Lancé en 2018 avec succès, MeisterSinger poursuit tranquillement le développement de son modèle Lunascope avec l’arrivée de cette édition spéciale Emile Léon qui n’est disponible que chez le détaillant Emile Léon, installé depuis huit ans avec succès, au numéro 8 de la rue Royale à Paris.
Une série (très) limitée à 8 exemplaires seulement -c’est vraiment peu, vous ne risquez pas de la croiser sur un autre poignet- pour célébrer les huit ans de la boutique !
Cette Lunascope exclusive Emile Léon est dotée d’un boitier de 40 mm en acier étanche à 50 mètres. Sa taille est idéale pour une montre de ville et convient à la plupart des poignets.
Une série (très) limitée à 8 exemplaires seulement -c’est vraiment peu, vous ne risquez pas de la croiser sur un autre poignet- pour célébrer les huit ans de la boutique !
Cette Lunascope exclusive Emile Léon est dotée d’un boitier de 40 mm en acier étanche à 50 mètres. Sa taille est idéale pour une montre de ville et convient à la plupart des poignets.
Contrairement aux modèles équipés de cette complication, la phase de Lune (avec Lune très réaliste sur fond noir) de la Lunascope s’affiche en grand format dans un large guichet situé dans la partie supérieure du cadran noir (ici proposé sans étoiles) tandis que la date apparait à 6h de manière plus traditionnelle.
Mise à part la Lune, seule l’aiguille blanche contraste fortement avec le reste du cadran noir profond. Rappelons qu’il faut à la Lune 29 jours, 12 heures, 44 minutes et 2.9 secondes pour faire le tour de la Terre.
Or, il faut savoir que la plupart des montres à phases de Lune d’entrée de gamme arrondissent la lunaison à 29,5 jours. Résultat ? La course de la Lune dévie de 8h par an. Ces montres doivent donc être corrigées d’un jour complet tous les trois ans (2 ans, 7 mois et environ 20 jours pour être plus précis).
Le mouvement créé spécifiquement pour cette Lunascope est de loin plus exact (notamment dans cette gamme de prix). A l’image des montres haut de gamme, il est équipé d’un système relativement complexe dénommé « Lune astronomique » qui réduit l’écart entre le mécanisme et le véritable cycle lunaire d’un seul jour en 122 ans !
Mise à part la Lune, seule l’aiguille blanche contraste fortement avec le reste du cadran noir profond. Rappelons qu’il faut à la Lune 29 jours, 12 heures, 44 minutes et 2.9 secondes pour faire le tour de la Terre.
Or, il faut savoir que la plupart des montres à phases de Lune d’entrée de gamme arrondissent la lunaison à 29,5 jours. Résultat ? La course de la Lune dévie de 8h par an. Ces montres doivent donc être corrigées d’un jour complet tous les trois ans (2 ans, 7 mois et environ 20 jours pour être plus précis).
Le mouvement créé spécifiquement pour cette Lunascope est de loin plus exact (notamment dans cette gamme de prix). A l’image des montres haut de gamme, il est équipé d’un système relativement complexe dénommé « Lune astronomique » qui réduit l’écart entre le mécanisme et le véritable cycle lunaire d’un seul jour en 122 ans !
Côté moteur, la Lunascope bat au rythme d’un calibre mécanique automatique doté d’une réserve de marche standard de 38h. Ce dernier est visible à travers le fond transparent de son boitier qui arbore une « vue » de la place de la Concorde avec son obélisque. L’ensemble est complété par un bracelet en cuir noir façon croco et livré dans un très beau coffret réservé à cette édition spéciale.
Rappelons que depuis son ouverture rue Royale il y a huit ans, le détaillant Emile Leon s’est imposé sur le marché grâce à un positionnement atypique. En effet, au lieu de proposer la plupart des marques que l’on retrouve un peu partout, il s’est spécialisé sur les horlogers plus confidentiels et plus rares…
Ce qui fait qu’on peut admirer dans ses vitrines des pièces de chez MATWatches, Beaubleu, Bulova, Raymond Weil qui côtoient Frédérique Constant, Longines, Rado, Mido, Hamilton, Michel Herbelin, Seiko et bien d’autres. En tout, une quarantaine de marques dans le « luxe d’entrée de gamme » dont certaines très rarement distribuées sur le marché français. Un lieu à découvrir. Assurément.
Rappelons que depuis son ouverture rue Royale il y a huit ans, le détaillant Emile Leon s’est imposé sur le marché grâce à un positionnement atypique. En effet, au lieu de proposer la plupart des marques que l’on retrouve un peu partout, il s’est spécialisé sur les horlogers plus confidentiels et plus rares…
Ce qui fait qu’on peut admirer dans ses vitrines des pièces de chez MATWatches, Beaubleu, Bulova, Raymond Weil qui côtoient Frédérique Constant, Longines, Rado, Mido, Hamilton, Michel Herbelin, Seiko et bien d’autres. En tout, une quarantaine de marques dans le « luxe d’entrée de gamme » dont certaines très rarement distribuées sur le marché français. Un lieu à découvrir. Assurément.
