Rappelons que la société Pequignet (42 employés) a été créée par Emile Pequignet, au cœur du Jura à Morteau en 1973. C’est devenu l’un des fleurons de l’horlogerie française dans les années 80-90. Puis l'entité est reprise en 2004 par Didier Leigbungut qui souhaite en faire une marque de haute horlogerie.
En 2010, Pequignet installe ses ateliers de manufacture et donne naissance à un mouvement mécanique de nouvelle génération : le Calibre Royal, qui connaitra quelques ratés au démarrage avec une fiabilité par toujours au rendez-vous. Problèmes techniques inhérents au lancement d’un nouveau calibre mais qui seront ensuite réglés avec un mouvement devenu fiable.
En quelques chiffres, Calibre Royal c’est 318 composants dont 316 sont « Pequignet Manufacture », 279 plans industriels, plus de 20.000 cotes et 150 outillages ou matrices de fabrication ainsi que 8 brevets internationaux.
En 2012, la société est placée en redressement judiciaire et depuis, observait un plan de continuation pour rembourser un passif de plus de 7 millions d'euros en dix ans. C’est un investisseur privée qui reprend la marque en injectant onze millions d’euros dans l’entreprise.
« Malheureusement de nombreux litiges précédents le rachat conjugués au 15ème mois de baisse des ventes sur le marché mondial de l’horlogerie ne permettent pas de retrouver l’équilibre. Pequignet voit son carnet de commande baisser auquel s’ajoute la défaillance de certains clients pris dans la tourmente de la crise horlogère » indique le communiqué de la marque.
En juillet dernier, les actionnaires Philippe Spruh et Laurent Katz avaient confié la direction de l'entreprise à Florence Sentilhes, une femme d'expérience mais qui n'était pas issue de l'univers de l'horlogerie. Désormais placée en liquidation judiciaire, Pequignet a trois mois pour trouver un repreneur. La date de remise des offres devra être faite au plus tard le 8 février 2017 et les offres seront examinées le 22 février 2017. Espérons qu’un groupe ou qu’un investisseur va se pencher sur cette pépite de l’horlogerie hexagonale !
En 2010, Pequignet installe ses ateliers de manufacture et donne naissance à un mouvement mécanique de nouvelle génération : le Calibre Royal, qui connaitra quelques ratés au démarrage avec une fiabilité par toujours au rendez-vous. Problèmes techniques inhérents au lancement d’un nouveau calibre mais qui seront ensuite réglés avec un mouvement devenu fiable.
En quelques chiffres, Calibre Royal c’est 318 composants dont 316 sont « Pequignet Manufacture », 279 plans industriels, plus de 20.000 cotes et 150 outillages ou matrices de fabrication ainsi que 8 brevets internationaux.
En 2012, la société est placée en redressement judiciaire et depuis, observait un plan de continuation pour rembourser un passif de plus de 7 millions d'euros en dix ans. C’est un investisseur privée qui reprend la marque en injectant onze millions d’euros dans l’entreprise.
« Malheureusement de nombreux litiges précédents le rachat conjugués au 15ème mois de baisse des ventes sur le marché mondial de l’horlogerie ne permettent pas de retrouver l’équilibre. Pequignet voit son carnet de commande baisser auquel s’ajoute la défaillance de certains clients pris dans la tourmente de la crise horlogère » indique le communiqué de la marque.
En juillet dernier, les actionnaires Philippe Spruh et Laurent Katz avaient confié la direction de l'entreprise à Florence Sentilhes, une femme d'expérience mais qui n'était pas issue de l'univers de l'horlogerie. Désormais placée en liquidation judiciaire, Pequignet a trois mois pour trouver un repreneur. La date de remise des offres devra être faite au plus tard le 8 février 2017 et les offres seront examinées le 22 février 2017. Espérons qu’un groupe ou qu’un investisseur va se pencher sur cette pépite de l’horlogerie hexagonale !