux matériaux employés dans l’industrie que de la constitution d’une collection de montres ou encore, des complications féminines ou de la transmission au sens large du thème.
Les panels de spécialistes sont constitués de patrons de marques (Maximilian Busser, Edouard Meylan, François-Henry Benhamias, etc.), d’horlogers (Jean Marc Wiedderetch, Kurt Klaus, Felix Baumgartner, etc.), de spécialistes des montres de collection avec notamment les gens de chez Christie’s, de détaillants avec bien évidemment les membres de la famille Seddiqi mais aussi Michael Tay, patron de The Hour Glass à Singapour.
La diversité des intervenants entraine une richesse des échanges qui n’existe nulle part ailleurs sur la « planète horlogère », surtout lorsque c’est la journaliste singapourienne Suzanne Wong (Revolution) qui anime les débats avec son brio et son franc-parler habituel !
L’édition 2017 de la DWW a proposé au cours de ces quatre jours, une quinzaine de débats. Toutes ces rencontres ont permis à tous les spectateurs présents d’enrichir leurs connaissances en techniques, en histoire, en culture générale horlogère, etc.
D’ailleurs, comme aime à le répéter Mohammed Seddiqi : « le but de la Dubai Watch Week, c’est d’éduquer les amateurs, c’est de permettre à tous ceux qui aiment les montres d’élargir leur savoir et le champ de leurs compétences ». Une fois encore, pari réussi.
Jean-Philippe Tarot
La diversité des intervenants entraine une richesse des échanges qui n’existe nulle part ailleurs sur la « planète horlogère », surtout lorsque c’est la journaliste singapourienne Suzanne Wong (Revolution) qui anime les débats avec son brio et son franc-parler habituel !
L’édition 2017 de la DWW a proposé au cours de ces quatre jours, une quinzaine de débats. Toutes ces rencontres ont permis à tous les spectateurs présents d’enrichir leurs connaissances en techniques, en histoire, en culture générale horlogère, etc.
D’ailleurs, comme aime à le répéter Mohammed Seddiqi : « le but de la Dubai Watch Week, c’est d’éduquer les amateurs, c’est de permettre à tous ceux qui aiment les montres d’élargir leur savoir et le champ de leurs compétences ». Une fois encore, pari réussi.
Jean-Philippe Tarot